Exprimer Le Souvenir

front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font les fruits d'or autour de Baratier1 Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le bout de tes jolis seins

Texte 1 : « Souvenir de la Nuit du 4 » Victor Hugo | |    I Le contexte historique    1)     A quelle date V.Hugo a-t-il composé ce poème ? Pourquoi évoque-t-il ce souvenir précisément ce jour-là ? 2)     Le titre vous paraît-il en accord avec le poème ? Justifiez votre réponse. 3)     Relevez dans le poème les termes renvoyant au contexte historique.   II La mise en forme    1) Combien de vers comporte ce poème ? 2) Quel est le mètre utilisé ? 3) De quelles rimes s’agit-il 

de la poésie qui s'y exprime. Dans la plus pure tradition lyrique, Césaire s'exprime dans ce texte à la première personne, et il nous y livre des émotions violentes. Nous pouvons remarquer que si la majeure partie du texte concerne le portrait d'un nègre aperçu dans un tramway, ce portrait est encadré par des marques subjectives (pronom personnel répété trois fois au début du texte, puis reprise du pronom personnel aux lignes 30-31). Le texte apparaît ainsi comme un souvenir personnel, une anecdote

pour l’autobiographe d’évoquer le célèbre vol du ruban, lorsqu’il fit accuser la jeune Marion à sa place. L’extrait proposé constitue l’aveu de ce vol et plus particulièrement du mensonge qu’il a engendré. Quelques lignes avant ce passage, Rousseau exprime ses remords face à cette faute sans pourtant l’évoquer, préparant l’annonce du méfait et plaçant ainsi le lecteur dans les conditions du pardon. L’extrait constitue donc un retour de Rousseau sur cet épisode qu’il l’a particulièrement marqué. Ce retour

les principaux courants littéraires pour permettre au lecteur de voir comment a évolué la vision de l'amour au fil du temps. Pour illustrer mes propos, j'ai choisi les poème suivant : En toi je vis de Maurice Scève, extrait du recueil Delie. Ton Souvenir est comme un livre bien aimé de Albert Samain, extrait du recueil Au jardin de l’Infante. Sonnets VIII Louise Labé Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J'ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m'est

Nuits de Musset : utilise le lyrisme pour exprimer ses sentiments pour ses muses, sonnets très structurés, nombreuses métaphores. - Le Lac de Lamartine : métaphore du lac et de l'eau pour illustrer le temps qui passe, symboles, images. Affectivité et poème centré sur le "moi" - J'écris de Anna de Noailles : utilisation du "je", poète a une position centrale, lyrisme utilisé pour exprimer sentiments du poète. -B - Poèmes à Lou d'Apollinaire : exprime ses sentiments pour sa maîtresse, motif

jusqu'à la fin la deuxième partie. Le thème de la première partie, est le souvenir du poète, son souvenir de tous les moments vécus sur les bords du lac avec la femme aimée. Et dans la deuxième partie, nous parle de comment passe le temps, ce temps que lui voudrait l’arrêter, et que la seule qui perdure est la nature. Dans les deux premiers paragraphes le poète nous raconte son retour au lac, son retour aux souvenirs. Il s’adresse au lac avec un vocatif « Ô lac », c’est comme une invocation

trois strophes décrivent par avance le cheminement qui le conduira auprès de son enfant bien-aimée. Mais ce voyage vers le souvenir et vers la mort prend la forme d’un poème d’amour et d’une célébration. Léopoldine disparue revivra éternellement grâce à l’offrande de quelques fleurs. Lecture. Nous nous demanderons donc dans quelle mesure ce poème exprime le pouvoir de la poésie qui est d’immortaliser ce que la mort a fait disparaître. Dans un premier temps, nous verrons que

poursuivait, heureuse, tendre, apaisée, clarifiée, plus sereine, mais le poète pensait retrouver le charme irremplaçable de la passion dans sa première fleur. Or la nature, qui vit leurs «âmes confondues» et à laquelle le poète vient demander le souvenir du passé, est indifférente et a oublié : impassible, elle ne sait compatir aux souffrances humaines. Aussi une poignante mélancolie l’étreint-il et lui inspire des méditations douloureuses. Elle nous pénètre avant même que nous en connaissions les

sensation ou l'émotion. C'est la raison pour laquelle ce sujet m'intéresse, car une vie sans douceur est une vie malheureuse. Or, dans notre société, le bonheur n'est il pas le but ultime ? Nous avons tous fait l'expérience de la douceur, et le souvenir qu'il en reste même nostalgique est doux. Ces délicieuses crêpes savourées hier soir, ce chaton que vous avez caressé la semaine passée, ce style architectural magnifique qui vous avez tant apaisé et adouci lors de vos dernières vacances, cette première