Manon lescaut
I – Un récit pathétique
Formules de prétérition : Retardent la narration des faits et suscitent l'attente du lecteur. Narration éprouvante
Un récit d'agonie concis : Economie de mots et une grande sobriété.
« Je la perdis » : Ces trois mots lui suffisent. Jamais le mot « mort » est prononcé. Dg a recours a des euphémismes « Un malheur », 'à sa dernière heure », « la fin de ses malheurs », « fatal et déplorable événement », « mon ame ne suivit as la sienne ».
Aucune révolte ou réfléxion. DG a préparé l'événement qui nous est raconté. Hyperbole « un récit qui me tue » et l'exaggération : « un malheur qui n'eut jamais d'exemple ».
Une mort exemplaire marquée par une certaine douceur : seuls qq signes révèlent a DG l'approche de sa mort « mains froides et tremblantes », « voix faible », « soupirs fréquents », « silence », « serrement de ses mains ». Elle ne formule aucune plainte. Allitération en