Eugène De Rastignac

 Ce passage constitue le dénouement du roman. Le Père Goriot est mort sans avoir pu revoir ses filles et Eugène de Rastignac assiste, seul, à l'enterrement. La mort du Père Goriot coïncide avec la mort du jeune homme qu'était Rastignac et s'accompagne de sa révolte. «À nous deux maintenant!» Cependant, au moment où le corps fut placé dans le corbillard, deux voitures armoriées1, mais vides, celle du comte de Restaud et celle du baron de Nucingen, se présentèrent et suivirent le convoi jusqu'au

homme positif qui aime chanter, mais qui peut facilement effrayer qui que ce soit. Il paraît tout savoir, ce qui le rend bien mystérieux avant que son identité ne soit trahie. Son dévouement à aider « les jeunes qui ont de l’ambition » (d’abord Eugène de Rastignac, puis Lucien de Rubempré), comme il le dit, va jusqu’à le pousser à tuer. Cependant, dans Splendeurs et misères des courtisanes, après le suicide de Lucien, son protégé, il finit par entrer dans le droit chemin et devient chef de la police.

Explication Eugène de Rastignac, issu d’une vieille famille aristocratique désormais appauvrie, incarne la figure du jeune ambitieux décidé à faire carrière et fortune à Paris. A un bal organisé par sa cousine, Mme de Beauséant, il est présenté à la séduisante Mme de Restaud, qui n’est autre que la fille ingrate de l’infortuné père Goriot, voisin de pension d’Eugène. Le lendemain du bal, Eugène rend à la belle comtesse une visite de politesse, plein d’espoir amoureux et ambitieux. Seulement,

social, politique › Donnez une définition du roman d’apprentissage au XIXème siècle ▪ Lecture d’un roman au choix › Honoré de Balzac, Le Père Goriot (1834) : -montrez que Balzac fait, en la personne de Rastignac, le portrait d’un jeune homme ambitieux -quelles personnes aident Rastignac dans son ascension ? Le roman d'apprentissage au XIXième siècle : > L'histoire de Le père Goriot se déroule à Paris en 1819. La première moitié du XIXième siècle marque en France l'avènement de Paris

constituent deux excipits. Chaque texte met en scène un personnage d'un âge plutôt jeune, Frédéric Moreau (texte C) : « Un jeune homme de dix-huit ans (l. 18) »  ; Julien Sorel (texte A) : « Un petit homme de dix-huit à dix-neuf ans (l. 39) » ; Eugène de Rastignac (texte B) : « l'étudiant » ; Bel-Ami faisant légèrement exception car d'un age sûrement un peu plus avancé. Pour les deux débuts de romans, nous avons la description physique des personnages, typiquement du style du roman d'apprentissage.

des personnages que l’on retrouvera tout au long de la «comédie humaine» comme «Votrin» ou «Eugene de Rastignac». Votrin était appeler par Balzac «La colonne vertébrale de la comédie humaine.» il s’agit d’un forçat évadé du bagne de Toulon, ou il a était condamné pour une faute qu’il n’a pas commise, et il se cache a Paris dans la pension Vauquer. Balzac c’est sans doute inspiré de ces contemporains «Eugène Francois vidoc» célèbre aventurier/détective du 19ème. Ce portrait de Votrin que nous allons

d'Italie et d'amidon. Il a consacré tout son argent au bonheur de ses deux filles, Anastasie, l'ainée et Delphine, la cadette. Goriot fait les sacrifices pendant toute sa vie pour faire plaisir à ses filles. Il finit par mourir sans un seul sou. Eugène de Rastignac- jeune "ambititeux" qui rêve de s'introduire dans la haute société parisienne. Rastigniac prend gout aux soirées parisiennes. Il se rend compte qu'il est possible de réussir dans la société à travers les femmes. Rastigniac finit par accepter

Le père Goriot d’Honoré de Balzac. Le roman raconte l´histoire du père Goriot, qui habite dans une pension bourgeoise à Paris. Là, habitent aussi un groupe de pensionnaires parmi lesquels : Eugene de Rastignac et Vautrin. Le père Goriot, veuf avec deux filles. Il n´a pas voulu se remarier après les décès de sa femme, il était vermicellier qui a réussi à avoir suffisamment d´argent pour maintenir ses filles et bien les marier. Il est condamné a une vie misérable pour assurer leurs mariages

premère semaine de décembre, Rastignac reçu deux lettres, l'une de sa mère et l'autre de sa soeur aînée. A la fin de cette lettre, Eugène était en pleurs car il repensait au père Goriot et se dit qu'il voulait renoncer au monde et ne voulait pas prendre cet argent. Puis un peu plus tard, un facteur des Messageries royales se présenta dans la salle à manger et il demanda monsieur Eugène de Rastignac auquel il tendit deux sacs à prendre et un registre à émarger. Mais Rastignac fut sanglé comme d'un coup

de leur vies. Par exemple Mne de Bauséant est inspirée de la femme abandonnée. Résumé du livre[pic] Au début de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : Eugène de Rastignac, - le père Goriot, qui a deux filles Delphine et Anastasie. Vautrin, ancien forçat connu aussi sous le surnom « Trompe-la-mort» ou le nom: Jacques Collin. Mne de Bauséant, cousine d’Eugène. ____________________________________________________________