Expose Sur Adam Smith

pas forcément qu’on fume etc…). Ex : obsolescence programmée. 50) Commerce international 1. La théorie des avantages comparatifs permet-elle encore de comprendre le fonctionnement réel du commerce international ? Théorie du libre-échange (Adam Smith) On a plus intérêt au libre-échange qu’au protectionnisme. C’est la théorie du libre-échange en terme d’avantages absolus. Il prend deux pays et affirme que le pays qui a des coûts de production plus élevés a intérêt à arrêter de produire et à

possède pas, sont dits rares. Ce n’est pas l’homo œconomicus, l’homme vit en société. Le boulanger, à son tour, se doit d’obtenir la recette qui surcompense les sacrifices qu’il a consentis pour produire le pain.⇒ Théorème de la main invisible d’Adam Smith. 2e observation : chaque acteur cherche à obtenir le plus et à dépenser le moins. Le prix qui résulte de cette confrontation est ce qui permet de réaliser l’équilibre , c'est à dire la l’équilibre, satisfaction des deux acteurs. Cette situation

œuvrer pour le bien commun ? Bentham rejoint ici Adam Smith sur la problématique de l’harmonie naturelle entre les intérêts privés et l’intérêt collectif. Selon Smith, l’intérêt collectif résulterait de la recherche de l’intérêt personnel. L’ensemble des intérêts individuels conduirait naturellement et harmonieusement à l’intérêt général. Comment peut-on affirmer que l’intérêt égoïste coïncide harmonieusement avec l’intérêt général ? Smith répond grâce à la métaphore de la main invisible

apparences en la matière peuvent être trompeuses. l.1) Si l'internationalisation des échanges est souvent perçue comme un facteur de chômage dans les pays industrialisés... a) La concurrence internationale peut détruire les emplois dans les secteurs exposés (document 2) Les effets destructeurs de la mondialisation sur l'emploi dans les pays industrialisés sont souvent dénoncés à travers la désignation de deux phénomènes liés. D'une part, une concurrence exacerbée en provenance de pays à faibles coûts

libérale naissante et de science naissante s’en trouve renforcée. Mais nous disinguerons tout de même les français des anglais car il y a aussi une spécificité « nationale ». Nous avons terminé avec Smith. Rappelons en quelques mots le point atteint dans l’histoire de la pensée économique grâce à Smith. Certes il y a des points faibles ! + théorie de la valeur ambiguë, pour le moins + analyse monétaire faible (Hume était meilleur) + théorie de la rente résidu Certes il y a des reprises ! Certes la

statistiques et les grands recensements ; matériaux statistiques du 19e qui permettent de revenir au 18e, de le comprendre). Quand on parle des théoriciens de l’économie politique naissante ; on utilisera des textes d’économistes du 18e siècle (Adam Smith, etc. nous parlant des espaces économiques. Vauban, fin 17e et début 18e, a laissé des écrits intéressant du point de vue de l’histoire économique cf. ouvrage « la dîme royale ». Cantillon a écrit dans le premier tiers du 18e, publié à titre posthume

classique. Laisser faire : laisser les entreprendre … . Laisser passer : laisser circuler librement les marchandises. Le libéralisme économique se traduit par une opposition à l’interventionnisme étatique. La pensée classique a commencée avec Adam Smith. Il a publié La richesse des nations en 1876. La pensée classique s’est épanouie avec une deuxième génération d’auteur : Jean Baptiste Say. Puis il y a David Ricardo : les principes économiques et politiques en 1817. Enfin, Malthus avec ses

pour le lien étroit qu'elles entretiennent avec la formation de l’État moderne et des empires coloniaux, et enfin, pour la persistance de certaines de ces pratiques jusqu'à nos jours malgré leur diabolisation par les économistes libéraux depuis Adam Smith. Le cas de l'Angleterre attire plus particulièrement l'attention car c'est dans ce pays que va naître la forme la plus aboutie du mercantilisme ; c'est par ces politiques que l'Angleterre parviendra à une situation quasi-hégémonique au niveau mondial

chapitre couvre une période allant des débuts de la révolution industrielle en Europe (1760/1770) jusqu'à la fin du 19ème siècle. C’est la période où se développe la pensée économique classique. Elle sera représentée par de nombreux auteurs, dont Adam SMITH, Robert Thomas MALTHUS, David RICARDO, Jean-Baptiste SAY. Elle trouvera son apogée dans les analyses de Karl MARX. Le tableau qui suit (extrait d’un ouvrage de M. Vigezzi cité au chapitre précédent) présente différents éléments nécessaires à

mesure où ils prônent les excédents indéfinis et se méfient de la concurrence internationale. Les auteurs classiques comme Smith, Ricardo et Malthus vont redéfinir la notion de richesse, non par le stock d’or accumulé- matière suptilisable par les concurrents , mais par ‘’le travail de ses habitants et par les moyens dont elle dispose pour l’employer au mieux’’ Pour Adam Smith, il faut se spécialiser dans le métier où on est comparativement le meilleur. De même, selon David Ricardo chaque nation