Exposé Sur La Joconde

fable n'est jamais claire, jamais unique. De plus, cette morale n'exprime pas une vérité générale mais plutôt une multitude d'observations, de jugements tirés d'expériences diverses. En s'appuyant sur l'avis d'un critique contemporain, cette étude expose l'enseignement que souhaite apporter La Fontaine. Lien entre le détour et le Corbeau et le Renard Comme dans toutes ses fables Jean de La Fontaine se sert des animaux pour parler des travers des hommes. L’auteur utilise finalement le détour

de l’expressivité. Il n’y a pas ou quasiment pas de maquillage, la séduction se fait par le naturel. Elisabeth d’este avec l’hermine de de Vinci= la main crispée qui ne trompe pas. Très souvent le sentiment de la femme est rendu par l’animal. La Joconde = ça sera le modèle = posture de trois quarts, les mains, et le regard qui vous suit dans la pièce. Peinte avec beaucoup de réalisme. Raphael fille avec un bébé licorne = (on croit jusqu’au 17e que la licorne est un animal réel) le bébé licorne symbolise

représente la subjectivité de l’artiste, elle porte un message définit par ce dernier. Joseph Siffred Duplessis souhaitait en représentant Louis XVI exposer la grandeur de ce roi, Andy Warhol voulait lui montrer l’importance de l’argent dans sa société, certes ces deux messages sont tout à fait différents, mais dans les deux cas l’œuvre d’art porte à exposer un message aux spectateurs. De plus, l’œuvre est reconnue comme telle par la collectivité, on l’expose on la regarde. On se demande peut être pourquoi

malheur quand on cherche l'impossible. Celui qui s'accroche à l'impossible prend le risque d'aller vers la pulsion de mort et d'enfreindre les lois, c'est à dire, d'entrer dans les champs de la perversion. Au final, le désir est inquiétant parce qu'il expose l'homme au mal et à la destruction. Toutes les passions ne sont pas créatrices, nombreuses sont les passions tristes qui finissent dans la destruction. Dans ces conditions, doit-on considérer le désir comme un élément sur lequel on peut fonder son

La Jeune fille à la perle, de Vemeer : La Jeune Fille à la perle ou La Jeune Fille au turban  (Meisje met de parel) est un tableau de Johannes Vermeer peint vers 1665 et exposé au Mauritshuis de La Haye  aux pays bas. C'est une huile sur toile de 45cm x 40cm. On l'appelle aussi la « Joconde du Nord. Vermeer a travaillé avec des éléments chromatiques simples ; quelques glacis du même pigment expriment les ombres. Le turban est un mélange d'outremer et de blanc, il est surmonté

est célèbre pour avoir développé et défendu la théorie selon laquelle le Soleil se trouve au centre de l'Univers. La Terre, que l'on croyait auparavant centrale et immobile, tourne autour de lui. En 1543, année de sa mort, l’ouvrage dans lequel il expose sa conception du Monde est publié. Il influencera sur la pensée humaine et celle de l’astronomie. En effet depuis Aristarque, c’est la première fois que l'on propose un système héliocentrique, théorie physique qui place le Soleil au centre de l'Univers

collectivement les membres du groupe en fermant les yeux ou en rêvant, à savoir une femme. Les yeux clos, tous nous invitent au rêve, à la découverte de cette femme cachée et pourtant visible, totalement nue. Ici, le corps dénudé de la femme, est exposé moins pour décrire sa beauté que pour exprimer la liberté qu'il révèle. De plus, le fait que cette femme soit blanche mais que le fond soit très foncé, marque le contraste de la phrase qui l’entoure. «  Je ne vois pas … » alors qu’en regardant cette

tout ludique, où chaque élément prend plaisir à vivre, des statues monumentales aux couleurs flashy, en passant par les fleurs au sourire psychédélique, sans oublier le jeune homme éjaculant sous forme de lasso (« My Lonesome Cow-boy », qui n’est pas exposé à Versailles). Les œuvres hybrides de Murakami soulignent l’absurdité et la dérision d’un monde qui noie le non-sens général dans un amusement frénétique permanent. À la fois observateur et acteur de cette société globalisée, le japonais

HEGEL s’articule en deux temps. Hegel énonce tout d’abord une première idée directrice dans cet extrait, l’homme serait une copie de l’art (premier paragraphe). Puis l’homme permet le développement de l’art (fin du texte). Tout d’abord Hegel expose sa théorie, pour par la suite aboutir sur son idée principale « il faut donc ». Hegel affirme pour commencer, l’art est lié à l’homme « ne tient pas à autre chose qu’au fait que l’homme ». On a l’affirmation que l’art reste présent dans la culture

Vitruve (architecte romain qui vécut au premier siècle après J.C) explique que : « Lorsqu'il est employé dans les appartements dont les enduits sont à couvert, le cinabre conserve sa couleur sans altération ; mais dans les lieux exposés à l'air, comme les péristyles, les exèdres, et quelques autres endroits semblables où peuvent pénétrer les rayons du soleil et l'éclat de la lune, il s'altère, il perd la vivacité de sa couleur, il se noircit aussitôt qu'il en est frappé ». Ce dernier