Exprimer Le Souvenir

lucidité sur les effets de temps et le fonctionnement de la mémoire → « Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt un obus » (comparaison + personnification de l'obus ). 2. Universalité du souvenir, idée omniprésente, obsédante «--> « et puis ce souvenir éclaté dans l'espace » = vision cosmique, images surréalistes 3. Les objets sont maintenant des souvenirs, des aides mémoire comme ce poème pour Lou → « Souvenir oublié vivant dans toutes choses ». 4. La poésie rend Lou immortelle comme l'amour

du lyrisme : l'amour et la fuite du temps. Dans ce poème, Victor Hugoexprime son amour pour son amante Juliette Drouet et lance un défi au temps qui passe . Ce poème appartient au mouvement littéraire du romantisme. Par quels procédés Victor Hugo exprime-t-il sessentiments et rend immortelle la femme aimée ? Nous analyserons dans un premier temps l'expression de l'amour et l'éloge à la femme aimée . Dans un second temps, nous nous intéresserons à l'expression dela fuite du temps et au défi que lui

On a donc bien l’aspect de la mémoire de plus elle nous fait par aussi de certain souvenir encrer dans sa mémoire avec des anecdote il y a aussi des poèmes personnel adresser a sa famille,a son ami Primo LeviCe recueil est donc constituer de souvenir encrer dans sa mémoire et des souvenir qui se déroule toute au long de sa vie Pourquoi aurais-je survécu ? Est composé de différents thèmes assez récurrent comme la familles qui est souvent

surdimensionnée éprouvée pour son père → le compare à un dieu. « me sauvait » verbe imparfait → exprime une action non limitée dans le temps, qui dure. H idéalisait toujours son père jusqu’à aujourd’hui « c’était toi ? » question rhétorique → n’attend pas de réponse - « Cette odeur défendue et ce bon pain du soir sous la lampe, quand tu me montrais des livres dans ton bureau, c’était toi, tu crois ? » → répétition de souvenir + deuxième question rhétorique « double » → insistance - « Tous ces soins, tout cet

largement répandu, de l'amour avec des expressions comme " Où l'amour à long flots nous verse le bonheur " ( v.38). La personnification de l'amour et l'hyperbole basée sur le mot " verse" tendent à faire ressortir l'ardeur avec laquelle le poète exprime ces sentiments. Enfin, on constate la présence d'une ponctuation expressive à profusion tel que dans le vers : "Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! " (v.49). L'emploi de ces exclamations, auxquelles on ajoute la présence de questions

d’étude, à savoir « Fantaisie » en est issue. Il s’agit d’une grande œuvre lyrique où Nerval parle d’une mélodie. Comment Nerval a-t-il sut mêler la musicalité à ces souvenirs ? Pour y répondre, nous verrons dans un premier temps, l’omniprésence du thème de la musique puis dans un second, nous étudierons la description réaliste d’un souvenir passé. Dès la première lecture du poème, nous pouvons desceller une référence à la musique qui jalonne tout notre texte. Celle-ci est visible par, la musicalité

utilisé dans ce texte (1 point). b) Quel est l’effet produit sur le lecteur par le choix de ce temps ? (2 points) Ce temps produit un effet de proximité, d’instantanéité, une impression que l’auteur s’adresse directement au lecteur et l’associe à ce souvenir (2 points). 3. Lignes 13 à 28. a) Quels sont dans ce passage les différents sens qui sont mentionnés (vue, odorat, ouïe...). Vous justifierez votre réponse par des références précises au texte. (3 points) 18PROFRAG1C Page : 3/7 Plusieurs sens

l’idéal, et les périodes de désespoir et de stérilité créatrice. […] Ce poème illustre les diverses formes du malaise de vivre. Dans ce poème, écrit à la première personne, Charles Baudelaire fait un bilan désespérant de son existence.
 J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, De vers, de billets doux, de procès, de romances, Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, Cache moins de secrets que mon triste cerveau. C’est une pyramide, un immense

de l’œuvre Introduction L’œuvre de Sarraute est très différente des autobiographies traditionnelles. La linéarité du récit est quasiment absente et la chronologie est très « générale ». En fait, Sarraute privilégie l’ordre dans lequel les souvenirs viennent à l’esprit. Elle veut rester « fidèle » à ceux-ci. Tout d’abord il est nécessaire de définir ce mot, « tropisme ». De manière simplifiée, il s’agit d’une réaction inconsciente, automatique face à des forces, des stimuli extérieurs.

l’autre, du désir de permanence qu'éprouve le poète. Si ce premier vers est tout objectif dans sa constatation de la réalité extérieure, le deuxième surprend par la transition qu'il effectue au monde de la subjectivité. S’impose l’importance du souvenir et de l'idée d'amour, plutôt que des personnes qu'il représente. La disposition typographique de cette partie du décasyllabe signale l'élément nouveau que le vers introduit dans le poème et met en relief le mot-clef «amours». L'adjectif possessif