Excès de confiance

l’exécutif. C’est le Président de la République qui le désigne mais il lui faut obtenir l’investiture de l’Assemblée à laquelle il a précédemment soumis le programme et la politique de son cabinet. Ses attributions sont multiples : il pose la question de confiance, il a également l’initiative des lois, il nomme aux emplois civils et militaires, il est le responsable des forces armées, enfin il est chargé d’exécuter les lois. Aux vues de ses institutions, le régime est une « III République en pire ». Un

croissance. B. Les fluctuations de la croissance peuvent être amplifiées par le cycle du crédit. En période d’expansion les revenus des entreprises (bénéfices) et des ménages (salaires, revenus du capital) augmentent. Les banques ont alors confiance en la capacité des agents économiques à rembourser des emprunts. La psychologie joue alors un rôle essentiel. En effet, le climat d’optimisme, voire d’euphorie, combiné à la concurrence que ses font les banques, pousse ces dernières à ne plus être

célèbre est celle de Charles Perrault, écrite en 1667, et qui fait partie d’un recueil «  Les Contes de ma mère l’Oye », inspiré de la tradition orale , genre très convoité à la cour de Louis XIV .Charles Perrault devient également l’homme de confiance de Colbert, Et est militant des Modernes( ils militent pour une forme artistique nouvelle) qui s’opposent avec les Anciens ( eux soutiennent l’importance de l’héritage de l’antiquité dans la création littéraire). Les œuvres de Perrault sont devenues

chères. 3. L’Etat à sur ce marché à un rôle régulateur. Il contribue à la relation de confiance essentielle aux échanges, et oblige les acteurs de ce marché à suivre des règles essentielles à son bon fonctionnement. Dans le cas présent le marché n’aurait pas fonctionné sur le long terme sans l’intervention de la Communauté Européenne via la mise en place d’un gel temporaire appliquée jusqu’à 2020 au vu de ses excès de quotas. L’Etat est plus apte à corriger le dysfonctionnement du marché en fonction

purement rationnelle, basée sur la seule analyse des ‘fondamentaux’ que sont les taux, les bénéfices ou l’évolution du marché. Les analystes sont d'ailleurs de plus en plus nombreux à admettre l'influence de facteurs irrationnels, comme l'excès de confiance, le mimétisme, les erreurs de perception, … sur la formation des cours de bourse. Autant ‘d’irrationalités’ qu’étudie la Finance comportementale. EN avril 1997, le Financial Times organisait un concours. Il s'agissait d’un simple jeu de chiffres

commerciale (en régression annuelle de -17%.). En prenant 1997 pour base 100, les prix à la consommation sont passés en 2009 à 119,2 pour l’Allemagne et à 146,4 pour la Grèce. Cette inflation est le signe d'une demande plus forte que l'offre locale, un excès de pouvoir d'achat par rapport à la production, qui se traduit aussi dans le déficit public qui atteint 12 % du PIB en 2009. On peut ainsi résumer les causes de la crise via les trois aspects Etat/Ménages/Entreprises 1. Pour l’Etat • L’importance

urgence, le même jour, à la Bank of America. Le 16 septembre AIG doit être sauvé de toute urgence. Le 26 septembre JP Morgan doit racheter Washington Mutual et le 29 Citigroup en fait autant avec Wachovia. Dans le monde entier les banques n’ont plus confiance entre elles, les crédits interbancaires disparaissent. Le Dow Jones baisse jusqu’à 7552 le 20 novembre, et le CAC 40 à 2881 le 21 novembre. La situation continue à se détériorer avec de nouveaux appels de fonds pour les deux GSEs, AIG etc. ,

manufacturés tandis que les prix de l’énergie sont en baisse. B. Différents types d’inflation. On distingue l’inflation par la demande et l’inflation par les coûts. L’inflation par la demande : c’est celle qui se développe lorsqu’il existe un excès de la demande par rapport à l’offre. On se trouve donc dans une situation de pénurie et les entreprises sont en mesure de répercuter des hausse de couts dans leur prix de vente voir d’augmenter leur prix de vente en l’absence de hausse des couts ou

anticléricaux qui ont était tenu à la chambres des députés. Les républicains voulaient une séparation de l’église et de l’état. Suite a ce désaccords officielle par le président de la république, Jules Simon démissionne son successeur se voit refuser la confiance de la chambre des députés. Suite à ce blocage, Mac Mahon obtient l’avis conforme du Sénat (majoritairement monarchiste) pour dissoudre la chambre des députés. S’en suit une campagne électorale. Lors de cette campagne, deux conceptions s’affrontent :

manifestent-elles aujourd’hui? Tout commence par la crise des subprimes en 2007 qui frappe le secteur des prêts hypothécaires à risque. Cette crise s’accompagne d’un excès de la liquidité de la monnaie n’engendrant pas, paradoxalement, de l’inflation grâce aux crédits accordés par les banques centrales. C’est dans un climat de confiance que le taux d’intérêt va baisser ainsi que les prix des biens et services au long terme. Par contre, ceux des actifs augmentent valorisant les biens immobiliers et