Fabuliste

= divertissement. Disproportion récit = 57vers / morale = 4vers "Le récit fait passer la morale avec lui" La Fontaine B/ Théatralisation du récit Théatralisation caractèrisée par du dialogue --> discours direct --> rare ds les poèmes. Le fabuliste fait parler ses personnages. - dialogue : v. 11 à 24 et v. 32 à 34. --> véritable scène. ex: la séduction de la JF du logis par le seigneur. X des verbes d'actions notamment ds l'épisode de la chasse. "on le quête, on le chasse" --> variations

Réécritures de fables Le plus grand fabuliste de toute l'antiquité est sûrement Ésope, poète grec du VIIe siècle et VIe siècle av. J.-C. C'est d'ailleurs de lui que s'est inspiré Phèdre, auteur du Moyen Âge, dont les qualités formelles de ses fables ne fut pas reconnu. Jean de La Fontaine né en 1621, devient au XVIIe siècle le plus grand fabuliste de tous les temps il apporte à la fable un degré d'accomplissement qui entre dans l'idéal classique. Dans ces trois versions d'une seule fable

S., à l’indication de temps « un jour » et à la personnification. L’adage impersonnel perd alors son abstraction. La vérité est « toute nue » : le fabuliste rajeunit une formule courante en la prenant au pied de la lettre (expression reprise au v. 22). Le dénuement de la vérité est symbolisé par l’hyperbole qui ouvre l’apologue ; le fabuliste joue sur le sens du qualificatif « pauvre » (V.5) (pauvreté, compassion du narrateur, qui a peu de pouvoir). L’absence de vêtements explique la réplique

Les Fables (La Fontaine) : Identification Nous savons que les fables sont composées d'un récit appelé corps et d'une morale que le fabuliste appelle âme de la fable. La fable est un texte en vers ou en prose qui a recours à l'allégorie le plus souvent animale, pour donner une leçon de morale. On l'appelle aussi apologue. La Fontaine, auteur du 17 ème siècle s'est inspiré d'Esope, de Phèdre et de Pilpay; Il privilégie le récit plutôt que la morale dont il varie la place dans la fable. D'une façon

La Fontaine, Les grenouilles qui demandent un roi (Commentaire composé)   Introduction :   « Fables choisies mises en vers par Monsieur de La Fontaine » : par ce titre modeste, le poète se présentait comme le continuateur des fabulistes anciens, Esope et Phèdre. Phèdre situe la fable dans un contexte historique précis avant de raconter l'anecdote elle-même qui met en scène Esope. Avec La Fontaine, on a donc la réécriture d'une réécriture. Dans "Les Grenouilles qui demandent un Roi" (1693), nous

vraisemblance, caractéristique de l’esthétique classique. On retrouve aussi les traits fondamentaux de la tragédie : la règle des trois unités (l’action du temps, le lieu dans le même espace et l’action sur un seul intrique unique) et la bienséance. Le fabuliste a contribué aux animaux à chacun des traits de caractère, de la parole et de la psychologique comme des humains qui sont conforme dans leurs agissements et les sentiments par rapport à leur rang. Les animaux ne sont pas allégories du vice ou de la

Pour argumenter de nombreux auteurs ont eut recourt à la fiction. C’est le cas notamment du fabuliste Jean de La Fontaine qui l’explicita dans sa fable « Le Lion et le chasseur » en affirmant « Une morale nue apporte de l’ennui/Le conte fait passer le précepte avec lui/En ces sortes de feintes il faut instruire et plaire. » Ainsi il expliquait sa préférence pour l’apologue pour présenter ses idées. Aussi on retrouve ici le principe fondamental du Classicisme : plaire tout en instruisant.

utilise le présent de narration "il vient" vers 19 et "il fait' vers 25 cela donne l'impression au lecteur d'assister à la scène D'autre part cette fable est théâtralisé par la présence de discours direct ce qui est rare dans les poèmes. En effet le fabuliste fait parler ses personnages. La présence de dialogue rend le texte plus vivant. Nous pouvons voir trois anaphores "sorcier" vers 14, "et" vers 18 et "adieu" vers 44, 45 et 46. Cette dernière anaphore est utilisé pour intensifier la perte du merveilleux

2- Problématique : En quoi ce texte est-il efficace ? I. Fable burlesque (> Texte qui plaît ) 1. Références à l’Iliade 2. Référence à l'Odyssée 3. Parodie du récit épique II. Cible explicite 1. Morale explicite 2. La présence du fabuliste 3. Argumentation et exemples III. Morale implicite 1. Un conseil 2. La figure de la femme. 3. La figure du Pourvoir Conclusion : 1 - Faire le bilan : Ce texte est un apologue car grâce à sa forme, ses rimes, son récit bref, il plaît,

« Le Lion et le Moucheron », document B, en vous vous appuyant sur les pistes suivantes: 1. un récit vif et animé, mettant en scène des personnages pittoresques. 2. un combat mêlant différents registres. 3. quelle vision du monde proposée par le fabuliste ?  2. écriture d’invention. Imaginez le dialogue argumentatif qui pourrait opposer La Fontaine et Rousseau, revenus aujourd’hui sur terre, au sujet des fables et de leur intérêt, notamment pour des enfants, mais aussi des apologues en général