Euphémisme Maupassant

Technique de changement de point de vue → ironie Effet de décalage Enumération + chute l.3 antithèse harmonie/enfer euphémisme « une trentaine » comparaison « trembler comme un philosophe » périphrase « quelques héros » critique de la philo optimiste « se cacher du mieux qu'il pu » oxymore « boucherie héroïque » effet de chute « lois du droit public » euphémisme « assouvit ».. => Ironie → attirer l'attention du lecteur sur les anomalies de la guerre. B. Portée critique La guerre ;

musique. Utilité de la guerre (métaphore médicale) b- Un traitement ironique de la guerre qui montre le point de vue de l'auteur Les antiphrases : Voltaire dénonce atrocité de la guerre. Oxymores : « boucherie, héroïque » + « héros » Les euphémismes : «  à peu près », « quelques » déshumanisation : vie qui ne vaut pas grand chose. C- Un tableau réaliste et pathétique de la guerre Détails réalistes : participes passés « criblés » Détails auditif : Verbe «  crait » Organisation spatiale :

consiste à opposer deux termes ou deux expressions dans une même phrase.  Assonance : répétitions vocaliques. Allitération : répétitions consonantiques.  Chiasme : figure de style qui consiste à inverser l’ordre des termes qui s’opposent. Euphémisme : figure de style qui consiste à atténuer la réalité dont on parle, par l’emploi d’une expression indirecte qui l’adoucit.   Gradation : succession de mots dont les significations ont une intensité croissante ou décroissante.  Litote : figure

affichait en allant vers son destin puisqu’elle est comparée à celle qu’il possédait en traquant le gibier. Étant reconnu comme un excellent chasseur, cette figure de style prend tout son sens. Le texte de l’auteur regorge également de plusieurs euphémismes comme « la douceur de l’inconnu qu’il était sur de connaître bientôt », « la solution des questions qu’il s’était mille fois posées » et « parlant à Ikwe pour lui dire qu’il venait la rejoindre ». Ces trois expressions permettent d’atténuer la fin

est synonyme de mort future ? (7) La jalousie nous concerne tous et nous en somme tous victime. Oui, nous sommes victimes, (8) moralement du monde qui nous entoure. Pour Sophia Siméonidis cette morale s’est illustrée par la mort. Légende : Euphémisme (1), Présentation des idées comme étant rapportées.(2)Utilisation de l’indicatif,(3) antiphrase (4) , question rhétorique(5), vocabulaire péjoratif (6), mise en évidence d’incohérence(7), répétition (8).

Gradation : Succession de termes d’intensité croissante ou décroissante.  Effet de « zoom », proche de l’hyperbole Litote : Dire plus qu’il n’y paraît de façon voilée. Atténue une réalité pour mieux la faire ressortir.  Dire peu pour suggérer plus Euphémisme : Présentation atténuée d’une réalité désagréable.  Atténue, dissimule Prétérition : Prétendre ne pas dire une chose pour en fait la dire.  Permet d’insister sur une critique, un défaut Chiasme : Présentation symétrique en miroir (A-B-B-A) de

l'aide d'un mot-outil (comme, semblable à...) - Tes yeux sont bleus comme le ciel ENUMERATION n.f., ACCUMULATION n.f. Juxtaposition d'une série de termes - Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances EUPHEMISME n.m. Formulation adoucie d'une idée qui pourrait paraître trop brutale - Les non-voyants (aveugles) - Il s'est éteint (il est mort) GRADATION n.f. Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression croissante

                Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. (Molière).               ça dure bien toute une nuit à brûler, un village (...), à la fin, on dirait une fleur énorme, puis rien qu'un bouton, puis plus rien. L.-F.Céline  (gradation descendante)   euphémisme : emploi d’un mot à la place d’un autre, malsonnant ou brutal pour cacher, taire, masquer, adoucir, atténuer son sens. Il a pour effet de dissimuler une idée brutale, désagréable ou jugée inconvenante. Exemple : "Il est temps que je me repose."

reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif et mort, ton corps ne soit que roses. » Ronsard : sur la mort de Marie. De la même manière, le déni de la mort trouve un écho artistique dans l’ euphémisme : « La Parque t’a tuée et cendres tu reposes » ibidem ou encore les célèbres vers de Baudelaire : «  La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse Et qui dort son sommeil sous une humble pelouse. » La poésie sait se montrer pudique dans

narration des faits et suscitent l'attente du lecteur. Narration éprouvante Un récit d'agonie concis : Economie de mots et une grande sobriété. « Je la perdis » : Ces trois mots lui suffisent. Jamais le mot « mort » est prononcé. Dg a recours a des euphémismes « Un malheur », 'à sa dernière heure », « la fin de ses malheurs », « fatal et déplorable événement », « mon ame ne suivit as la sienne ». Aucune révolte ou réfléxion. DG a préparé l'événement qui nous est raconté. Hyperbole « un récit qui me