Failles Du Pib

objectifs à la fois. Il est difficile d’obtenir un taux de croissance du PIB et un solde du commerce très élevés, avec la baisse voire quasi- nullité des taux de chômage et d’inflation. A)   La croissance  Quand on dit croissance, on entend PIB (valeur) PNB (entreprises nationales que l’on enregistre). Quel est l’indicateur de cette croissance ? C’est la valeur ajoutée des entreprises. La croissance s’évalue en fonction du PIB, mesuré à prix constant (sans l’inflation) en volume : quantité produite

L'Afrique est la plus touchée. Les inégalités se creusent, les pays spoliés ne peuvent plus rembourser leurs dettes. Ici et là, des mafias se créent. On frôle l'anomie. Après avoir investi les institutions internationales (avec un pourcentage écrasant de PIB), le gouvernement d'État américain réagit au terrorisme en toute impunité par des frappes aériennes sur l'Afganistan, et maintient l'embargo sur l'Irak sans raison valable. Le Conseil de Sécurité est à sa botte. Au mépris du droit international, c'est

l’exclusion. Cette dernière souffrait de nombreuses faiblesses : Les objectifs étaient trop nombreux et concernaient trop de domaines. Par ailleurs, la faille essentielle de la stratégie de Lisbonne résidait sans doute dans la méthode employée : La MOC. Comme il n’existe ni contrainte ni sanction, comment imposer à un État de consacrer 3% de son PIB à la recherche ? Enfin, la stratégie de Lisbonne n’était pas dotée de moyens financiers spécifiques. En comparaison, les États-Unis disposent d’un budget

récentes publiées en mars 2007 par l’Institut des comptes nationaux (ICN), le PIB de la Wallonie est évalué en 2005 à 70.382 millions d’euros[3]. Cette même année, le PIB par habitant était de 20.670 €, contre 28.490 € pour la Belgique. Si l’on ramène la moyenne de la Wallonie à 100, la part des sous-régions exprimée en pourcentage de cette moyenne régionale présente de fortes variations : Evolution comparée du PIB par habitant dans les provinces wallonnes, en pourcentage de la moyenne de la Région :

trimestre 2009, a vu un recul total du PIB de 2,3%, un taux bien inférieur au Japon (-8,4%), l’Allemagne (-6,7%), l’Italie (-6,5%), le Royaume-Uni (-5,8%), les Etats-Unis (-3,8%) ou la France (-3,5%)[113]. Cependant, le chômage a fortement augmenté (+ 50 %). Le sauvetage de l’Union de banques suisses, la plus importante du pays, a fait plonger le budget de la confédération dans le rouge en 2008. Pour 2009, Le gouvernement s’attend à un recul de 1,6 % du PIB. Le chômage devrait plafonner à 4,9 % en

principalement, cinq économies : • La Thaïlande • La Malaisie • L'Indonésie • Les Philippines • La Corée du Sud Ce qui représente : • 6,5 % du PIB mondial • 6,9 % des exportations • 6,3 % des importations mondiales • A titre récapitulatif   La crise asiatique est une crise : • Du régime des taux de change.

que l’on gagne et que l’on perde. PNL : Profit & Loss Diversification des activités d’une banque : La diversification des activités d’une banque c’est pour garantir sa pérennité et pour éviter le « too big, to fail ». Charges dans une banque : la moitié sont des charges de personnels et l’autre moitié les charges informatiques (ordinateurs etc…). Volatilité des taux de changes des monnaies exotiques Exemple : Dinar de Bahrein, Réal brésilien, Lev Bulgare

identifiées, plusieurs mesures sont prises. La loi Volcker par exemple, interdit aux banques de dépôts d’exercer des activités de trading pour son compte si elle bénéficie d’aides publiques. Globalement, l’objectif est d’éviter le fameux « too big to fail » c’est à dire l’apparition de banques dont le poids dans la sphère financière est tellement important qu’il serait inenvisageable de les laisser faire faillite. Ainsi, le « Dodd Frank Act » interdit une fusion acquisition qui formerait une banque

stabilité financière. La hausse des taux italiens contraste avec la valeur des fondamentaux économiques du pays et la rigueur budgétaire dont l’Italie a fait preuve ces deux dernières années. Au-delà du problème de sa dette, qui représente 120 % du PIB mais qui apparaît pour de nombreuses raisons soutenable, c’est bien la gestion politique de l’adaptation du pays à la crise de la dette qui est visée par les investisseurs. Les différents plans de rigueur adoptés depuis juin 2010 sont jugés incomplets

ces dernières années caractérisé par une raréfaction des matières premières sur le marché international, le renchérissement des cours mondiaux et l’évolution massive de la consommation a mis à l’épreuve ce système de compensation et a dévêtu les failles qu’il engorge et qui jusqu’à ce jour restaient tolérables. Et donc l’Etat prévoit la mise en place d’un certain nombre de réforme pour corriger les dysfonctionnements de la caisse de compensation marocaine. Ainsi notre présentation va s’articuler