Explication Sur La Peine De Mort

Juin 2001 (phrase d’accroche ...) Le 29 Juillet 1995, M. Z est entré en collision avec un véhicule conduit par Mme X., ayant entraîné des blessures involontaires en la personne de Mme X. et de M. Y, passager du véhicule de Mme X, et ayant causé la mort de l’enfant à naître, un foetus de six mois, considéré comme viable, porté par Mme X. Après que le tribunal de grande instance de Metz est condamné M. Z des chefs de blessures involontaires, avec circonstance aggravante de conduite sous l’empire d’un

leur fils meurt, ils se laissent d’abord et avant tout mener par la colère. Même après coup, lorsque leur colère se transforme en tristesse, ils sont incapables de rationaliser leur peine. • Paragraphe 1 = David et Julie sont menés par la colère • Paragraphe 2 = David et Julie sont incapables de rationaliser leur peine. • Conclusion : Ils réagissent tous les deux davantage avec leur cœur qu’avec leur tête. Exemple 2: position NON • Sujet : Dans la pièce de théâtre Blabliblou, les personnages laissentils

intérêt personnel, ce qu’il va suivre n’a en aucun cas pour but la vengeance personnel ni le dénigrement puéril, cela est juste mon explication d’ un différend avec un membre du corps enseignant. Les faits : mon équipe et moi étions chargés de réalisés un décor pour une représentation théâtrale ayant pour thème : dénoncer une injustice. Notre thème était la peine de mort. J’avais donc imaginé une maquette représentant une guillotine qui nécessita 3 heures de travail et de volonté. Le jour de la représentation

le registre tragique est proche du registre pathétique parce qu'ils suscitent l'un et l'autre la pitié, mais il s'en distingue par le caractère terrifiant des situations dans lesquelles se trouvent les personnages. Une « fin tragique » peut être la mort du personnage dans d'atroces souffrances. Le tragique mêle des sentiments forts, par celui qui lutte contre son destin. La passion et la haine se confondent dans une tension qui retranscrit la menace omniprésente. Caractéristiques : Au théâtre, le

Le registre fantastique : → Le registre fantastique conduit le lecteur à un sentiment de malaise, le lecteur est saisi d’un doute, d’une pénible incertitude quant à l’explication de ce qui a été raconté : une explication rationnelle apparaissant comme impossible, reste une explication dérangeante puisqu’elle laisse la place à l’action d’une dimension surnaturelle ! Principes de base : Un cadre spatio-temporel d’abord réaliste : un monde connu, normal, rationnel… Irruption d’une force perturbatrice

Pour nourrir sa famille, Claude Gueux, un ouvrier sans travail, commet un vol. Il entre en prison et sera finalement guillotiné. Comment ce terrible itinéraire a-t-il été possible ? De ce récit, Victor Hugo tire un fervent plaidoyer contre la peine de mort et pour l’instruction du peuple. Un quiz pour commencer : 1 Pourquoi Claude Gueux se retrouve-t-il en prison pour cinq ans ? Il a commis un vol. 2 Quelle sorte de compagnon Claude Gueux est-il en prison ? Une sorte de roi établissant son

amie et moi sommes toujours en désaccord !  -Pourquoi pensez-vous cela… ? » Mon psychothérapeute fit une fois encore le tour de la petite salle de consultation et me regarda d’un air curieux. Je réfléchis un court instant et je commençai mon explication : « -J’ai un exemple bien précis, hier soir lors d’un diner en tête-à-tête nous parlions de nos lectures actuelles et une fois de plus nous ne partagions point le même avis. J’ai cité une citation d’Albert Camus que je trouvais juste et encore

pas mais, ça peut nous permettre de nous apprivoiser nous-même, devenir notre propre ami et nous solidifier devant l’adversité. Je vous propose donc une initiation à la philosophie personnelle à partir de grandes questions actuelles comme la peine de mort, l’avortement ou l’euthanasie. Loin de vouloir vous proposer mes propres opinions, nous allons simplement chercher comment nous pouvons nous en former une en essayant d’éviter les écueils de la facilité démagogique et des lieux communs usuels en

conscience du personnage. C’est d’ailleurs par hasard que nous apprenons indirectement son nom au fil Evènement raconté lorsque le directeur de l’asile prononce le nom de « Mme de Meursault ». L’oralité du discours est apparente ce discours est à peine plus construit que le télégramme que Meursault reçoit. Le premier malaise apparaît très rapidement par une succession d’actions mécanisés « l’asile est à deux kilomètres du village » j’ai fait le voyage à pied, j’ai voulu voir maman tout de suite.

faubourg (banlieue), frêle (fragile), poussière (terre), dépouiller (analyser), heurter, trainer (déplacer), pansement, cracher, maquereau (proxénète), soûl (bourré), cabanon (cabane), mécontent (fâché), aumônier (prête), pourvoir (révision de la peine). Expressions : Rire à perdre haleine, être en nage. 3. Transcrivez une phrase ou un passage qui vous a particulièrement plu et essayez d’en faire un petit commentaire. (Deuxième partie. IV) Même sur un banc d’accusé, il est toujours