Évapotranspiration

physiologiques de l’eau chez les plantes: H20 est nécessaire pour: photosynthèse y (donneur ( primaire p d’électrons)) • La p • La croissance (grandissement cellulaire) • Le port érigé (turgescence) • Les mouvements • Le refroidissement par évapotranspiration • L’absorption et le transport de solutés (solvant + transpiration) BIO9 Biologie 1 pour PBIO 5 5 I. L’eau et la plante L’eau et la plante 3. 2. 1. Les parties aériennes sont exposées à des atmosphères relativement sèches alors que 

maximale est de 374,10mm au mois de Juillet, par contre l’évaporation moyenne annuelle est de 206mm. (Tableau n=°24) (Fig n=°20). Fig n=° 20 Les facteurs climatiques. 400 300 200 100 Ju il M ai M ar Ja n N ov 0 Se p (mm). Evapotranspiration Evapotranspiration moyenne mensuelle (mm). Mois. E) Le régime du vent : Dans notre site d’étude (Bassin de la Medjerda) les vents qui sont dominants sont ceux provenant d’Ouest-Nord-Ouest de Novembre à Avril et du Sud plus significatifs de Mai à Juillet

substrat et qui est mise en place par un des agents d'érosion. Agents d'érosion = par ex les glaciers (alluvions). Dans les sols, de l'eau peut s'évaporer dans l'atmosphère la végétation par l'évapotranspiration. b) Evapotranspiration potentielle (ETP) / évapotranspiration réelle (ETR) ETP = potentiel évaporant de l'atmosphère = capacité à évaporer ETR = ce qui s'évapore réellement, mais ne correspond pas à l'ETP Rôle atmosphérique de l'évaporation L'évaporation

l’essentielle de l’eau prélevée est restituée sous forme liquide. - pour l’agriculture, les prélèvements sont beaucoup plus faible, pourtant, la consommation est importante car l’eau n’est pas restituée sous forme liquide mais sous forme de vapeur pas évapotranspiration. BILAN : L’homme prélève l’eau douce dans plusieurs réservoirs : en France, 60% de l’eau douce consommée pour les usages domestiques, agricoles ou industriels sont prélevés dans les eaux de surface et 40% dans les réservoirs souterrains.

canalisation). La solution contient  eau, sels minéraux (NO3-,PO42-), autres ions minéraux, fer et oligoéléments. Le réseau se ramifie, alimente les cellules sur le trajet ; libère vers l’extérieur de l’eau sous forme de vapeur grâce aux stomates = évapotranspiration qui crée un vide → pompe de la « nouvelle » eau (dépression – capillarité – osmose – forces de cohésion intermoléculaire). L’eau distribuée dans les cellules va être récupérée par le système descendant. La plante stocke des réserves (glucides)

montagne. L’eau douce présente dans l’atmosphère, les lacs et les rivières, et les nappes souterraines ne représente au final qu’environ 0,7 % de l’eau sur terre. - Cette ressource est renouvelable du fait du cycle de l’eau (évaporation + évapotranspiration  formation de nuages  précipitations  écoulement ou infiltration  reprise du cycle). globalement la quantité d’eau disponible devrait toujours être la même. La planète ne « perd » pas d’eau. Toutefois, cette eau peut être altérée à un moment

relativement basses, mais pas trop . La formation de tourbe est donc conditionnée par la présence d'un bilan hydrique positif ou équilibré, c'est-à-dire que les apports d'eau (précipitation, ruissellement…) sont supérieurs ou égaux aux départs (évapotranspiration des végétaux, évaporation…).Les tourbières de fonds de vallées notamment sont souvent issues d'un lac ou d'une retenue d'eau, qui, au fil des siècles va se combler lentement par l'apport de matières organiques. C’est souvent un glacier qui

sans haie (cf schéma 2). Situation sans haie : Vent non ralenti RENDEMENT Avec une haie brise-vent : Vent ralenti Vent ralenti sur 15 fois la hauteur de la haie Moindre rendement sur 2 fois la hauteur de la haie (concurrence des arbres) Evapotranspiration diminuée sur 15 fois la hauteur de la haie = meilleure croissance des végétaux. RENDEMENT Au pied de la haie, le rendement est diminué (concurrence des arbres pour l’eau et la lumière), mais sur le reste de la surface protégée (15 fois la

l’eau 2.1.1 2.1.2 2.1.3 2.1.4 2.1.5 2.1.6 2.1.7 2.2.1 2.2.2 2.2.3 2.3.1 2.3.2 2.3.3 2.3.4 2.3.5 2.3.6 2.3.7 P récipitations (y compris les épisodes extrêmes) et vapeur d’eau Neige et glace terrestre Niveau de la mer Évapotranspiration Humidité du sol Ruissellement et débit fluvial odes de variabilité à grande échelle M 1.3.1 1.3.2 Changements observés Changements prévus vii viii 3 9 11 11 12 15 17 19 19 24 25 26 26 27 27 29 30 31 33 35 35 36 36 37 38 12 14

wikipedia.fr Licence Professionnelle – Géomorphologie, Hydrogéologie M. Adelinet Cours 6 Introduction - Devenir de l’eau des précipitations : Sur une portion du territoire, on a P = ET + R + I Précipitations (neige, pluies) Évapotranspiration (travail des plantes) Ruissellement (fleuves, rivières) INFILTRATION Ordre de grandeur (en Europe) : ETP = 60 %, R = 30 % et donc I = 10 % Licence Professionnelle – Géomorphologie, Hydrogéologie M. Adelinet Cours 6 Introduction