Exposé Les Miserables

contre Napoléon III dans Les Châtiments (1853) ou encore poète épique avec La Légende des siècles (1859 et 1877). Il est également un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre-Dame de Paris (1831) ou Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose la théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827 et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, notamment

clamer l’innocence de l’officier. Dans l’article « Guerre » de son Dictionnaire philosophique portatif, Voltaire, pour sa part tonne contre les prêtres et leur reproche de bafouer le principe chrétien de fraternité en cautionnant la guerre : « Vous, misérables médecins des âmes, vous criez pendant cinq quarts d’heure sur quelques peccadilles et vous ne dites rien de la maladie qui nous déchire en mille morceaux ». Ainsi, l’écrivain peut choisir entre de nombreuses formes de littératures pour défendre

nommés par le roi. Le haut clergé au XVIIIème siècle plus qu'au XVIème, appartient à la noblesse (exemple : comte Montmorency, Rohan, La Rochefoucauld, Clermont-Tonnerre, Talleyrand-Périgord…). Le bas clergé possède une condition de vie est souvent misérable. C'est le cas en particulier des vicaires du clergé régulier. Cependant, la situation des curés varie aussi selon les régions. Les inégalités sociales existe au niveau du clergé et en son sein ce n’est d’ailleurs pas le seule a en avoir.

journal qu’il apprend sa mort. Il entame une carrière politique. Elu à l’assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l’entoure : la peine de mort, la misère, l’ordre moral et religieux. C’est en 1862 qu’Hugo termine « Les Misérables », immense succès populaire à l’époque. Fervent opposant au coup d’état du 2 décembre 1851, il doit prendre le chemin de l’exil jusqu’en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit « Les Châtiments » et « Les Contemplations ». De retour en France

comme le sont tous les criminels de la pensée une fois leur "folie" expurgée. Personnages : Winston Smith : Winston Smith servira également de prétexte dans la suite du roman pour exposer la société totalitaire qui l'entoure, les hommes qui y collaborent et ses ressorts les plus impitoyables. On verra ainsi exposé au fur et à mesure de ses rencontres la négation de l'amour et de la sensualité par l'ensemble de la société - avec l'exemple notable de l'ex-femme de Winston - ou encore une présentation

qui survivent dans la misère et la violence. Le décor urbain est marqué par les contrastes : les immeubles modernes côtoient les bidonvilles ; les avenues illuminées contrastent avec les ruelles sombres ; les bou�ques chics font face aux étals misérables ; les voitures ru�lantes se heurtent aux charretes brinquebalantes. Le roman montre aussi la diversité culturelle du pays, qui est le fruit du mé�ssage entre les popula�ons indigènes, les colons espagnols et les immigrants européens. Le roman

bouleversent toutes ces prescriptions. La dramaturgie romantique multiplie les personnages et les lieux, mêle le vers et la prose, le style haut et le style bas, le sublime et le grotesque, le beau et l’horrible. La préface de Cromwell, qui contient un exposé de la poétique hugolienne, est une véritable défense et une illustration du drame romantique, elle sert de manifeste à la littérature romantique. Comme pour le théâtre, la prose trouve dans le romantisme un épanouissement exceptionnel. Le romantisme

démentie, dans les vers suivants. - Quant à la confession publique qu’il fait (v.25 et suivants), c’est un chef-d’œuvre d’hypocrisie, puisque le lion choisit de se défendre, mais en s’accusant ! Ses crimes sont les pires de tous ceux qui sont exposés dans le texte : il a dévoré des animaux (v.26) et leur berger (v.29). La position, en rejet, de celui-ci laisserait presque croire à une hésitation du lion, quant à l’aveu de son crime. - Il conclut même : « je me dévouerai donc » (v.30), mais

Reformation du couple maître/valet, unis a la vie a la mort, et qui représente en qque sorte les 2 face de l’humanité d’un coté l’homme simple et partagé entre sa foi son honnêteté et sa fidélité envers son maitre. De l’autre coté le gd seigneur qui expose sa philosophie du changement en amour et projets. La violence des passions : Le premier acte a une couleur sombre due à la violence des sentiments : emportement de DJ dans la stratégie de la séduction, passion ardente suivie rapidement de satiété

pencherons sur le ressentiment exposé de Bardamu dans cette situation. Tout d’abord, il faut préciser que la ville décrite est inconnue dans cet extrait. Il n’y a aucune indication géographique ni aucun nom qui apparaissent. Le personnage de Bardamu évolue avec sa mère dans une « ville » sans plus d’indications. Les détails et la description de cette ville entrent néanmoins en conflit avec l’anonymat éphémère de celle-ci. L’état misérable et inachevé des rues qu’ils empruntent