Exaltation Des Sentiments Romantisme

Le Romantisme | Peintre | Eugène Delacroix | Nom du tableau | La Liberté guidant le peuple | Scène représentée | Une scène révolutionnaire des années 1830 | Époque | XIXe siècle | Qu’est-ce que le romantisme ? | Le romantisme désigne un ensemble de mouvements artistiques et littéraires qui s’épanouissent en Europe au XIXe s. sur la base d’un rejet du rationalisme et du classicisme. C’est une forme de sensibilité esthétique qui prône une exaltation des sentiments

à lui à partir de 1840. Il semble naître d’une question essentielle que pose Chateaubriand : « est-ce que l’ennui est un sentiment moderne ? » Dans Le Génie du Christianisme, Chateaubriand affirme que l’ennui n’existait pas dans l’Antiquité grâce à l’intégration de tous dans la vie de la société, grâce aux préoccupations sociales qui évitent le sentiment du vide. Ce sentiment du manque et du vide de l’existence donne naissance à une nouvelle littérature. C’est ce qu’exprime une fois de plus Chateaubriand

capuche, qui est le support principal du cadavre (on peut dire que la religion est le principal support de la mort, en effet, il y a le thème très marqué de la religion) et un homme à gauche, très détaillé (recherche de la beauté) qui représente le sentiment de regret, de peine, de tristesse : on peut le voir dans son visage, par ses yeux fermés et par la manière par laquelle il tient les pieds d’Atala. On remarque que l’entrée de la grotte qui est décorée par une plante et des fleurs : le thème de la

Romantisme La difficulté de trouver au Romantisme une définition qui englobe à la fois la complexité de son développement et ses particularités régionales semble insurmontable. Peut-être le Romantisme est-il d'abord l'acceptation et, finalement, la glorification de ces éléments propres à la conscience et à la conduite humaines — mélancolie, irrationalité, doute, excentricité individuelle, égocentrisme excessif, désespoir, insatisfaction devant le mécanisme répétitif de la vie dite " normale "

renaissance littéraire Un critique définit même en ces termes la poésie de la Renaissance « visité par la grâce, le poète se fait voyant. Mais, à la différence des doctrines antérieures (notamment le platonisme) ou ultérieures (notamment le romantisme) si les poètes revendiquent l’inspiration comme moyen indispensable d’accès au verbe poétique, celle-ci ne constitue pas l’acte terminal de la création : elle en est l’acte préliminaire, état indispensable d’inconscience par un rapt de l’âme débouchant

1. Les précurseurs du romantisme français Madame de Staël *liens familiaux avec des Saussures (Ferdinand) – une tradition intélectuelle Germaine de Staël, fille du riche banquier genevois Necker. Elevée dans Paris, dans le salon de sa mère, toujours active dans la vie politique et, à cause de cela, insupportable pour Napoléon qui l’exile de Paris. Elle se met à voyager et séjourne à Coppet où elle reçoit des visiteurs illustres du monde. Là, elle fait connaissance de B

est un drame romantique rédigé par un véritable monument de la littérature française, ce chef de file du romantisme: Victor Hugo en 1838. Ce dramaturge du 19e siècle est reconnu pour la variété de ses productions littéraires. Le terme dramaturge

(sonnets). * redéfinition du statut du poète, homme de technique et de savoir-faire, mais également inspiré des valeurs humanistes et engagé dans les débats ou combats de son temps. Le romantisme Après la Révolution, dans le cadre d’un vaste mouvement européen (Byron en Angleterre, Goethe en Allemagne), le romantisme se manifeste en France dans les œuvres autobiographiques (romans et mémoires) de Chateaubriand, qui invente un terme pour caractériser la nouvelle sensibilité dont il est porteur : « le

principal va hésiter entre deux carrières : l’armée (le rouge), l’Eglise (le noir). Il a une éducation religieuse (l’abbé Pirard l’abbé Chélan) Source d’aspiration : - Le romantisme : exaltation du moi, utilisation du registre lyrique pour l’expression des sentiments que l’on transmet autres. - aspiration : la nature, le romantique et la nostalgie font la paire, la passion et le rôle de la nature jouent un rôle crucial. Stendhal utilise la passion amoureuse

vice et du labeur, de la volupté et de l'agonie; la ville est le lieu d'un combat manichéen entre l'ombre et la clarté, entre la vie et la mort. Zola avec "une ville dans la ville" présente des halles comme un univers autonome; le roman est exaltation de la cité dans son fonctionnement organique, dans le grouillement de sa vie secrète, mais déjà la conscience solitaire s'y sent perdue, écrasée. Verhaeren Emile avec "les villes tentaculaires" décrit un paysage urbain qui est à la fois sordide