Fabuliste

Jean de la Fontaine C'est un poète, fabuliste, moraliste, dramaturge français né à Château-Thierry le 8 juillet 1621 et meurt en 1695 à Paris. Ami de Molière, Boileau et Racine. Il a écrit les amours de Psyché et Cupidon. Jean fut protégé par les femmes, la Duchesse de Bouillon et la Duchesse d'Orléans. Il a été élu en 1684 à l'Académie avec pas mal de difficulté, au fauteuil de Colbert. A Monsieur le Dauphin J'ai choisi ce poème car ici nous voyons la tendresse qu'éprouvais Jean

Le dix-septième siècle a vu naître le fabuliste célèbre Jean de La Fontaine, auteur de Le corbeau et le renard. Dans ce texte, le poète commence par présenter un personnage qui transporte un aliment que convoite un autre personnage, un renard. Ce renard s'adresse au corbeau, porteur d'un fromage, pour le flatter sur son physique, et l'invite à chanter afin de démontrer qu'il possède les caractéristiques de l'animal le plus merveilleux de la forêt. Au comble de la fierté d’être admiré de cette

l’apologue, l’art du récit et son coté plaisant est apprécié, nous verront comment l’auteur s’y prend pour séduire le lecteur et lui inculquer ses valeurs. Pour argumenter de nombreux auteurs ont eut recourt à la fiction. C’est le cas notamment du fabuliste Jean de La Fontaine qui l’explicita dans sa fable « Le Lion et le chasseur » en affirmant « Une morale nue apporte de l’ennui/Le conte fait passer le précepte avec lui/En ces sortes de feintes il faut instruire et plaire. » Ainsi il expliquait sa

La Fontaine, fabuliste et moraliste français du XVIIe siècle classique écrit ses Fables choisies et mises en vers, entre 1678 et 1679 dont est extraite Le Pouvoir des fables (livre VIII, fable 4). Après la chute de Fouquet son protecteur, il se consacre à une critique de la société de son époque à travers ses fables. Ainsi, celles-ci renferment les observations qu'il en fait en mettant en scène des animaux. On parle donc de bestiaire allégorique. La plupart de ses fables sont en fait une réécriture

compose du récit, dont la fonction est d'illustrer la morale : 'Le corps est la fable ; l'âme la moralité" dira La Fontaine. "Les Obsèques de la Lionne" est tiré du deuxième recueil des Fables, dédiées au Dauphin, alors âgé en 1668 de 7 ans. Le fabuliste affirme dans l'Avertissement qu'il a donné à ce recueil "Un air et un tour un peu différent". En effet, il ne se contente plus d'amplifier les canevas ésopiques par des traits familiers, mais a cherché à les enrichir à partir des apologues de l'indien

Il ajoute également une structure poétique à la fable. Auteur: Jean de La Fontaine est un poète, moraliste, dramaturge, romancier et fabuliste français du XVIIe siècle, très célèbre notamment grâce à ses Fables et aussi ses contes. Il meurt à Paris en 1695 à 73 ans. Pour écrire ses récits, il s'inspire particulièrement des textes d'Esope et de Phèdre, fabulistes grec (Esope) et latin (Phèdre) de l'Antiquité. Texte: (Lire) Versification: -écrit en heptasyllabes et trisyllabes, rimes croisées puis

lucidité * discours encadré par « frère » v.6 et 16 « Hélas ! » v.15 → inquiétude → tragédie → pastiche héroïcomique, ex : « cruel » v.8 * caractère très pathétique du discours → théâtralisation 2. Le discours du fabuliste * Incipit v.1 : 2 mots pour exprimer l’amour → récurrence du sentiment amoureux rythme en 5//3 → mouvement décroissant → tonalité nostalgique * Excipit : v.65 « Amants, heureux amants » → incipit ↔ excipit : à chaque

La Fontaine a sans nul doute du génie, une critique contemporaine déclarait dans son introduction à propos du poète : «  les fables paraissent rassurantes quand elles devraient nous inquiéter, quand elles devraient nous déranger ». En effet, le fabuliste sait à merveille dissimuler ses critiques derrière des situations banales et rassurantes, parfois même si bien dissimulées que le lecteur peut en rester à un stade où le réel message n’est pas véritablement saisi. Chaque fable ou plus généralement

montrer son émerveillement. De même, le point d' exclamation traduit sa stupéfaction. « Voici ; Voilà » parallélisme et anaphore exprime sa prétention à étaler son savoir. Il applique à la réalité ce qu' il a appris dans les livres. Au vers 8, la fabuliste reprend la parole et dévoile au lecteur l' erreur « topinée »

Le Chêne et le Roseau est, avant d’être une fable de Jean Anouilh, une fable de Jean de la Fontaine, fabuliste du XVII°s. Cette fable se trouve en dernière position du premier Livre des Fables parues entre 1668 et 1693. La fable de La Fontaine est elle-même une reprise de la trame narrative de l’apologue ésopique « Le roseau et l’olivier », même si La Fontaine choisit, à la différence d’Esope, de donner la parole aux deux personnages. Les Fables de Jean Anouilh, parues en 1962, sont donc un hypertexte