Explication Du Vote Lehingue

passe avant, aux raisons historiques. L’histoire : la sociologie ressemble à l’histoire mais s’intéresse à l’évolution des sociétés dans la longue durée. Il faut se replonger dans le passer pour comprendre la politique actuelle : par exemple, le vote des femmes. On s’intéresse à la dimension politique des faits sociaux. Certaines caractéristiques des sociétés produisent des effets politiques. Ex : aller à l’église n’est pas une activité politique mais peut avoir une influence sur le comportement

l’information politique internationale à la télévision française », in E. Pinto (dir.), Pour une analyse critique des médias, Éd. du croquant, 2007 ; C. Morel, L’enfer de l’information ordinaire. Ces boutons, panneaux, modes d’emploi et autres explications quotidiennes auxquels on ne comprend rien, Gallimard, 2007 ; J.-C. Soulages, Les mises en scène visuelles de l’information, Nathan/Ina, 1999 Sur la liberté d’expression politique, la censure et l’insulte politique : F. Laidié, « L’insulte politique

s'adapter à la nouvelle législation. Plus largement, ce qui est en jeu à travers la communication politique, c'est la légitimité de la classe politique. Alors que le terrain était jusque là peu investi par le droit, pas moins de quatre lois ont été votées en deux ans dans le but de moraliser le financement de la vie politique, les deux premières sous le gouvernement de Jacques Chirac (lois du Il mars 1988), les deux autres sous celui de Michel Rocard (lois du 15 janvier et du Il mai 1990). Cet activisme

25 affaires (avis et conseils) par mois (CADA, L'accès aux docurnenls lâ en 1979-1980. CADA en a rraité 90 en 1984-1985 administratifs, quatrième rapport d'actil)ité, La documentation française' 1986, p . 5'22. ). ' : B. Lasserre, " Six ans après le vote de 14 loi du 1] juill{ 1978 une n" administration plué transparente ? ", E.D.C.E., 1983-1984, 35, p. 100. que . les. réformes.'. 23. B. Lasseire, N. Leioir et B. Stirn estirnent d'ailleurs n'ont pas encore fôndarnentalement clangé le cornporternent

d'idéalisme, on peut se demander si par leur seule force de vérité (intrinsèque) est ce que des idées peuvent triompher ? Peter Hall le pense. Il réfléchi sur le tournant libéral que symbolise l'arrivée que pouvoir de Tacher et Reagan. Il donne une explication très idéaliste, ce sont des acteurs sociaux qui portent des idées mais surtout les idées qui petit à petit convainquent de leur réalité (il s'intéresse aux think tank). Le fait d'être écouté vient elle de leur présence social ou du fait de la

de coalitions (partis politiques, syndicats) a l’intérieur des citoyens et absence de réelle Bureaucratie. C’est d’ailleurs ça l’importance des orateurs, il faut à chaque fois emporter la conviction des votants parce qu’il n’y a pas de discipline de vote. La valeur d’exemple du modèle Athénien doit cependant être nuancée. D’abord,le caractère exceptionnel de ses conditions de possibilité : Le territoire est étroit (a peut près 1/20ème du territoire Français) donc il est facile de faire venir tout le

socialisation primaire, socialisation secondaire. Tout en insistant sur l’importance de l’acte électoral et de son rituel, on proposera une conception ouverte de la notion de répertoire d’action politique ne se résumant pas à la pratique régulière du vote. On présentera notamment les dimensions individuelles comme collectives de l’action de protestation politique. L’évolution des répertoires d’action politique sera appréciée tant dans le temps long des transformations de l’ordre politique démocratique

inscrites qui ne votent pas, divisé par le nombre de personnes inscrites. L’abstention électorale est un objet important de la sociologie du vote qui cache un phénomène plus large de désengagement politique : la non-participation électorale prend des formes diverses comme la noninscription, la « mal-inscription » (changements d’adresse sans changement de bureau de vote, etc.). Une montée de l’abstention s’observe, depuis les années 1980 en particulier, dans de nombreux pays (cf. tableau 1). Elle est variable

inscrites qui ne votent pas, divisé par le nombre de personnes inscrites. L’abstention électorale est un objet important de la sociologie du vote qui cache un phénomène plus large de désengagement politique : la non-participation électorale prend des formes diverses comme la noninscription, la « mal-inscription » (changements d’adresse sans changement de bureau de vote, etc.). Une montée de l’abstention s’observe, depuis les années 1980 en particulier, dans de nombreux pays (cf. tableau 1). Elle est variable