Exposé Chant D Ombre

SENGHOR ET DAVID DIOP 27 décembre 2009 EXPOSE : CHANT D’OMBRE ET COUPS DE PILON DE LEOPOLD                  S.SENGHOR ET DE DAVID L. M. DIOP    PLAN : INTRODUCTION              I/PRESENTATION DES AUTEURS               1/SENGHOR : BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE              2/DAVID DIOP : BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE            II/ANALYSE DES ŒUVRES 1.      / CHANT D’OMRE 2.      / COUPS DE PILON         III/LES THEMES DEVELOPPES 1.      /DANS CHANT D’OMBRE 2.      /DANS COUPS DE PILON       IV/LES

en tout et 76 poèmes insérés dans ces lettres ou formant eux-mêmes des lettres autonomes, sorte de poèmes épistolaires. Les poèmes extraits de cette correspondance privée forment alors un florilège posthume publié en 1947, d’abord sous le titre « Ombre de mon amour » ( voir ci après séquence 1ère L ), puis sous le titre qu’on lui connaît, Poèmes à Lou. Certains textes sont d’ailleurs repris et remaniés dans Calligrammes, recueil qui a largement exploité cette thématique de l’amour et la guerre.

lugubre grâce aux rimes riches (ombre / sombre). Gradation ascendante décrivant cet univers infernal « prison, bagne, enfer » Travail possède une double image contradictoire car il oppose la faiblesse des enfants « doux être pensifs » ; « accroupis sous les dents d’une machine sombre » ; « innocents dans un bagne » à la puissance des machines. Emploi de modalités exclamatives « hélas ! », de phrases nominales v12 « cendre » peut avoir une double image : celle du charbon exposé dans l’usine / corps des

comme dans les deux autres poèmes, mais en s'éloignant de plus en plus de la réalité, au point que ce rêve se rapproche progressivement dans le poème de la mort : les répétitions « il ne me reste plus […] qu'à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l'ombre ». montrent que le rêve de la femme aimée devient de plus en plus impossible et macabre. Commentaire : poème de R. Desnos, Corps et Biens, « J'ai tant rêvé de toi », 1930. En 1930, R. Desnos publie le recueil intitulé Corps

l’ingéniosité de Loti lorsqu’il s’agit d’accomplir un véritable travail d’artiste pour dépeindre les horizons blancs, immensément vides, qui déchirent le ciel d’Islande. Dès la première ligne, la description se pose comme un tableau de paysage marin exposé avec grande sensibilité. En quoi cette description au lyrisme prononcé se fait-elle héritière des thématiques du romantisme pour façonner un tableau emblématique de l’esthétique impressionniste ? Après avoir mis en évidence les différents éléments

J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués En étreignant ton ombre À se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas Au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante Et me gouverne depuis des jours et des années, Je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps Sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps exposé A toutes les apparences de la vie Et de l'amour et toi, la seule

(dans Poésies inédites), 1860 - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou, 1947 Deux recueils de poésie contenant quelques poèmes amoureux : - Jacques Prévert, Paroles, 1946 - Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 et Je cours après mon ombre, 1981Marceline

------------------------------------------------- Exposé Léopold Sédar Senghor : Joal, du recueil Chants d’Ombres. Introduction * Senghor disait, pour rendre hommage à son continent africain : «  Ecoutons son chant, écoutons battre notre sang sombre, écoutons Battre le pouls profond de l'Afrique dans la brume des villages perdus ». Cet esprit est également présent dans le poème en vers libre ; Joal, celui-ci est tiré du recueil de poème Chant d’Ombre, écrit en 1945 par Léopold Sédar Senghor

cette œuvre ? Quelles émotions veut-il nous transmettre ? Dans un premier temps je m’attacherai à situer l’œuvre dans son contexte historique et dans la carrière de l’artiste et je tenterais d’en dégager la signification. Enfin je terminerais cet exposé par des commentaires plus personnel. I Edward Hopper et le contexte Historique « A room in New York a été réaliser en 1932 par Edward Hopper qui exerçait essentiellement son art à New York, où il avait son atelier, il est considéré comme l’un des

souffrant) cœur fond d’ire ( = de douleur) Et plaindre n’ose, ni dire Ma douloureuse aventure. Ma dolente vie obscure, Rien, fors ( = si ce n’est) la mort ne désire ; Je ne sais comment je dure. Et me faut, par couverture ( = dissimulation), Chanter que mon cœur soupire Et faire semblant de rire ; Mais Dieu sait ce que j’endure. Je ne sais comment je dure. Rondeaux, avant 1430 De claris mulieribus, Giovanni Boccaccio (Quatre suivantes de la Reine jouant de la musique