Fable Un Animal Dans La Lune

souvent au lecteur un cadre spatio-temporel inconnu, nous avons alors l'impression de voyager, de fuir dans l'univers du personnage principal. ex L’apologue se développe sous la forme d’un récit imagé qui met en scène des personnages symboliques (animaux, hommes, dieux), dans des situations à travers lesquelles le lecteur est amené à réfléchir sur sa propre condition. Ex -Le recours à la fiction permet de mettre en place des critiques qui ne seraient pas admises dans un registre plus sérieux. -Les

27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 Le renard et les raisins Le chat et les poules Le loup et l’agneau (1ère version ) Le renard et le singe Le sapin et la ronce Le corbeau et le renard L’âne, le renard et le lion L’assemblée des souris La Lune et sa mère La corneille et la cruche Le cerf à l’étable Le renard et la grue Les lièvres et les grenouilles Le chien et le coq Le cousin et le taureau Le renard et le bouc L’âne portant du sel Les roseaux et le chêne La chouette et les oiseaux Le rat

la France médiévale : le comte Renaud de Morlange incarne l’autoritarisme, le mépris et la cruauté envers ceux qu’ils considèrent comme les faibles (paysans, femmes, animaux, etc.). Mais un jour, il rencontre un vieil ermite qui lui prédit qu’il sera transformé en renard tout en conservant son esprit d’humain les nuits de pleine lune, si son comportement ne change pas, et ce jusqu’à l’expiation de ses fautes. Peu scrupuleux, le comte prend ces prédictions à la légère, mais il découvre bien vite son

Mais un certain nb d’allusions à l’actualité de La Fontaine confèrent à cette fable une dimension critique et ce ds le domaine sensible de la politique conquérante de Louis XIV. Le recours au pronom personnel de 4ème personne du vers 31 « Défions-nous … à nous » permet à l’auteur de jouer sur les différentes valeurs du « nous ». Sa fonction généralisante plus réduite que celle de l’adjectif indéfini « tout » semble limiter la portée de la moralité à un groupe ou un domaine relativement restreint

|de l’apologue. | | |  | | | |(Début de la fable Le pâtre et le lion, Livre VI). | | |RECIT |  |  | |

LES FABLES DE LA FONTAINE - LIVRES VII et VIIIRECHERCHE PERSONELLE | | Emile LOQUET Emile LOQUET 1) Le Bestiaire dans les livres VII et VIII a) et b) : Dans le corpus 1, nous nous apercevons que les animaux que la Fontaine dévoile peuvent être identifiés sous deux catégories différentes et liées car l’auteur retranscrit la société du XVIIe siècle dans ces fables et habilement il exploite celle-ci sous la même échelle hiérarchique : • Les prédateurs puissants, et les proies faibles et

JDF LIVRE 7 Dans son premier recueil de Fables (du livre I au livre VI), Jean De La Fontaine met en scènes des animaux anthropomorphes, qui se meuvent et parlent comme des hommes. Ces fables écrites en vers contiennent une morale à leur début ou à leur fin. Elles ont un but éducatif et sont adressées au Dauphin. Le recueil publié en 1668 expose les intentions morales de Jean De La Fontaine : « Je me sers d'animaux pour instruire les hommes », déclare-t'il. Son deuxième recueil de fables,

fontaine peuvent donc être considérées comme un mini-drame, à la structure théâtrale marquée: le décor, campé en quelques vers ou en quelques mots, la fable « Les Animaux malades de la Peste » qu’on est en train d’étudier est structurée comme une pièce dramatique. La versification : Gabrielle Les vers libres de La Fontaine n'ont aucun rapport avec les autres auteurs de fable ou de poésie du XIXème siècle. Les vers de La Fontaine sont libres car ils montent une grande varieét en ce qui concerne le nombre de syllabes

dans cette première partie les animaux pour amuser, divertir sans subir des quelconques reproches « de la

comme la lune » L'on raconte qu'aux temps anciens, il était une jeune femme très belle, aussi belle que la lune. Et cette femme, les nuits de pleine lune, se fardait, peignait et parfumait ses longs cheveux, revêtait ses habits les plus riches, se parait de tous ses bijoux et sortait. Pour mieux découvrir le ciel, elle gagnait une hauteur. Et là, elle levait son visage resplendissant vers la lune et lui demandait : Qui de nous est la belle, Ô lune, qui de nous est la belle ? Et la lune lui répondait