Fables Pessimistes

fin ou, plus rarement, au début du texte. Il constitue également un genre littéraire. Les fables les plus caractéristiques comportent un double renversement des positions tenues Le plus grand fabuliste de toute l'antiquité est sûrement Ésope, poète grec du VIIe siècle av. J.-C. - VIe siècle av. J.-C. C'est d'ailleurs de lui que s'est inspiré Phèdre. Ses œuvres ont été traduites en 1615 par Erpernius. Ses fables sont fondamentales dans l'histoire de la littérature : Le Corbeau et le Renard, Le lièvre

l’appartenance de La Fontaine aux classiques. La Fontaine est non seulement un poète mais aussi un fabuliste. Ses fables avaient une fonction éducative mais aussi dénonciatrice et ironique grâce à un récit simple et une morale marquante. Cela leur a permise de traverser le temps. On le voit clairement dans la fable intitulée Le rat et l’huitre publiée en 1678 dans le recueil Les Fables. Dans cette fable La Fontaine se livre à une critique sans nuance de l’ignorance. L’intérêt du texte tient avant

I. On peut voir que les éléments de la société sont représentés dans ces fables. A. Pour commencer, il y a la noblesse. a) Elle prend en compte le roi, avec sa femme mais aussi les gens qui l’entourent, c'est-à-dire ses courtisans. Leurs comportements y sont décrits. b) Leurs manières de faire, leurs habitudes ou leurs façon de penser, tout est mis en scène dans ces fables qui relatent un peu le quotidien de tous. c) Cependant ils ne sont pas tous et toujours représentés sous la même forme, ce

dede (distique + quatrain) Ou abba abba cc deed IV. Le vers libre Au XVIIe , on appelait vers libre des suites de vers irréguliers, qui variaient la longueur des mètres utilisés et parfois la disposition des rimes. Beaucoup de fables de La Fontaine sont écrites en vers libres. Le vers libre qui apparaît avec le symbolisme est une réalité toute différente. Il correspond à une volonté de se libérer de toutes les contraintes : La régularité métrique est abandonnée mais la rime

est certaine borne ”. Le “ Rien de trop” est applicable en tout temps et tout lieu, certains écrivains l’ont repris plus d’un millénaire après sa première apparition. La Fontaine, aux tendances moraliste, avait donné comme intitulé, à une de ses Fables, “ Rien de trop” : “ De tous les animaux, l'homme a le plus de pente A se porter dedans l'excès. Il faudrait faire le procès ”… … « Rien de trop » est un point Dont on parle sans cesse, et qu’on n’observe point. Molière, quant

Cher monsieur Rousseau A la lecture de vos critiques, je suis en mesure de vous répondre que je suis tout a fait en désaccord avec vos arguments car la majeure partie de mes fables , la majorité des enfants sont d’accord avec la morale ( morale d’ailleurs qui leur est instruit a l’école). Par exemple dans la fable «  le corbeau et le renard », l’enfant ne s’identifie pas comme vous le prétendez au renard, certes ils se moquent du corbeau mais pour eux c’est une leçon et il s’en souviendront dans

idées. Dans une seconde partie nous verrons que cependant la fable est ambigüe. On peut utiliser la fable à différents buts. D’une manière générale, elles servent à transmettre des messages à une certaine catégorie de personnes. En effet certaines fables sont dédiées à l’éducation des enfants où bien d’autre ont une visés pour les personnes occupant une certaines place dans la société, d’autre ont une visées plus générale (c'est-à-dire aussi bien les enfants que les personnes ayant une place importante

s’épanouir, et au rêve de prendre toute sa place. On retrouve cette dimension dans la poésie ; c’est le cas du poème « Déjà la nuit », où Du Bellay évoque notre monde dans un cadre fantastique. Dans un autre registre littéraire, on peut citer les fables de La Fontaine (« Le gland et la citrouille ») ou même encore le conte philosophique « Candide » de Voltaire, où à première vue, l’histoire racontée suscite la curiosité du lecteur et son intérêt ; et dans un second temps, cette fonction distractive

Chêne et un Roseau qui signifie alors la loi du plus fort face au plus faible, mais aussi la loi de la nature pour ces deux végétations. Jean de La Fontaine a écrit cette fable puis Jean Anouilh la réécrite a sa manière Nous allons comparer les deux fables en commençant par celle de Jean de La Fontaine: La Fontaine décide de faire parler en premier dans sa fable Le Chêne pour montrer directement son signe d'autorité envers le Roseau. Dans sa manière de parler on ressent de la fierté, aussi grâce

et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Les animaux malades de la peste : Les fables de la Fontaine sont destinées a l’éducation des enfants. Le premier recueil était dédier au dauphins. Il développe une analyse critique