Expose Sur Le Mythe De La Caverne

connues une carrière exceptionnelle. Encore une fois, on a un parallèle possible avec la vie du Christ : par la mort du Christ, le sacrifce pour autrui est devenu important. L'allégorie de la caverne • Visualisation d'une vidéo (ID youtube : 2yfePu67xol) Trois observations sur ce mythe universel : – Montre la caverne comme un « rite de passage » philosophique. Du stade de celui qui ne voit que des ombres à celui qui est capable de voir la lumière et la source de toutes lumières. – La philosophie comme

d’architecture. Le contenu du cours sera centré sur les arts plastiques, de la préhistoire jusqu’à l’époque contemporaine. En outre, l’enseignement sera partiellement dispensé d’une manière interactive avec les étudiants, en les invitant à présenter des exposés. Un intérêt particulier sera accordé aux discussions et travaux collectifs orientés. Etant construits avec les étudiants et par les étudiants, les cours d’histoire de l’art viseront à développer chez ces derniers une curiosité et un goût pour questionner

savoir formel (personne ne nous l'apprend). On connaît les codes en regardant les médias, en leur étant exposé. C'est un savoir fort, prégnant, qui apprend beaucoup. • un enfant de sept ans est capable de reconnaître si c'est un JT, une série, un reportage, une pub, un documentaire,... si on le met devant la TV sans les génériques et sans qu'on le lui ait appris. Il a juste été exposé aux médias. Le temps médiatique (temps qu'il faut au publicitaire pour nous faire comprendre ce qu'on voit)

ou indirectement sur cette période de l'histoire allemande. tel-00772604, version 1 - 10 Jan 2013 D'un côté nous trouvons des oeuvres qui portent sur la mémoire collective allemande et européenne comme le film expérimental Herakles Höhle [La caverne d'Héraclès] (1983 – 1990) et le documentaire artistique Zeit der Götter [Le temps des dieux] (1992) de Lutz Dammbeck ou encore le signe de mémoire fragen! [questionner!] (2005) de Karla Sachse. Insistons sur le fait que le film Herakles Höhle représente

que l’entrevue a lieu, selon la didascalie, dans une « caverne » où brûle le foyer des magiciennes. Ensuite l’invocation aux puissances infernales va produire cinq apparitions successives : « une tête armée », « un enfant sanglant », « un enfant couronné, avec un arbre dans la main », puis la « vision de huit rois » que « suit le Spectre de Banquo ». L’ensemble fait penser, dans le registre fantastique, à l’allégorie platonicienne de la caverne dans le Livre VII de La République. Le spectacle des fantômes

mauvais gvt despotique. Un nvx commencement s’accompagne d’une très forte mobilité fondatrice. - Une très forte mobilité fondatrice. Amérique a le droit de bouger via une nature abondante et sans limites. Ce qui fait mythe fondateur, c la traversée des esp intérieurs, mythe de la Californie, de la nvelle frontière. Le cinéma fondé sur la route (route 66). L’Amérique, c le mvmt, le changement. Chez eux, y a le voisin qui n’est jamais très loin. - Des micro sociétés très différentes les unes

propos du personnage d’Hythlodée, Coogan 1971 et Kautsky 1927, 131-139. 18. Quattrocki 1971, 27, souligne le parallèle entre le sens du devoir dont fait preuve le voyageur philosophe et le mythe de la caverne tel qu’il est exposé par Platon au livre V de la République : le philosophe retournera dans la caverne, après avoir vu la lumière. 127 Kentron_24.book Page 128 Jeudi, 13. novembre 2008 4:48 16 Emmanuelle Lacore-Martin Pour autant, si la sagesse de Socrate est tout intérieure, le

                    1 – Le langage du mythe     a – Approche du mythe     b – Mythes et récits  Mythe et légende  Mythe, récit et ordre  Les dimensions du mythe  c – Le contenu et les fonctions du mythe             a/ Mythe et mise en situation                    ‐  Les modes d’approche                   ‐  Mythe et savoir                   ‐  Vraie ou fausse historicité du mythe             b/ Mythe et totalité             c/ Mythe, religion et société  A – Une difficulté langagière  B – Présence et absence du mythe           ‐  L’un et le multiple 

Le biais de narration : un biais cognitif, il est intrinsèque à notre façon de parler. L’être humain a toujours besoin de donner une cohérence aux évènements, un sens. On ne supporte pas le hasard. Cela est lié à la culture occidentale, le mythe de la caverne. Les SS se sont construites autour de l’idée que l’on pouvait objectiver la réalité. Ex : le mode aléatoire de l’Ipod. On veut trouver une cohérence. / L’expérience du bandit à bras multiples : un ordinateur branché à un clavier, une série de

l’intelligence de l’homme n’est pas un don divin, car sur le plan évolutif, selon Bergson, c’est la nécessité de créer des moyens de subsistance, qui a conduit l’homme à devenir un inventeur. III°/ Du mythe platonicien à la conception aristotélicienne. Dans le Protagoras de Platon, on peut lire le mythe de Promethée et d’Epimethée, défendant l’idée selon laquelle l’intelligence et la technique sont des attributs divins donnés aux hommes. Alors que Zeus avait demandé aux deux fréres Promethée et d’Epimethée