Évapotranspiration

moyenne sur les 40 dernières années, les écoulements en eau de surface représentent environ 4% de la pluviométrie, tandis que l’infiltration en est estimée à environ 15%. La différence, soit plus de 80% de la pluviométrie, est consommée par évapotranspiration. Cette situation, conjuguée à une baisse marquée de la pluviosité depuis une quarantaine d’années et caractérisée par des périodes de sécheresse accrue, place aujourd’hui le Burkina Faso en condition de stress hydrique. L’évaluation des ressources

verte et transite dans celles‐ci avant d’atteindre l’avaloir. L’entièreté de la pluie n’est pas rejetée instantanément vers les égouts. De plus, une partie de l’eau est consommée par les plantes et une autre est rejetée dans l’atmosphère par évapotranspiration et n’atteint donc pas le réseau d’égouttage. Une protection sur l’étanchéité assurée par le fait que les matériaux imperméabilisants résistent plus longtemps à l’abri des ultraviolets (UV) et du rayonnement thermique solaire. De plus, la toiture

eau de la végétation naturelle et cultivée. Elle est caractéristique des zones pour lesquelles les besoins en eau sont au moins une fois et demie plus élevés que les précipitations. En termes scientifiques, le rapport entre précipitations et évapotranspiration potentielle (P/ETP) est compris entre 0,005 et 0,65. L'aridité est une donnée de base, depuis la nuit des temps. Elle rend la mise en valeur des zones sèches difficiles et risquées. Les habitants des zones arides se sont adaptés aux exigences

L’irrigation en fin de journée peut également être pratiquée à condition que les plants soient secs à la tombée de la nuit. P17 005 - Irrigation Directives d’irrigation Besoin en eau Les besoins en eau sont liés à l’évolution de l’ETP (Evapotranspiration potentielle) de la culture. De façon pratique, on peut estimer que les besoins moyens en eau de la tomate au Sénégal sont de: –– 3 – 4 mm/jour à la plantation; –– 6 mm/jour dès la première floraison; –– 6 – 10 mm/jour par la suite en fonction

ESP ET Eto ETM Kc Rg Arrondissement de Développement Agricole Humidité à la Capacité au champ Humidité au Point de Flétrissement Permanent Dose Nette Maximale Conductivité électrique Pourcentage de sodium échangeable Évapotranspiration Évapotranspiration de référence Evapotranspiration Maximale Coefficient cultural L IRAC FRAC DAR Rayonnement global Chaleur Latente de vaporisation Insecticide resistance action committee fungicide resistance action committee Delai d‟avant récolte 3 Chapitre

réserves en eau de cette zone. Globalement, cette dernière subie une pluviosité assez importante, notamment au Liban et en Syrie où elle y est de prés de 836 millions de mètres cubes par an après prise en compte des « pertes » (infiltrations, évapotranspiration et écoulements non récupérables). Toutefois, il est à noter qu’en Israël ou même en Palestine, les pluies se font très rares, ceci s’ajoutant à des « sources fluviales » en eau douce déjà très réduites… En effet, même s’il est dit que le « débit

la transformation pluie-écoulement qui puisse permettre d’évaluer la réponse du bassin à une pluie donné. Dans la zone considérée il faut faire un bilan hydrique selon la schématisation suivante: P = E + I + Dsup + Dsot P pluie E évaporation évapotranspiration I infiltration Dsup écoulement superficiel Dsot écoulement souterrain, il est nécessaire de spécifier une période de temp e bien déterminé pour faire le bilan hydrique qui pourra être fait sur une base annuelle, mensuelle, journalière ou pour

Sensibilité au gel 1. Hydraulique souterraine 2. Écoulements 3. Écoulements tridimensionnels bidimensionnels 4. Effets mécaniques 5. Effets de la capillarité Retrait et gonflement des argiles Légende du dessin http://www.argiles.fr (1) Evapotranspiration (2) Evaporation (3) Absorption par les racines (4) Couches argileuses (5) Feuillets argileux (6) Eau interstitielle Retrait et gonflement des argiles Nature du phénomène • Modification de la consistance des argiles en fonction de leur teneur

la végétation est très vaste. Les acquisitions ont été utilisées dans maintes études : description, identification et cartographie de la végétation et de l'occupation du sol, déforestation tropicale, indice foliaire LAI, photosynthèse et évapotranspiration, biomasse, productivité des systèmes agricoles, phénologie forestière, coupes et régénération, défoliation foliaire et dépérissement des couverts forestiers. La télédétection des couverts forestiers pose des problèmes particuliers liés à l’hétérogénéité

écrête les pointes de surchauffe de la température de surface de la toiture en mi-saison et en été ; elle contribue donc à diminuer les chocs ther- miques, et à augmenter la durée de vie de la structure. La végétation crée un micro-climat par évapotranspiration, qui permet de rafraîchir localement la température. La mise en œuvre de cette solution sur les toits des villes permet de diminuer les îlots de chaleur en période estivale. Ce type de toiture favorise également une meilleure gestion des eaux