Euphémisme Maupassant

scène au vers 18 : ‘Le fils est tué, il ne continue plus’. La seule différence avec ce qui a précédé est la négation (la seule de tout le poème). Il y a ensuite une activité qui se rajoute au tricot et aux affaires : le cimetière. Il y a aussi un euphémisme de la mort du fils au vers 21 (« la vie continue la vie ») qui donne l’impression que la vie des parents n’a pas vraiment été modifiée. Aucune émotion n’est retranscrite, toute cette mort est évoquée sans émotions. Le poète dénonce ainsi un comportement

accumulation:énumération: suite de mots de même catégorie grammatical.accumulation: énumération de mots qui représente une même réalité.Se distinguent par une suite de mots de même classe.Exemple: lapider, égorger, empaler, brûler, couper en morceaux. Euphémisme : figure de style qui consiste à atténuer la réalité dont on parle, par l’emploi d’une expression indirecte qui l’adoucit (disparu pour mort, petit coin pour cabinet, maladie de longue durée pour cancer. Il atténue une réalité afin de ne pas choquer

FIGURES DE STYLE un oxymore:rapprochement de deux termes opposées un hypallage:decalage dans la caractérisation.(ex:les paysans déposent leur fossilles fatiguées= se sont les paysans qui sont fatigues,pas les faucilles!) un chiasme:les elements de deux groupes par allèles sont inversés.(ex:ils virent un magnifique château et un jardin grandiose.)

une satyre du clergé ? I- un récit plaisant a) le mort présenté comme un vivant On nous parle d’un mort, et on nous dit qu’il « s’en allait tristement/s’emparer de son dernier gîte »., le mot « gîte » est une périphrase, et qui plus est, un euphémisme pour désigner la tombe. De plus, utilisation de verbes de mouvements « s’en aller », « s’emparer »,… Enjambement au vers ½ pour rythmer la strophe, « donner de la vie » Il y a tout un jeu autour de la « robe » du mort, mot d’ailleurs répété

-interdict° vendre famille séparémt.] -->Derrière cette narrat° se cache l'ironie Voltairienne, que nous allons étudier. II-L'ironie, procédé Voltairien 1)Choix des mots * Ironie, choix des mots: * L.2 («habit»): euphémisme (juste «pantalon») *Choix handicap («jambe gauche/main droite»): équilibre conservé. *L.5-7: distors° entre quest° candide: pathétiq., & réponse: froide. *Nom marchant: mot portrait: «Van»=hollandais; «Vander»=

termes ou des images qui visent à exagérer. Périphrase : consiste à remplacer un terme par une expression qui le définit. Synonymie : termes de sens proche qui peuvent exprimer des nuances et appartenir à des niveaux de langue différents. Euphémisme : consiste à désigner un être, un objet ou idée par un terme qui efface son coter désagréable. Lilote : consiste à dire le moins pour suggérer le plus. Polysémie : jeu sur les différent sens d’un mot. Assonance : retour d’un même son

(l. 46-47) Procédé: litote Avec l'utilisation de la litote qui crée un effet d'atténuation, l'auteur montre que le goupil agit de façon consentante. Citation 1.2: « Hersent, qui se plaisait à ce jeu, "lève la cuisse". » (l. 46-47) Procédé: euphémisme L'auteur utilise la figure de style de l'euphémisme pour atténuer l'acte sexuel interdit commis par Renart et Hersent. Explication 1: Renart est conscient que ce geste n'est pas permis et il prouve qu'il ne sait aucunement maîtriser ses désirs

l'euphémisme, souvent sous la forme de litote, qui est peu dire où quelque chose est affirmé en précisant le négatif de son contraire - un dispositif commun dans l'expression ironique. Relatif à c'est un euphémisme, une figure de style dans lequel une déclaration indirecte est remplacé par un direct. Termes euphémismes ont été utilisées par de nombreux auteurs pour éviter brusquerie ou d'un délit, mais ils révèlent une tendance à être de mauvaise foi et sentimentale. Voltaire les a utilisés ironiquement avec

etc.). Ellipse  : Une ellipse consiste à omettre volontairement certains éléments logiquement nécessaires à l’intelligence du texte. En narratologie, l’ellipse passe sous silence des événements, ce qui accélère considérablement la narration. Euphémisme  : L’euphémisme est une figure très connue qui consiste à remplacer une expression littérale (idée désagréable, triste) par une forme atténuée, adoucie. Exemple canonique : « Il a vécu. » pour « Il est mort ». Hyperbole  : Comme l’euphémisme

mot-outil (comme, semblable à...) - Tes yeux sont bleus comme le ciel ENUMERATION n.f., ACCUMULATION n.f. Juxtaposition d'une série de termes - Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances EUPHEMISME n.m. Formulation adoucie d’une idée qui pourrait paraître trop brutale - Les non-voyants (aveugles) - Il est décédé (il est mort) GRADATION n.f. Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression croissante