Fait Divers Dans Une Fiction Romanesque

Pour accentuer l’effet de réel, les auteurs n’hésitent pas à mentir, comme Balzac au début du Père Goriot qui affirme : « Ah ! sachez-le : ce drame n’est ni une fiction, ni un roman. All is true, il est si véritable, que chacun peut en reconnaître les éléments chez soi, dans son cœur peut-être. » Mais est-ce vraiment là un mensonge de la part de Balzac ? Le lecteur sait bien que les personnages et l’histoire sont

invraisemblable et synonyme d’acharnement pour le lecteur. Il en est de même pour Jacob, ce jeune homme séduisant ne parvient pas à s’empêcher de séduire chaque femme qu’il croise, d’abord « la dame », puis Melle Habert, Madame de Ferval… Le destin romanesque de ce personnage, pourtant bien moins tragique que celui de Marianne, n’en démord pas être propice à l’analyse du coeur. L’écriture du sentiment apparait alors comme sujet d’analyse chez Marivaux, le roman n’est plus une démonstration narrative

aussi « ce que l’on se représente, ce qui forme le contenu concret d’un acte de pensée » et « en particulier la reproduction d’une perception antérieure » . De ce point de vue, l’artiste peintre qui crée un tableau avec des couleurs ou des matériaux divers, le sculpteur qui façonne la matière, lui donne forme et relief, le musicien qui agence des notes en harmonies, l’écrivain qui combine les mots … représentent des « objets » perçus, des « objets » imaginés, une scène, une « réalité » intérieure,

littérature nous a demandé de réaliser un travail et une interview d’un auteur belge afin de nous sensibiliser, de façon concrète, à l’œuvre belge. Pour choisir l’auteur belge sur lequel j’allais travailler, j’ai visité différents site présentant divers auteurs belges. À la suite de cela, je suis tombée sur le site de Jean-Philippe Toussaint, mon choix fut pris. Je ne cherchais rien de particulier pour réaliser ce travail, juste un auteur qui m’accroche par un extrait ou une citation. Après avoir

4 − Le ton lyrique 3.6.5 − Le ton épique 4.− LES TYPES DE TEXTE 4.1 − Le texte narratif 4.2 − Le texte descriptif 4.3 − Le texte explicatif 4.4 − Le texte argumentatif 5.− LE ROMAN 5.1 − Introduction 5.2 − Les origines du roman 5.3 − Les genres romanesques 5.4 − L'organisation du temps 5.5 − L'organisation de l'espace 2 5.6 − Le point de vue du narrateur 5.7 − Les personnages 5.8 − La nouvelle 5.9 − Le conte 6.− LA POÉSIE 6.1 − La poésie ou la création du langage 6.2 − La versification 6.3

modeste, celui de la classe ouvrière, elle se considère comme une « transfuge de classe » (Ernaux 2005:165), c’est-à-dire comme un individu né dans un milieu social et qui, une fois adulte, vit dans un environnement social tout à fait différent. Annie Ernaux a fait l’expérience de cette mutation puisque, à partir de l’adolescence et grâce à de brillantes études, elle s’est employée à s’élever de son milieu modeste d’origine pour accéder à la sphère dite « cultivée » de la classe bourgeoise (aussi

Introduction: Le roman est un genre littéraire datant du XIII ème siècle,il se caractérise par sa grande liberté et sa capacité d'adaptation. Généralement des œuvres de fictions (illusion Romanesque), ce récit en prose, de longueur variable, peut aborder des sujets très différents à travers des constructions et des styles tout aussi divers,qui on évolués avec les siècles. Le roman, exprime des similitudes avec notre société. Le ou les personnages présentés expriment une vision de l'homme et du monde,c'est

nation pose la question de la légitimation de l’autonomie d’une littérature. henri Pirenne (1862-1935) essentialiste qui affirme que l’unité nationale à précédé l’unité du gouvernement. La création du royaume de Belgique autonome en 1830 ne fait que consacrer l’unité d’une civilisation qui prend sa source au moyen-age. Cette thèse intègre dans le patrimoine littéraire belge tous les textes produits sur le territoire belge depuis 1830. Expression du patrimoine national belge une expression

Cette notion existait donc déjà dans la critique d’art et la littérature lui emprunte une définition d’abord esthétique et à forte connotation idéologique. Nous voyons donc comment s’est opérée une confusion notionnelle idéologique : la mise en fiction de la vie quotidienne associée à une idée de la représentation du réel en vigueur en peinture. Cette confusion a entraîné une dérive dont s’est emparée la critique ; le terme de réalisme est devenu alors passe-partout et s’est ancré dans la perspective

les textes de Rousseau et Etienne –Noël Damilaville illustrent-t-ils la démarche des Lumières ? Perspectives complémentaires : A partir d’un groupement de textes sur « La diversité du genre de l’essai », En quoi l’essai est-il un genre libre et divers ? Quels registres s’expriment dans l’argumentation ? Nous avons souligné, pour certains textes (Rousseau, Artaud, « l’hésitation » entre argumentation directe et indirecte. Lectures analytiques Groupement de textes : La diversité du genre