Exposé Sur Le Personnage Calypso

VI Le chant V, marque la fin de la télémachie, et le début des chants chez Alcinoos, même si nous ne sommes pas encore dans le récit d’Ulysse. Nous assistons dès le début du chant au conseil des Dieux où l’on apprend qu’Ulysse est retenu chez Calypso. Zeus, sur les conseils d’Athéna envoie Hermès chez la Nymphe qui libère finalement le héros non sans aide, ce qui marque l’appui particulier des Dieux dont il dispose. Poséidon à l’origine des maux d’Ulysse déchaîne des vents sur la mer, et, dès

propre? Pour tenter de répondre à cette interrogation, nous nous pencherons tout d'abord sur le rôle d'Athéna et de Zeus et nous demanderons quelle place tient chacun d'eux auprès du héros. Puis nous nous intéresserons au cas d'Hermès et de la Nymphe Calypso et tenterons de savoir quelles sont leur utilité dans le récit et donc dans le destin d'Ulysse. Enfin, nous examinerons les caractères du héros lui-même afin de déterminer s'il est entièrement soumis aux divinités citées précédemment ou bien si certaines

du chant I : le récit commence lorsque, « dans le cercle des années, vint le moment où les dieux avaient décidé qu’il rentrerait chez lui, à Ithaque » (I, 16-18). Il prend le héros au moment où il est le plus éloigné sa patrie : il est retenu par Calypso dans l’île d’Ogygie, aux confins de l’univers, « loin des villes où les hommes offrent aux dieux leurs hécatombes les plus belles » (V, 101-102). Ce retour est très précisément programmé par Zeus au début du chant V, v.34-37. 2-L’Odyssée : sens

Exposer Ulysse Introduction : Homère est considéré comme un poète par excellence. Nous savons que sa biographie reste floue. Malgré tout on sait que dans l’Antiquité, Homère représente l’aède et est surnommé « l’aède aveugle ». Ses œuvres tels que L’Iliade et L’Odyssée ont toujours eu à travers les siècles un grand succès. Ulysse, personnage de ses œuvres est le fils de Laerte et d’Anticlée. Personnage à la fois divin et humain, il est le mari de Pénélope et le père de Télémaque. Les aventures

merveilleux est omniprésent, notamment dans les chants V à XIII qui racontent le voyage d'Ulysse, notre héros, de chez Calypso jusqu'en Ithaque, son île natale. En effet, durant son voyage Ulysse, tout comme le lecteur est confronté à l'illusion et pourtant il se laisse aller à cet univers qui sort de la réalité, où la magie est une partie intégrante du récit, et où les personnages eux-aussi ont des caractéristiques fantastiques, comme les sirènes, le cyclope ou Charybde et Scylla. Quel rôle le merveilleux

Le personnage d'Ulysse est t-il seulement le héros d'une épopée? L'Odyssée d'Homère est un des textes poétiques fondateurs de la littérature grecque antique. Cette épopée est un récit poétique en vers où le merveilleux se mêle à un registre plus réaliste. Elle est le chant d'une collectivité et fait se rejoindre les forces humaines et les forces divines. Composée pour être chantée par les aèdes, elle est séparée en chants qui racontent les exploits héroïque d'un personnage, Ulysse. D'ailleurs

perpétuellement. Tantôt dans des rapports de force, tantôt dans des relations plus protectrices, ces différents groupes de personnages restent toujours en lien les uns avec les autres. Nous pouvons donc nous demander si ces différentes catégories se différencient les unes des autres et par de quelle façon. Ici nous nous intéressons aux principales caractéristiques des personnages. En quoi les Dieux et les monstres peuvent-ils s’assimiler à l’humain ? Enfin comment les créatures divines et autres monstres

du chant I : le récit commence lorsque, « dans le cercle des années, vint le moment où les dieux avaient décidé qu’il rentrerait chez lui, à Ithaque » (I, 16-18). Il prend le héros au moment où il est le plus éloigné sa patrie : il est retenu par Calypso dans l’île d’Ogygie, aux confins de l’univers, « loin des villes où les hommes offrent aux dieux leurs hécatombes les plus belles » (V, 101-102), « sur ce nombril des mers » où la fille d’Atlas tient captif « le malheureux qui pleure » (I, 52-54)

puis ensuite égallement sa femme Hélène. Pisistrate éxpose le but du voyage; les regrets de Ménélas ont ému toute l'assistance mais l'exposant met fin aux larmes. Hélène et Ménélas rappellent les exploits d'Ulysse. Le lendemain, Ménélas expose tout ce qu'il sait sur l'abscent. La ruse d'Idothée lui a permis d'intéroger Prothée qui lui narra le naufrage d'Ajax, fils d'Oïlée et le meurtre d'Agamemnon par Egiste. Ulysse est vivant mais la nymphe Calypso le retiens captif dans son île. Télémaque reçoit

prononcée et une esthétique de la décrépitude. La gamme chromatique est limitée avec des tons morne, les arbres penchés et les remous de la mer témoignent d'un vent fort, le ciel est tourmenté et obscure → jour « triste » → représente l'état d'âme du personnage. La femme elle même est penchée, comme sans énergie, plongée dans une méditation avec son regard tourné vers le lointain. Son regard semble se perdre dans cet infini avec une grande nostalgie, comme dans l'espérance d'un monde meilleur loin d'ici