Extrait Les Mots Jean Paul Sartre

sur la couverture. De gauche à droite et de haut en bas : 1. Michel de Montaigne 2. Jean-Baptiste Poquelin dit Molière 3. Madame de Sévigné 4. Voltaire 5. Denis Diderot 6. Jean-Jacques Rousseau 7. François-René de Chateaubriand 8. Honoré de Balzac 9. Victor Hugo 10. Charles Baudelaire 11. George Sand 12. Arthur Rimbaud 13. Marcel Proust 14. Albert Camus 15. Nathalie Sarraute 16. Jean-Paul Sartre 17. Marguerite Duras 18. Patrick Modiano Pour les Nuls est une marque déposée de

interdit dutiliser les concepts de Je et de pense PAGEREF _Toc196743889 h 7 2. Deuxime falsification lintroduction dune causalit PAGEREF _Toc196743890 h 8 D. Lintentionnalit (Husserl, Sartre) PAGEREF _Toc196743891 h 8 1. Lide dintentionnalit (Husserl) PAGEREF _Toc196743892 h 8 2. Critique de lintriorit (Husserl, Sartre) PAGEREF _Toc196743893 h 9 3. Le monde de la vie (Husserl) PAGEREF _Toc196743894 h 10 4. Lide de phnomnologie (Husserl) PAGEREF _Toc196743895 h 11 II. Approches existentialistes

fin de la colombe (dans la queue), on parle au présent: le poète se trouve près d’une fontaine. C’est le trait d’union entre les 2 calligrammes. La colombe est poignardée parce que les amours loins ont été tués, et le poignard est représenté par les mots “et toi”. Les noms des femmes sont les noms des femmes qu’il a aimées: Annie est Annie Playden, Marie est Marie Laurencin. -Dans le jet d’eau il y a le contraste entre le présent uncertain (représenté par le point interrogatif) et les souvenirs

n’importe quel prix (voir leur thèse). (Si l’on va plus loin que cet extrait, nous savons que Yanek et Dora sont en couple. Yanek a finalement lancé la bombe sur le grand-duc et après avoir refusé de dénoncer ses amis, il s’est fait pendre. Dora, fier de lui, lui rend hommage en lançant la prochaine bombe) Introduction : Camus est un journaliste, dramaturge, romancier et essayiste du XXe siècle. Il fut proche de Jean Paul Sartre jusqu’à ce que celui-ci publie « L’Homme révolté » en 1957 qui est

j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau bxant mes sens et chassant de mon âme toute autre Les Souffrances du jeune Werther - 1774 INTERPRÉTATION Dans cet extrait, le narrateur utilise la métaphore du « feu » pour évoquer l'amour. Les sentiments de Werther sont contrastés. En effet, il est amoureux, mais cet amour est une « torture » et « le trouble est dans tous [ses] sens ». Goethe montre toute la sensibilité

eux aussi mis en scène, à travers leurs pièces de théâtre, l’expression des sentiments. Dans l’une des premières tirades de Phèdre de Jean Racine, l’héroïne éponyme fait part aux lecteurs de ses sentiments d’amour envers son bien-aimé, Hyppolite, dont elle est la belle-mère. « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », la plus célèbre des phrases de Phèdre, extraite de cette longue tirade, témoigne de son grand amour envers le « Fils de l’Amazone ». L’expression des sentiments a ainsi été l’un des

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« coup de scalpel » Il précise qu’il ne les traite jamais en entier et donne un argument pour étayer cette idée « je ne vois le tout de rien ». Il ridiculise ce qui pense le contraire. L’attitude d’esprit que défend Montaigne est nommée par 2 mots précis à la ligne 22 : « Le doute et l’incertitude ». Cette attitude d’esprit en philosophie se nomme le scepticisme qui entraine le penseur a se méfier des idées reçus et le pousse a se documenter, a aller voir par lui-même, au lieu de s’en remettre

formulées par le programme : • dans le cours 1, une analyse littéraire de 750 mots portant sur les thèmes majeurs et les procédés de style d'un extrait d'œuvre (ou d'une œuvre complète si elle est brève) appartenant à un courant littéraire ; cet extrait est habituellement accompagné des références d'usage sur l'auteur et son œuvre, et d'une recommandation de traitement : Faites l'analyse littéraire de « Je vis, je meurs », extrait de Élégies et sonnets (1555) de Louise Labé (1524-1566). Vous vous attarderez

directement le fondement même de l’entreprise coloniale, qui de façon implicite, n’est qu’un processus d’aliénation et d’assujettissement. Par ailleurs, l’auteur tente dans son récit écrit en français de traduire son identité africaine à travers des mots puisés de sa culture originale : « Ipeu, grand moukoundji, villages m’bis, dakouas et lambassis, les sons des balafons et des koundés, des tam-tam et des li’nghas », ces références donnent de la force à sa description du fait de leur ancrage traditionnel