Évolution

Bac S ; session de septembre Partie 1 : Parenté entre les êtres vivants et fossiles -Phylogenèse-évolution La diversité du monde vivant a amené les biologistes à proposer des outils permettant d'établir des relations de parenté entre les espèces actuelles et fossiles. On souhaite préciser comment les scientifiques justifient le positionnement de fossiles dans le règne animal puis dans la lignée humaine. Exposez le principe permettant d'établir des liens de parenté entre les organismes. Indiquez

Pour conclure, malgré le fait que Darwin pense que l’être humain est un animal sociable de nature et que Rousseau pense le contraire, les questions au sujet de l’être humain ne seront jamais complètement résolues. L’être humain est en perpétuel évolution et ce pour encore longtemps.

est donc commune à celle des autres espèces. Par rapport à l’évolution, le créationnisme stipule qu’il y a une direction précise vers lequel tout changement ce dirigent à partir d’un plan déterminé. À l'inverse, selon le courant de Darwin il y a évolution et transformation des espèces par rapport à un hasard qui dépend de l’environnement et du milieu. Une autre différence par rapport aux deux courants serait sur le concept de la création. Le créationnisme mentionne que tout est à l’origine d’une force

autre aspect dont Lamarck ne fait pas mention, celui d’une lutte pour leur survie, certes, mais d’une lutte entre les espèces, ainsi qu’entre les individus d’une même espèce. Par ailleurs, il est évident que tous deux parlent d’un « but » à cette évolution. Ils soutiennent que le but « ultime » d’une espèce est l’adaptation à son milieu, et que les changements s’apportant à un groupe d’individus mènent ultimement à ce but. Pour continuer, une différence évidente entre les conceptions de Lamarck et

Résumé : De 1831 à 1836, Charles Darwin parcourt le monde à bord d'un trois-mâts, le Beagle. C'est dans son journal de bord qu'il note des observations sur les plantes, les animaux et les peuples qu'il rencontre. Cote : 577 WOOD Classification et évolution / Hervé Le Guyader. - Le Pommier, 2003. - 124 p. - (Le collège de la cité) * Résumé : L'auteur retrace l'histoire de la théorie de l'évolution, depuis les premières tentatives de classification des plantes, trois siècles av. J.-C., à la théorie de

micro-organismes Chapitre 2 Les défenses de l’organisme contre les micro-organismes Chapitre 3 Les perturbations du système immunitaire • Partie C ÉVOLUTION DES ORGANISMES VIVANTS ET HISTOIRE DE LA TERRE Chapitre 1 Histoire de la vie au cours du temps Chapitre 2 Évolution des espèces et unité du vivant Chapitre 3 Histoire de la Terre et évolution de la vie • Partie D RESPONSABILITÉ HUMAINE EN MATIÈRE DE SANTÉ ET D’ENVIRONNEMENT Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 Chapitre

ramifications d’un même arbre du vivant. * Adaptation des organismes à leur environnement : théorie de la SN pour rendre compte de cette adaptation. Succès inégale de ces 2 théories : Darwin réussit à convaincre ses contemporains de la réalité de cette évolution. Mais le plus grand échec de Darwin porte sur la théorie de la sélection naturelle. III. 1870-1920 : débats sur l’hérédité Dans cette troisième partie, on verra les théories qui s’opposent à cette théorie de la sélection naturelle. Une des difficultés

révélait d’importants changements en termes de phylogénie et de classification. A cette avancé s’ajoute la théorie de Darwin qui a mis en avant le principe de sélection naturelle et de variation. Toutefois ce dernier n’employa jamais le terme « évolution » dans son ouvrage « The origin of Species » publié en 1859 et jamais il ne traita de l’espèce humaine. Au milieu du XXème siècle les biologistes incorporèrent la génétique des travaux de Gregor Mendel, puis courant des années 1980 des données

Histoire d’idées, Montréal, Liber, 2000 2 Inconnu, Le voyage du beagle, http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Voyage_du_Beagle, 7/3/13 systèmes où il peut évoluer. Il n’a donc aucune supériorité par rapport aux autres, il est seulement le fruit d’une évolution constante qui le place mieux adapté que ses ancêtres au milieu dans lequel il évolue. Il en va aussi/300 de même pour les autres espèces animales qui se sont adaptés à leurs milieux aux dépends de ceux qui n’ont pas réussi : «les sujets les mieux

inférences et la prise en compte des objections attenduesN 4. Cependant, sa seule allusion à l'évolution chez l'homme est l'affirmation, discrète, que « des lumières seront jetées sur l'origine de l'homme et son histoire ». Il évite ainsi le mot « évolution », controversé à l'époque, mais à la fin du livre il conclut que « des formes sans cesse plus belles et plus admirables ont été élaborées et continuent à l'être »N 5. Sa théorie est exposée de façon simple dans l'introduction : « Comme il naît beaucoup