Exposé Henry Ford

son nom (le diagramme de Gantt). On peut retenir aussi les noms de Bedaux et de Rowan (calcul de prime de productivité). Au 2tats Unis le Taylorisme se prolongera par le Fordisme avec le travail à la chaine. Le Fordisme : son mode de production. Ford est un industriel Américain (1863-1847), il est connut pour avoir introduit dans ses usines le travail à la chaine en adaptant à l’automobile les principes rationalisation de Taylor. C’est un continuateur de Taylor : le travail une fois parcellisé

un dieu, comme la base même de la vie. Quand à Robert Owen Il est considéré comme un des fondateurs même du socialisme utopique et a donc indirectement influencé Godin sur le plan politique. Il écrit en 1847 Book of the New Moral World[6] où il expose ses théories sur l’éducation, la morale et la religion : (Extraits traduits) : « 7. Que l’éducation et la condition soient aussi parfaits que le permettra la somme des connaissances et moyens, et que la seule division soit celle de l’âge ; aux enfants

dans cette optique, ensuite l'aspiration des employés à faire carrière dans ce domaine et la pression des contrôleurs de gestion à maintenir les équipements coûteux pleinement utilisés travaillent à l'encontre d'un changement pour la mise en flux. Henry Ford fut le premier, fin 1913, à réaliser l'énorme potentiel de la mise en flux. Il réduit de 90% la charge et le temps d'assemblage final du fameux model T. Il répercuta ensuite cette démarche à la fabrication des pièces, enregistrant des gains similaires

les  comptes  de  son  ménage  avec  ceux  de  son  commerce ...   Le « management » a connu ses premiers balbutiements au dix‐neuvième siècle, et s’est épanoui au vingtième.    « Le  vingtième  siècle  sera  le  siècle  du  management », écrivait  Henry  Mintzberg en 1989.  C’est  dans  les  années  1910  que paraissent les deux ouvrages fondateurs du management  moderne : « Les principes du management scientifique »,  de Frederick Taylor, en 1911, et  Administration industrielle et générale », d’Henri Fayol en 1916

chercheurs en sciences sociales ont pour mission, entre autre, d'accompagner les évolutions, avec lucidité et ténacité, pour tirer le meilleur parti des tendances les plus positives. Lucidité, car les situations concrètes dans des secteurs aussi exposés que les ateliers de conditionnement ne peuvent constituer qu'un mélange instable entre maintien et exacerbation du taylorisme et une pénétration de nouvelles pratiques dans lesquelles le travail devient une activité d'ordonnancement des commandes

Adam SMITH, philosophe et économiste, s'est aperçu que la technologie et la révolution industrielle permettaient d'augmenter la productivité des travailleurs et de réduire le prix des biens. Dans son livre "La richesse des nations", écrit en 1776, il expose le principe de la division du travail. Ainsi, dans une entreprise de fabrique d'épingles, il explique que plusieurs travailleurs spécialisés dans une seule étape de la fabrication d'épingles (étirer-rectifier-couper-aiguiser, etc…) pouvaient fabriquer

fonctionnement du corps humain. Informatique + nouveaux matériaux  chirurgie + prothèse Au cours du 19ème siècle, pour produire plus vite et surtout moins chère, la force des machines remplace celle des hommes dans les usines. Au début du 20ème siècle, Henry Ford impose le fordisme et le taylorisme avec le travail à la chaine. Les ouvriers effectuent des taches simples et répétitives. Ils doivent respecter une cadence imposée pour accroitre la productivité. Dans les années 1970, il se repend le toyotisme :

qui vont permettre aux entreprises de cibler leurs produits, pour augmenter leurs  ventes.  En  outre  on  définit,  la  segmentation,  le  type  de  produit,  sa  place  sur  le  marché,  son  prix,  et  sa  promotion.  En  1907, « le  Fordisme »  proposé  par  Henry  Ford, est une révolution. Le salaire des employés est augmenté, leurs conditions de  travail modifiées (travail à la chaîne), et la conséquence est un gain de productivité.      2. Evolution de l’innovation  2.1 Innovation symbole du progrès technique 

rubans clips ou agrafes : les clips sont des éléments qui permettent de fixer le câblage à la carrosserie de l’automobile. Sans les clips le montage sera trop complexe d’autant que le câblage restera détaché ce qui peut engendrer des bruits et sera exposé à des détériorations à cause des frottements. Figure 10: Exemple de clips 2. Différentes étapes du câblage: Pour pouvoir réaliser un produit en câblage, il faut impérativement passer par les étapes suivantes: • Zone coupe et préparation : C’est

certain cas inadapté, voir même risqué. Mais avant de rentrer dans le détail, il est nécessaire de bien comprendre l’origine de ce système et ses diff érentes caractéristiques. C’est ce que je vous propose de découvrir dans le premier chapitre de cet exposé. Dans un second temps nous verrons, à travers un bref descriptif de l’organisation type des centres de production automobiles, comment se met en place concrètement la politique des flux tendus, compte tenu des évolutions des produits, du contexte