Exposé Sur Schumpeter

| | | |Joseph SCHUMPETER (1942) | |

les principaux PDEM depuis vingt ans. Peut-on mesurer l'efficacité de l'Etat ? Le rôle de l'Etat dans le décollage des NPI. La création des zones régionales de libre échange : un optimum de second rang ? Les analyses des cycles économiques par Schumpeter sont-elles dépassées ? Quel rôle joue l'endettement dans l'origine et la prolongation d'une crise économique ? Crises bancaires et crises boursières, La transmission internationale des cycles N.B. Vous illustrerez vos assertions à l'aide d'exemples

connaissances particulières car ces savoirs et connaissances sont censées être le résultat d’une forme de réflexion, d’une force de travail particulière. Il y a d’autres formes de savoirs ou de connaissances au sein de nos sociétés, la religion par ex qui expose un certain nombre de principes, une conception quant à l’origine du monde par ex, elle présente une histoire de l’humanité articulée autour du message dispensé par un certain nombre de prophètes etc, mais à priori la religion n’est pas une science

progrès de l'anatomie comparée. Les observations de mutations d'espèces végétales. Certains savants, tel Buffon, se convertissent au transformisme, théorie qui gagne peu à peu du terrain. Mais ce n'est seulement qu'en 1809 que le français Lamarck expose pour la première fois une théorie cohérente de l'évolution dans sa Philosophie zoologique. -Le Français LOUIS PASTEUR découvre les microbes -L'Allemand HANSEN découvre le bacille responsable de la Lèpre -Le Français BERGES découvre la possibilité

touchées que d'autres : les personnes âgés, les gens malades et aussi les femmes ce qui les entraîne dans une paupérisation lors de leur divorce. Cette idée de chômage qui peut toucher tout le monde est très bien représenté par la métaphore du bus de Schumpeter où le chômage est caractérisé par un bus où les gens montent et descendent, quand les gens sont dans le bus ils ne souhaitent qu'une chose s'est d'en sortir et il reste toujours dans ce bus les gens assis (les femmes, les personnes malades, les

François (1694-1774) Rankine, William J. Macquorn (18201872) Rayleigh, Lord - John William Strutt (1842-1919) Ricardo, David (1772-1823) Samuelson, Paul A. (1915) Savery, Thomas (1650-1715) Seaborg, Glenn T. (1912) Schrödinger, Erwin (1887-1961) Schumpeter, Joseph A. (1883-1950) Smith, Adam (1723-1790) Solow, Robert M. (1924) Van't Hoff, Jacobus Henricus (18521911). Veblen, Thoyrstein (1857-1929) Von Neumann, John (1903-1957) Bibliographie Nicholas Georgescu-Roegen, La décroissance (1979),

L'économie vient du grec « oikos » (=maison) et « monos » (=administration). Donc l'économie c'est l'administration de la maison. On entend parler d'économie par Xénophon qui est un disciple de Socrate. Il a écrit « L'économie ». Dans cet ouvrage il expose les règles d'une bonne gestion foncière. Au 17ième siècle le terme resurgit car c'est le moment où arrive le premier courant de pensée économique. Depuis Xénophon, l'économie a fait l'objet de plusieurs définitions. En effet ; * Elle permet

profession, il a la charge de médecins du Roi. Célèbre dialogue entre Louis XV et Quesnay : Le Roi : « Mr Quesnay, que feriez-vous à ma place si vous étiez Roi ? » Quesnay : « Sir, je ne ferais rien » Ceci montre leur grand libéralisme. Joseph Schumpeter fait un jugement faux en disant de la physiocratie qu’elle a été une mode Versaillaise qui en 1750 n’existait pas encore (vrai) et qui en 1780 n’existait déjà plus (faux). G. Weulersse a dit avec beaucoup plus d’exactitude que les idées physiocratiques

système de prix tel qu’il s’agisse d’un équilibre général. Léon Walras (1834 - 1910), est un économiste français, précurseur de l'école néoclassique) Dans Éléments d'économie politique pure ou théorie de la richesse sociale (1874) Léon Walras expose sa première tentative de modéliser une économie pour expliquer la formation des prix. Il propose une série de modèles de plus en plus complexes (deux biens, plusieurs types de biens, la production, la croissance, la monnaie). Idée de développer une

remboursés par l’Etat d’affiliation sur la base de sa réglementation. Le remboursement doit être au moins identique à celui qui aurait été accordé si l'assuré avait été hospitalisé dans son État membre d'affiliation. Si le remboursement de frais exposés pour des services hospitaliers fournis dans l’État membre de séjour est inférieur à celui qui aurait résulté d’une hospitalisation dans son État d'affiliation, un remboursement complémentaire correspondant à cette différence doit être accordé à l'assuré