Façade

la villa a valeur de manifeste pour la modernité architecturale de l'entre deux guerres. "Machine à habiter" comme "machine à émouvoir" selon les expressions provocantes de Le Corbusier la villa affirme son originalité et sa modernité avec quatre façades blanches presque identiques percées par une baie vitrée horizontale et ininterrompue. La partie supérieure de la villa est posée sur une trame régulière de pilotis, tandis que son socle est légèrement en retrait afin d'accentuer l'effet de décollement

la nature. * Format/échelle : il sait que le chantier ne sera pas terminé en 1 génération = plusieurs parties (division) * • 1892→façade de la nativité+fondation * •1925→tours de Barnabé * •1929→trois autres clochers * •1932→ musée de la crypte où il est enterré * •1954→façade de la passion, voir plans * •2005→commencement de la façade de la gloire * •2007→on referme l’intérieur * Dimensions : largeur 45m ; longueur 95m * Style : moderniste avec une forte

Scribe à Paris Auteur : Charles Garnier Date : ouvert ses portes en 1875, construit de 1861 à 1875 II. Description - 1 bâtiment central de forme rectangulaire - 157m de long - 2 pavillons latéraux  - arrière simple, classique qui contraste avec la façade - coupole aplatie sur le dessus + bâtiment triangulaire - salle + scène au centre - scène de 25m de profondeur et 15m d’ouverture - salle à l’italienne, en forme de fer à cheval III. Analyse A. Historique : L’opéra a été construit à la

 a  construit  le  panthéon  (croix  grecque)   Durand  reproche  à  ce  bâtiment  des  façades  trop  longues  (du  fait  du  plan  en  croix)  =>  très  onéreux   Si  le  plan  avait  été  un  cercle  =>  max  de  surface  pr  un  minimum  de  façade   L’architecte   est   libre   de   ses   instruments   de   mesure   &   de   les   utiliser

l’on retrouve une croix grecque portant a la croisée le célèbre escalier en vis a double révolution. Cette disposition est répété sur trois niveaux. (8) On remarque qu’au premier et au deuxième étage les petites pièces entresolées sont précédé en façade par une coursière sous arcades, qui rejoint les escaliers des tours d’angles voisines. Au deuxième étage, les bras de la croix ne sont pas plafonnés, mais sont couvertes de voutes en berceau qui portent la terrasses du niveau supérieur. (9) La

historiques depuis le 28 décembre 1984. Le bâtiment rassemble quatre matériaux : La pierre (pour la façades et ses statues), le fer (comme structure porteuse), la fonte (notamment pour l'ornement des colonnes intérieures) et le verre (avec deux grandes verrières sur la façade pour offrir de la légèreté et de la transparence). Cette gare a connu une réhabilitation de son intérieur, et des travaux de façade en 2006. Des feuilles d'or furent ainsi posées, comme le projet de Laloux le prévoyait à la base

effectués par le syndic au sein de l’immeuble. LES PARTIES COMMUNES ARTICLE 5: Sont considérées comme parties communes les parties destinées à l’usage de l’ensemble des copropriétaires à savoir : Les escaliers ; l’ascenseur ; la cour ; la façade de l’immeuble ; le parking extérieur ; les espaces verts ; les murs porteurs et les fondations La cave pour ceux qui en ont accès … Leur entretien est à la charge de tous les copropriétaires. Les copropriétaires ont des droits égaux sur

est possible grâce au pilotis qui suppriment les murs porteurs. On peut donc aménager l'espace par de simples cloisons, comme on le désire. La façade libre. Les façades sont indépendantes de la structure, elles se posent directement sur les pilotis. Leur composition est dictée par les vues depuis l'intérieur. La fenêtre bandeau. Étant donné que les façades ne sont pas porteuses, elles peuvent être percées par de longues fenêtres qui apportent lumière et transparence. Le toit-terrasse. Le toit plat

Cartier a confié à Jean Nouvel la construction d’une unité de production horlogère. Le bâtiment est inséré dans la pente en léger contrebas de la ville. Avec ses façades de vitrage clair, elle apparait de loin comme un étroit rectangle posé dans le paysage, discret. L’usine est créée dans le paysage comme une horizontale de plus. Le toit-façade à lamelles et les stores minces appartiennent à un même système qui tend à la fois à cacher et à révéler. En revanche, Jean Nouvel ne craint pas quand il

A une époque où l’utilisation d’une technique de construction dominante pour les bâtiments d’industrie, de commerce et de stockage altère les abords des villes et les zones rurales par la banalité des formes et l’agressivité des couleurs des façades, il nous a semblé nécessaire de donner aux concepteurs des ouvertures vers d’autres solutions à partir d’un matériau traditionnel : le béton. Ces solutions qui favorisent l’intégration de ces bâtiments dans leur environnement — bâti ou non — grâce