Exposé Sur La Tchétchénie

(trucages…) : toutes les R démocratiques ne sont pas respectées. La Russie a la nostalgie de sa grandeur. Elle veut ê respectée dans ses frontières et refuse l’indépendance des R périphériques, surtout dans la mosaïque du Caucase (ex : Tchétchénie G civile). La Communauté des Etats Indépendants CEI regroupe la plupart des pays ex-membres de l’URSS. C’est un organisme de coopération éco et la Russie n’hésite pas à U le chantage éco (ex : bases Ukraine, Géorgie -> tarif hydrocarbures). Elle

système de relations internationales fondé sur le respect des principes démocratiques émerge un à l’ issue de la Première Guerre mondiale, lorsque dans une déclaration devant le Congrès des Etats-Unis, le 8 janvier 1918, le président démocrate W. Wilson expose son plan de paix pour le monde en « Quatorze points ». Très vite le programme wilsonien se heurte aux égoïsmes nationaux des grandes puissances européennes et au refus d’ Congrès à majorité républicaine d’ un accepter que les Etats-Unis ne deviennent

militaires spéciales. La partition de la Pologne par Catherine II aide à rapprocher la Russie du reste de l'Europe, au moins d'un point de vue géographique. Catherine II termine son règne par les conquêtes du Caucase, elle essaye de s’emparer de la Tchétchénie sans succès mais protège l’Arménie et la Géorgie contre la Turquie. Elle achève la conquête de l’Ukraine et d’une partie de la Livonie (Pologne). En Asie Centrale, elle conquiert certaines zones. La Russie a adopté le servage deux siècles plus tard

que ce jugement ne règle pas complètement la question, loin de là. Autre exemple : la plupart des Serbes ne comprennent pas qu'on les cloue au pilori à propos du Kosovo, alors que l'ONU se montre fort discrète sur le comportement de la Russie en Tchétchénie, de la Chine au Tibet ou dans le Xinjiang, de la Turquie au Kurdistan (dont elle nie d'ailleurs l'existence), sans parler de l'indifférence de la « communauté internationale » lors du génocide commis par les Khmers rouges dans les années 70. « Selon

progressivement tombées. Mais du coup émergent de nouveaux débats, concernant par exemple l’enseignement du créole à l’école, le choix de la graphie, ou encore le contenu des manuels d’histoire concernant l’esclavage. Un nouveau manuel, qui procède à un exposé bien plus détaillé et précis sur cette question et celle de l’engagisme a été adopté il y a deux ans dans les classes du secondaire. En métropole, un pas décisif a été franchi quand les deux chambres du Parlement ont adopté solennnellement un texte

étant responsable à l'égard de sa population. Cela signifie qu'il a la responsabilité de protéger sa population. S’il lui porte atteinte, on considère aujourd’hui qu’il perd sa souveraineté et peut alors être considéré comme défaillant et peut être exposé à des interventions de la communauté internationale. Ce concept s’intitule la « responsabilité de protéger » remplaçant le « droit d’ingérence humanitaire ». II. La reconnaissance internationale de l’Etat La reconnaissance est une

d’abord un repoussoir, une vision transnationale – parfois désignée comme juive ou américaine, demain peut-être chinoise – qu’il faut combattre, pour des raisons d’ailleurs plutôt ambiguës et contestables, comme nous le verrons dans la suite de cet exposé. 22 Pour Negri, c’est davantage un état de fait. En bon dialecticien, Negri veut inclure dans l’Empire les possibilités de son dépassement, c’est la raison pour laquelle il estime que l’Empire « enregistre aussi

réclamant leur indépendance, voire leur rattachement à la Russie. Il faut rappeler que l’Ossétie du Nord est l’une des 7 petites républiques autonomes qui dépendent de la fédération de Russie dans le Caucase dont la plus connue est sans conteste la Tchétchénie. En août, le président géorgien, Mikhaïl Saakachvili, a décidé de rétablir par la force la souveraineté sur l’ensemble du pays. Il s’était engagé, depuis son arrivée au pouvoir, à réintégrer les deux républiques rebelles. Le positionnement russe

L’occident ne peut plus aider les sociétés du tiers monde à résoudre leurs problèmes. Et lorsqu’une crise économique et sociale coïncide avec le déchaînement des passions nationalistes, les pires malheurs sont à craindre (ex Caucase, Géorgie, Tchétchénie, Abkhazie…) Chapitre7 : Les rébellions à venir 1. La fin de la guerre froide n’a pas stabilisé le monde : La fin de la guerre froide n’a pas mis fin aux différents conflits. L’humanité a retrouvée son état initial : la grande fluidité

matière de droit de l’Homme. Le cas de la Russie : la Russie est devenue un Etat membre du Conseil de l’Europe depuis 1996. Cette date correspond à la première guerre en Tchétchénie. La Russie adhère au « club démocratique européen ». Il y a aujourd’hui un malaise envers la présence de la Russie : il y a eu une seconde guerre en Tchétchénie en 1999, la Russie n’est pas un Etat démocratique (élection de poutine en 2000 et réélection en 2004, depuis 2008 Medvedev ; pouvoir juridique à la botte du pouvoir