Failles Du Pib

et laisse peu de place à l ‘Afrique, l’Amérique du sud et au pays de l’Est en général. Déséquilibres massifs que l’on etudie a l’aide de 3 notions : Le concept de taux d’ouverture ((exportation+importation)/2/PIB) x100 Solde extérieur ((exportation-importations)/PIB) x100 résultat en donné monétaire international pour les export-import, cette donné reste global (secteur confondu) Taux de couverture (exportation/importations) x100 On examine comment les exportations

eux-mêmes indirectement été conduits à ces pratiques. A une époque mondialisée et réticulaire comme la nôtre, de grands ensembles bancaires sont considérés comme de véritables institutions indispensables à la santé de l’économie. On parle de « too big to fail ». Une entreprise en situation difficile sera aidée par le gouvernement pour éviter les répercussions désastreuses que son effondrement engendrerait sur l’économie. En quelque sorte, l’Etat contribue à sa manière à la stabilité financière. Or il faut

économiques grecs, on s’intéresse d’abord à la performance économique globale de la Grèce. Notamment on constate que le rythme de croissance du PIB a été soutenu jusqu’avant l’entrée de la Grèce dans l’Union Européenne (voir graphique suivant). Par contre, une fois avec la participation au marché unique européen, l’économie grecque s’est contractée, le PIB enregistrant des taux de croissance négatifs durant la première moitié des années ’80. La croissance a repris à la fin des années ’80, montrant

européennes décident d'élargir les bornes de fluctuation à ±15% donc la spéculation est plus difficile car les banques centrales ont plus de temps pour réagir Conclusion sur le SME : fonctionnement asymétrique avec un pays dominant qui est l'Allemagne (PIB, bonne réputation de sa monnaie, finances équilibrées) => argument de la monnaie unique donc ça serait bien que la politique monétaire soit confié non pas a un seul pays mais une instance fédérale car il pourra prendre en compte les situation de plusieurs

une vague de reformulation du consensus et, finalement, à la création du Consensus de Washington renforcé, qui ne s’éloigna pas fort du premier (Rodrik 2006). Vers les années 1990, certains économistes avaient avancé les raisons suivantes pour la faille du premier consensus : la faible appropriation des réformes par les gouvernements des PVD –se traduisant par une corruption et un engagement modéré dans la mise en œuvre- et la faiblesse en termes de légitimité des institutions (Ben Hammouda et al

premier satellite d’exploration américain (Explorer 1) et surtout de la fusée Saturn V, rendue célèbre grâce au programme Apollo. b. Des moyens considérables - En valeurs relatives 1953 : 67% du budget fédéral passe dans l’armement (13% PIB). - En valeurs absolues Entre 1950 et 1951 : 35 milliards de $. - En temps et en personnes 31 janvier 1950 : Truman lance le projet de la bombe H, 1Er novembre 1952 : les Etats-Unis essaient la bombe dans l’atoll d’Eniwetok (Ivy

Mondiale. En Europe, les vainqueurs comme les vaincus reconstruisent et peinent à faire redémarrer leur économie. Les américains, seuls vrais vainqueurs, connaissent quant à eux une forte prospérité économique. Cependant, cette prospérité a quelques failles ; tout d’abord l’argent est utilisé principalement au niveau de la bourse et non dans l’économie réelle. La richesse des USA est fluctuante et dépend des cours de la bourse. De plus, l’argent investis dans la bourse est lui-même « dangereux » puisqu’il

monnaie et le dollar, avec une légère réévaluation en 2008. (..)Pour accepter que le taux de change du yuan favorise moins ses exportations, la Chine doit substituer de la demande intérieure de consommation à des exportations, dans la formation de son PIB. Elle le souhaite, mais une telle transformation prend plusieurs années. Elle va donc procéder à des ajustements de change comme elle vient d’ailleurs de l’annoncer, en acceptant officiellement de lier sa monnaie non plus exclusivement au dollar mais

(retraite),  l’emploi (le chô mage),  la pauvreté et l’exclusion sociale. La protection sociale a donc à la fois des objectifs maté riels (par exemple, permettre aux individus de survivre quand ils sont malades, ou â s ou chargé de faille nombreuses) et des gé objectifs sociaux (par exemple, réduire l’inégalité devant les risques de la vie et assurer aux individus un minimum de revenus leur permettant d’être intégrés à la société). b. Mode de fonctionnement de la protection sociale

contrecarrer la crise capitaliste. 1929 : les Etats-Unis viennent de connaitre plus de dix années de forte croissance après la victoire de 1918. La production industrielle a bondi de 50 % entre 1921 et 1929. Mais l'économie américaine est parsemée de failles. La principale est le "crédit d'action" qui permet à la population d'emprunter pour pouvoir investir en bourse (monnaie courante aux Etats Unis). Ceci est la principale source de Création monétaire. Dans l'enthousiasme des années 20, ces emprunts