Exposé Espagnol Le Mythe De Dom Juan

(“La vérité suspecte”), pièce de Juan Ruiz de Alarcon (1580-1639), d'abord attribuée à Lope de Vega, qui contient tous les éléments qui font le charme du romanesque comique espagnol : un maître élégant et un valet spirituel, de jolies filles, des rencontres heureuses, des galanteries, un rendez-vous de nuit sous un balcon, un duel, des quiproquos et une situation embrouillée, le tout avec un mélange de panache et de désinvolture caractéristique de la manière espagnole. Mais les bouffonneries en sont

ont été conservés). Le Roman de la Rose a eu deux auteurs qui avaient des intentions totalement opposées : • Guillaume de Lorris (1200/1210 – 1240) Auteur de la première partie (4000 vers) composée vers 1235 mais laissée inachevée. C’est un exposé de ce qui constitue la doctrine de l’amour courtois. Il utilise des allégories. La rose est le symbole de la femme aimée. Tout le poème narre les difficultés et les peines de l’amant dans la quête du cœur de son aimée. Vu qu’il y a des allégories

épisode réel et historique transposé dans l ‘Enéide. - Reflet des mentalités par les types de personnages : guerrier violent, etc Quelques exemples du rapport épopée / histoire :Transposition de noyau historique en vue de la recomposition du mythe : Iliade : achéens / troyens : guerre, expédition, pillage. Troie : ville réelle mais également représentation symbolique de la synthèse d’événements historiques. La Chanson de Roland : Charlemagne, perso. réel et historique, reflet de l’époque carolingienne

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112 Le pastiche et la parodie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114 La réécriture d’un mythe  . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116 Les réécritures de Flaubert par lui-même . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

des événements rationnels et des événements irrationnels, des événements explicables et des événements inexplicables. Jusqu'à l'océan des paradoxes. (...) Pour être juste, il faut préciser que chacun vient au fantastique comme dans une auberge espagnole : en n'y trouvant que ce qu'il apporte. Selon sa vision de la chose littériare, selon sa propre conception de l'imaginaire et, plus encore, selon qu'il désire accueillir telle ou telle oeuvre et exclure telle ou telle autre." 5 LES GENRES PROCHES

français (IXe siècle) pro deo poblo savir, podir fradre > > > > > > Français moderne pour dieu peuple savoir, pouvoir frère Rapprochements lexicaux Latin classique Ancien français Français moderne Italien Espagnol Portugais pro pro pour per para para deus, dei deo dieu dio dios deus frater, fratris fradre frère fratello (hermano) (irmão) dies, diei di (jour) (giorno) día dia (bas

s á m o g l A 1 Espagnol re B1 Élisabeth Mazoyer Inspectrice pédagogique régionale honoraire Jean-Patrick Mazoyer Professeur certifié – Académie de Nantes avec la collaboration de Javier Soler Programme 2011 Toutes les références à des sites Internet présentées dans cet ouvrage ont été vérifiées attentivement à la date d’impression. Compte tenu de la volatilité des sites et du détournement possible de leur adresse, les éditions Belin ne peuvent en aucun cas être tenues pour responsables

Au-delà des épreuves du lycée, ces lectures vous invitent à des références qui développeront votre culture générale et citoyenne. Liste de lecture non exhaustive Théâtre : Corneille, Le Cid, L’Illusion comique Racine, Phèdre, Bérénice Molière, Dom Juan, Tartuffe, Le Misanthrope Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, L’île aux esclaves Musset, Lorenzaccio Rostand, Cyrano de Bergerac Anouilh, Antigone Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu Ionesco

synthèse sera d'autant plus riche, variée qu'il y aura eu une réflexion non seulement sur les textes regroupés, mais de façon abstraite, théorique, sur des questions plus générales soulevées par le sujet retenu et qui ressortissent à la thématique, au mythe, à l'image, au genre, à la poétique, etc. Mais le « détour » (et j'employais ce terme dans mon manuel de 1994 et bien avant, et d'autres l'ont fait également, on verra pourquoi j'insiste sur le mot plus tard), le détour par une ou plusieurs littératures

excellence, mais on le critique. Lorsqu’on évoque sa grandeur, on déplore que ce soit Victor Hugo. Revue l’Hermitage organise un référendum : « qui est le plus grand poète ? », André Gide se rendra célèbre en disant : « Hugo, hélas ». C’est donc un mythe, une légende qui donne des variations sur un thème classique : Hugo est bête, ne pense pas. Couleur tapageuse, l’antithèse, l’incarnation de l’emphase, de la boursoufflure, outre gonflée de vent. Ces réactions n’ont rien d’extraordinaire. Reflet banal