Exposé Sur Le Rêve

lectorat. L’aspect didactique du texte est mis en avant. La marquise apparaît comme une musique rythmant les dires du jeune homme donnant ainsi à ces entretiens une forme ludique. Ces hypothèses étayées nous font entrer avec la marquise dans une sorte de rêve éveillé sous la forme d’un détachement mental. De plus, le fait d’expliquer la rotation de la lune prouve que la Marquise en sait moins que ce qu’elle veut faire paraître. Cette presque obligation d’explication permet aussi de faire se poser des questions

intérêt que lui-même reconnut aller au-delà de la curiosité professionnelle, il donna à ce personnage le nom de « Gradiva » « celle qui avance ».Peu de temps après, il fait un rêve qui l’angoisse : il se trouve dans l’antique ville de Pompei justement au moment où le Vésuve en pleine éruption va détruire la ville. Dans le rêve de Norbert apparaît Gradiva devant lui et Norbert a dans l’idée (qui puis est décisive pour la structuration du délire), queGradiva était pompéienne et que tous deux avaient

corpus se base sur trois essais, le premier, Supplément au Voyage de Bougainville, est écrit par Dénis Diderot (1713-1784) en 1773 ; en deuxième place on a Éloge de la différence, écrit en 1978 par Albert Jacquard (né en 1925); et troisièmement, Le rêve mexicain (1988), de Jean-Marie Gustave Le Clézio (né en 1940). Pour arriver à notre objectif, on relèvera les idées contenues au long des trois textes. On trouve dans le corpus, des procédés qui se répètent et quelques autres spécifiques

Exposé: l'homme qui dort, Perec EXPOSE Un homme qui dort, G. Perec               Je mets en ligne mon exposé, je vous préviens il n’y a pas de plan, c’est un peu à l’arrache, et à moitié rédigé mais bon…                 L’épigraphe du début est une citation de Kafka qui résume la tentative de déconditionnement du réel que va faire le personnage.             Les premières pages du livre sont un peu déroutantes parce qu’on ne comprend pas de suite de quoi parle le narrateur, les phrases sont

Supermarket Lady Introduction Bonjour, l’œuvre que je vais vous présenter s’appelle : « Supermarket Lady », elle a été commencé en 1969 et exposé au public en 1970. Elle représente une femme américaine poussant un caddie rempli de provisions. Aujourd’hui elle est exposé au musé Ludwig Forum à Aix la Chapelle en Allemagne. Supermarket Lady est une sculpture hyperréaliste faite par le sculpteur américain Duane HANSON. Présentation de l’œuvre Auteur : Duane HANSON est un sculpteur américain hyperréaliste

arrivent dans une exploitation agricole à Soledad. Ils y rencontrent Slim le routier, respecté de tous pour son autorité et sa dignité, Carlson et Whit un jeune ouvrier agricole, qui sont sans rêve, sans ambition ou du moins une espérance gardée secrète. En revanche George et Lennie travaillent pour réaliser leur rêve : ramasser assez d'argent pour s'acheter une petite ferme, ils imaginent leur futur. Candy, un vieux manchot, et Crook, un Noir handicapé, voudraient se joindre à eux. Ils rencontreront

de la noblesse dans cet extrait. La première phrase de l'extrait est explicite : « un cavalier », « jeune femme pâle », « parure de perles » : autant d'éléments qui prouvent tantôt richesse par le bijou, raffinement par l'image de la femme jamais exposé au soleil, ne travaillant pas et titre de noblesse avec le cavalier. Les personnages sont présentés comme savant parler avec l'accumulation de détails sur l'Italie l.4 à 5. Flaubert ne laisse cependant pas d'occasion pour le lecteur d'admirer la noblesse

Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux ; Et, dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rêve Tient des femmes sa clarté ; La perle blanche, sans Eve, Sans toi, ma fière beauté, Ressemblant, tout enlaidie, A mon amour qui te fuit, N'est plus que la maladie D'une bête dans la nuit. Victor Hugo (1802-1885) Il pleure dans mon coeur

 Le sujet de notre exposé est : POURQUOI LA RECHERCHE DE L’AILLEURS ? INTRODUCTION Aujourd’hui, le désir de faire un jour un break pour voir d’autres horizons est présent chez la majorité des individus. Trouver un « ailleurs » qui change de la routine, des enfermements ; chercher à être bousculé, donner de sa personne pour faire des découvertes fait penser que l’homme est un éternel insatisfait. L’ « ailleurs » devient alors une obsession. Il marque l’insatisfaction de sa vie actuelle

connaissance, nous présente une histoire se déroulant dans les bassins houillers du nord de la France. Ce roman nous montre la vie misérable dans les corons et les débuts de la révolte, de l’organisation syndicale et politique de la classe ouvrière. Dans cet exposé nous avons choisi de parler de « l’espace dans germinal ». Nous allons donc nous focaliser sur l’espace réel et l’espace métaphorique. I-L’espace Réel a) Le site réel. Le site du Voreux ; Zola emprunte deux noms de ville a la réalité (Marchiennes