Extrait De Nana Zola

Dans la même lignée, le naturalisme poursuit cette ambition mais avec un aspect scientifique plus marqué. Pour Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. DEUX ARTICLES DU Monde À CONSULTER • Le Zola bâtisseur d’Henri Mitterand p. 10 (Michel Contat, 21 décembre 2001) • Émile Zola, solitaire et solidaire p. 10-11 (Michel Contat, 27 septembre 2002) Portrait de Jean-Jacques Rousseau par Alain

Dans la même lignée, le naturalisme poursuit cette ambition mais avec un aspect scientifique plus marqué. Pour Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. DEUX ARTICLES DU Monde À CONSULTER • Le Zola bâtisseur d’Henri Mitterand p. 10 (Michel Contat, 21 décembre 2001) • Émile Zola, solitaire et solidaire p. 10-11 (Michel Contat, 27 septembre 2002) Portrait de Jean-Jacques Rousseau par Alain

il la revendique. Il veut écrire des romans sur des détails plats et sur des mondes sans héros. Il n'aime pas l'idée des Misérables. Zola. Il se différencie de Balzac par la dimension scientifique qu'il apporte à ses œuvres. Il a une conception incontestable du roman. Le roman est désormais un genre scientifque. Ce n'est plus simplement une science sociale. Zola met l'accent sur la génétique et sur les institutions sociales. Il traite une seule période : le second empire. Cours 3 : 12/02/13 brochure

». Dans la même lignée, le naturalisme poursuit cette ambition mais avec un aspect scientifique plus marqué. Pour Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. dEux ArticlEs du Monde à consultEr • Le Zola bâtisseur d’Henri Mitterand p. 10 (Michel Contat, 21 décembre 2001) • Émile Zola, solitaire et solidaire p. 10-11 (Michel Contat, 27 septembre 2002) xixe : réalisme et naturalisme • L’ambition

représente « la belle blonde » est loin de correspondre à cette image. Elle ne correspond pas à l'image de la fille à la longue crinière d'or que le lecteur et le client peuvent s'imaginer, et qui a été véhiculée par le personnage de Nana dans l’œuvre éponyme de Zola, publiée un an avant La Maison Tellier. Ici Fernande a peu de cheveux : « écourtée » (l.10), « lui couvrait insuffisamment le crâne » (l.11), leur couleur semble indéfinie : « claire et sans couleur » (l.10) et leur texture est peu agréable :

littéraire le mvt de retour au texte avec le dvlpt de la linguistique et de la nvle critique ds les années 60. Ds un article de 1895 intitulé "La littérature et la science", GL affirme la spécificité de la litté et récuse les prétentions scientifiques de Zola. Paradoxalement, c'est parce qu'il poursuit un but purement artistique que l'écrivain peut saisir et transmettre la vérité de son époque. Cô Flaubert et Valéry, L déclare que la forme et le fond sont inséparables et qu'une œuvre qui se réduit à un

|P. 19 |Perrault | |identifier le style indirect libre |introducteurs | | |3 |Extrait de Claude Gueux de Victor Hugo |Identifier le narrateur |Maîtriser le vocabulaire des 5 sens |Réécrire un récit en changeant de narrateur | |P. 35 |

resté dans les mémoires volontaire, édition de 1836 © Gallica. inversant le rapport de responcomme l’ami de Montaigne ; sabilité qui justifie l’existence d’une tyrannie. Cet même idéal de tolérance. • L’œuvre : dans cette œuvre de jeunesse, La Boétie extrait est caractéristique de l’esprit humaniste par réfléchit sur la tyrannie. Elle ne repose, à ses yeux, le souci accordé à la dignité humaine. que sur le consentement du peuple qui a perdu son aspiration naturelle à la liberté. ce qu’il ne faut pas faire

de la description à un personnage. Il s'agit de faire en sorte que l'action conduise le personnage à observer un objet, à le décrire pour autrui ou à s'en servir. Ce procédé est particulièrement fréquent dans la littérature réaliste, notamment chez Zola. Prenons le début de Au bonheur des dames. On a là un exemple net de la façon dont la narration construit une situation de regard. Le narrateur raconte l'arrivée à Paris de Denise et de ses deux frères, jeunes orphelins qui n'ont jusque là jamais

faisaient saillir les angles osseux et amaigris, un nez gros et long, des moustaches trop épaisses, une mèche frisée sur un front étroit, l'œil petit et sans clarté, l'attitude timide et inquiète, nulle ressemblance avec l'Empereur.. ".[6] Cet extrait , sorte de gros plan, permet ensuite de développer cette image du malade. Mais si l'on revient au texte d'Hugo, on note significativement que la phrase qui précède cette description n'a pas été citée parce qu'elle ne convenait pas à l'historien