Exprimer Le Souvenir

tourments de toute une génération, d’où l’expression ‘mal du siècle’. A cette époque, la nouvelle génération est traumatisée par les horreurs de la révolution ; le présent leur paraît invivable, entre le passé qui a disparu et un avenir incertain. Musset exprime l’incapacité d’une génération à se situer dans le temps ; il raconte en partie son vécu durant cette vague du ‘mal du siècle’, d’où le terme d’autobiographie romancée, et prend la place de porte-parole de la jeune génération. ‘L’angoisse de la mort

simplicité. « J’aperçus » : passé-simple = temps du récit, le poète raconte un souvenir de jeunesse.V 3,4 : « cou de neige » = métaphore amoureuse, poésie galante, associée au « petit insecte rose » : notations charmantes de couleurs, impression de fraîcheur. Vers 3 : rythme brisé par les virgules, encore ici impression d’un poème-récit.Quatrain 2 > V5,6 : « J’aurais dû » : conditionnel passé exprime le regret, puis vers brisé par parenthèse qui fait un commentaire sur sa jeunesse

est composé de cinq quatrain d’alexandrins en rimes croisées. Ce poème traite deux sujets du lyrisme : l'amour et la fuite du temps. Dans ce poème, Victor Hugo exprime son amour pour son amante Juliette Drouet et lance un défi au temps qui passe . Ce poème appartient au mouvement littéraire du romantisme. Par quels procédés Victor Hugo exprime-t-il ses sentiments et rend immortelle la femme aimée ? Nous analyserons dans un premier temps l'expression de l'amour et l'éloge à la femme aimée . Dans un second

je vous présente mon 2ème choix intitulé «Balade du dernière amour» écrit par Charles Cros dans son recueil «Le coffret de Santal» publié en 1873, ce poème exprime de l'émotion, on ressent une compassion pour le poète car depuis la tragique disparition de sa femme, son présent n'a maintenant plus aucun intérêt ; il ne vit que par les souvenirs de ces merveilleux moments passés auprès d'elle. Cela est touchant car comme il le dit dans son poème «je me suis trop hâté de vivre» on peut en conclure qu'il

fait face à une histoire personnelle vécue. Les auteurs écrivent à la première personne : « je fus » ; « je voulais » chez Hugo, mais aussi chez Lamartine avec « qui m’est chère » et chez Musset avec « j’ai perdu ». De plus, chacun d’eux raconte le souvenir d` un moment éprouvant vécu dans leur vie. Par exemple, dans la mort de Léopoldine, la fille de Victor Hugo, il décrit les années de désespoir qui ont suivi. Ou bien lorsque Musset raconte sa rupture avec son amie, on comprend le sentiment de trahison

message. La musique pourrait être un lien avec la femme aimée. Le berceau doit peut-être être pris comme un bercement de la musique. Petite référence à la douleur du poète « mon pauvre être » c'est peut-être un souvenir (mémoire involontaire : surgissement involontaire des souvenirs) I- une anecdote musicale II- réminiscence I- instrument qui permet d'entendre la musique est donné au début (piano) synecdoque : une main frêle anecdote est contextualisée (précis et définie : le soir,un

langage qui la constituait, les évènements qu’elle a vécu et qui l’ont construit, l’ont façonné afin d’être la personne qu’elle est. Annie Ernaux se place en tant que sociologue et ethnologue de sa propre vie. Cependant, en se replongeant dans ses souvenirs et dans sa vie, nous pouvons dire qu’elle effectue une introspection, puisqu’elle observe les sentiments, les pensées, la façon de vivre de la petite fille de 12 ans qu’elle était en 1952. Avec son regard de femme en 1996, elle avait alors environ

symboles. La négresse Son portrait est bâti sur des antithèses : la « boue », la « muraille », le « brouillard » font écho aux « cocotiers » et à la « superbe Afrique ». L'allitération en "i" dans « Derrière la muraille immense du brouillard. » exprime la dureté. Il s'agit sans doute aussi de Jeanne Duval, sa première maîtresse qui était une femme noir de peau. Les orphelins Ils font écho à la louve romaine. Comparés à des fleurs, ils sont, comme elles, flétris et figés. Les autres Le

l’impression de fluidité et d’eau qui coule pour souligner la thématique de la fuite du temps qui s’écoule. - l’absence de ponctuation favorise l’ambiguïté voulue par le poète, ainsi dans la 1° strophe : est-ce  « et nos amours » qui est lié au souvenir ou le vers 4, joie, peine ? Attention en le lisant, le mieux étant de laisser planer l’ambiguïté en liant le tout très lentement. - Modernité de la strophe : vers variés, décasyllabe, tétrasyllabe (= 4), hexasyllabe, le refrain : heptasyllabe

passion… Dans ce poème, Neruda pousse un cri de douleur et de désespoir car, au moment de partir, le souvenir de son amour passé l’assaille et lui torture l’esprit, le ramenant quelques instants dans un passé agité. Le lecteur remarque bien ce désir de faire un trait sur ce passé et en même temps, la difficulté à l’oublier. Il y a une véritable progression tout au long du poème avec le souvenir, un certain bilan, la solitude du présent puis une espèce de conclusion qui ramène le poète à la réalité