Exposé Condition Ouvriere

II.A Contexte : condition de l'ouvrier et de l'ouvrière au 19ème siècle Au XIX ème siècle en France, en Angleterre et en Belgique, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains gémissent sous le poids de l'exploitation sans cesse accrue. Privés d'argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans la promiscuité. Corruption et vices règnent, l'alcoolisme est aussi un de leurs fardeaux. C'est une condition misérable qui est celle de l'ouvrier dans ce

mettre hors la loi un mouvement qui, de toute façon, s'exprimera. Après le traumatisme engendré par les massacres de mai 1871, le mouvement ouvrier reprend progressivement de l'ampleur. En 1872, le gouvernement dissout le Cercle de l'Union ouvrière de Paris qui réunit quinze chambres syndicales. Pour faire face à la multiplication des grèves, le pouvoir accepte enfin l'abrogation de la loi Le Chapelier et des articles du Code pénal napoléonien contre les coalitions, qui interdisaient depuis

L’URSS à la fin de l’ère stalinienne Le redressement de l’URSS _Pénurie  inflation  mauvaise conditions de vie. _ Un aspect positif _ le développement économique des pays d’Europe de l’Est dont les conséquences s’avèrent être durable.  Transferts de moyens de productions industriels ainsi que de la main d’œuvre  le développement des infrastructures (voies ferrées, routes, réseaux de transports)  un acquis précieux _ augmentation de la production  ces régions deviennent l’Arsenal

partie de ce qu’on appelle de nos jours « la pauvreté cachée ». Les « working poor », confrontés à la précarité et à vivre au jour le jour, s’apparentent à la classe ouvrière du début du 20ème siècle. On croyait que l’exploitation et la misère dataient d’un temps révolu en Suisse, les faits prouvent le contraire. Autrefois, les luttes ouvrières s’insurgeaient face à ces situations d’inégalités entre patronat et ouvriers. A présent, même les syndicats semblent ne plus croire au changement. Pour comprendre

traite du travail des ouvriers dans un contexte bien particulier , celui de l’industrialisation . Cette ère industrielle marque le début d’un nouveau mode de production amené par le Fordisme et le Taylorisme : le travail à la chaîne. Ici , Tocqueville expose sa thèse quant aux conséquences sur l’ouvrier de ce type de travail. Ainsi , il inscrit son texte dans le thème des effets de la technique , plus particulièrement des progrès techniques , sur le travail. L’auteur cherche à montrer que le travail

avait prié la Cour de juger que certains emprunts émis sur le marché français et d'autres marchés étrangers par le Royaume de Norvège, la Banque hypothécaire du Royaume de Norvège et la Banque norvégienne des propriétés agricoles et habitations ouvrières stipulent en or le montant des obligations de l'emprunteur et que celui-ci ne s'acquitte de la substance de sa dette que par le paiement de la valeur or des coupons ou des titres amortis. La requête visait expressément l'article 36, paragraphe 2

industries rurales ou quand la foule ouvrière est populeuse, les réunions se tiennent souvent à l’extérieur de la ville, en plein air. Cette pratique paraît mieux garantir la discrétion, dont l’habitude perdure même un temps après la légalisation de la grève. Et si les ouvriers des ateliers des villes disposent, à proximité de leur lieu de travail, d’espaces de convivialité, il n’en est pas forcément de même ailleurs. À Paris, les masses ouvrières se retrouvent volontiers près des barrières

que des résidents de ces quartiers, habitant chez leurs parents, pour la plupart ouvriers, qui avaient la particularité de loger dans ces grands ensembles d’immeubles. Ceux-ci avaient été construits à l’époque pour accueillir en autre cette classe ouvrière, car il y avait une pénurie de logement durant les Trente Glorieuses. Alors, comment en est-on arrivé à la construction d’une image négative du jeune de cité? Qu’est ce qui a bien pu rendre leur image si mauvaise ? Afin de comprendre le sens

l'objectif de consolider la prédominance du grand capital ; 2. le rejet des institutions démocratiques auxquelles on substitue des méthodes nettement dictatoriales ; 3. la répression acharnée contre le prolétariat (destruction des organisations ouvrières par des procédés "plébéiens", selon la juste expression de Trotsky, mesures d'extrême violence, allant jusqu'à la destruction physique, contre les militants ouvriers, suppression des acquis de la classe travailleuse, établissement d'un régime d'esclavage

La période des Trente Glorieuses s’étend de 1945, à la suite de la Seconde Guerre Mondiale jusqu’à 1974, suite au choc pétrolier. C’est une période de forte croissance économique, qui touche principalement les pays développés. De nos jours, la condition des classes moyennes est remise en question et leur position sociale est moins assurée. Quelle est l’importance des classes moyennes aujourd’hui alors que ce groupe qui se construit lors des Trente Glorieuses a eu une place dominante dans