Exposé Conformisme

Albert Camus, auteur du 20ieme siècle est un écrivain, dramaturge et grand philosophe français. Il publie en 1942, le célèbre roman « L’étranger » qui met en scène Meursault, un personnage refusant tout conformisme social. Ce texte est un extrait de celui-ci et en est l’incipit. Camus nous expose une scène de violente dispute entre l’aumônier et Meursault, attendant son exécution. Nous nous demanderons, en quoi cet incipit est-il une prise de conscience pour le personnage de Meursault. Aussi, nous

extérieure à ceux qui lui obéissent. L’autorité qui agit n’est pas une abstraction. Elle est incarnée par une personne animée d’intentions et s’exerce sur un groupe qui l’a promue et se reconnaît en elle. Si l’autorité encourage la soumission, le conformisme peut être surmonté lorsque les sujets s’interrogent sur la rationalité des décisions de leurs supérieurs et dénoncent selon Weber la « rationalité instrumentale » au nom d’une « rationalité des fins ». Il existe différents types d'actes de langage

qui est dangereux, c'est l'obéissance aveugle. Un autre moteur de l'obéissance est le conformisme. Lorsque l'individu obéit à une autorité, il est conscient de réaliser les désirs de l'autorité. Avec le conformisme, l'individu est persuadé que ses motivations lui sont propres et qu'il n'imite pas le comportement du groupe. Ce mimétisme est une façon pour l'individu de ne pas se démarquer du groupe. Le conformisme a été mis en évidence par le psychosociologue Solomon Asch dans l'expérience de Asch

réalité qui nous est habituelle. Mais lorsqu'il s'évertue à partager son expérience à ses contemporains, il se heurte à leur incompréhension conjuguée à l'hostilité des personnes bousculées dans le confort (illusoire) de leurs habitudes. La caverne expose sa théorie de l'acquisition des connaissances. Platon montre que la connaissance des choses nécessite un travail, des efforts pour apprendre et comprendre. Selon Platon, seuls les philosophes disposent par leur connaissance des idées, et plus particulièrement

jeu de figures de style : comparaison, métaphore personnification, hypallage, c’est-à-dire par une utilisation menée avec virtuosité des ressources poétiques. C. La liberté de la création poétique Au caractère illimité du voyage, au refus du conformisme qu’il exprime, à son absence de contraintes, s’associe la liberté de la création poétique. q Par une absence ou un refus des contraintes poétiques classiques. Certes, c’est un sonnet, mais il ménage de nombreux effets de rupture : utilisation inexpliquée

politique"). C'est également lui qui est à l'origine du système de renvois qu'il expose dans l'article "Encyclopédie": ce jeu de renvois, encore appelé "ruses de raison" permet d'exprimer une violente contestation à l'endroit où on l'attendrait le moins. Diderot insuffla à l'Encyclopédie un esprit résolument réformiste et constructif, ce qui passait, naturellement, par une remise en cause préalable des conformismes sociaux, politiques et religieux.

je n’en ai fait qu’à ma tête », il expose son refus. De plus, les trois dernières phrases montrent son côté réaliste : il ne veut pas dormir (rester passif), il ne veut pas rêver (être utopiste). Il quitte donc ses amis pour ne pas se laisser enfermer par les conventions. Le collage illustre ce désir. Le fait de « jouer du chien à poil dur » au lieu du caniche, « de jouer du phoque et du saumon fumé » au bord de la mer, aident à exprimer le refus du conformisme. *** L’auteur s’identifie presque

commence à peindre dans son Aveyron natal avant de « monter à Paris » à dix-huit ans pour préparer le professorat de dessin et le concours d'entrée à l'école des beaux-arts. Il y est admis en 1938 mais il est vite découragé par la médiocrité et le conformisme de l'enseignement qu'on y reçoit et retourne à Rodez. Pendant ce bref séjour à Paris, il fréquente le musée du Louvre et voit des expositions de Cézanne et Picasso qui sont pour lui des révélations. Il est mobilisé en 1940, mais démobilisé dès

relient ses œuvres est particulièrement explicite : on retrouve dans le conte le thème central de la solitude et de la soif sous les étoiles, l’univers du désert, de même que les figures familières de l'aviateur et du renard des sables. Saint-Exupéry y expose sa volonté de délivrer un message ; une quête présente dès Courrier Sud (1928) et Vol de nuit (1931), qui ne cessera de s’exacerber au fil des œuvres par l'affirmation d'une morale humaniste de l'individu. L’aviateur du Petit Prince prolonge ainsi

est maintenue par les rapports affectifs qui s’exercent entre les membres d’un groupe. Ce chapitre traite également de la déviance et du conformisme. Les travaux de Lewin sont exposés. Ils portent sur les phénomènes de cohésion ainsi que sur les indices opératoires susceptible mesurer la cohésion propre à un groupe. Les travaux de Sherif sont également exposés. Ces travaux sont issus d’expérimentations effectuées sur le terrain. Ils nous informent des conséquences d’une trop grande attention portée