Famille Je Vous Hais

Famille, je vous hais ! … (Famille) 1° « Une famille est un endroit où l'esprit entre en contact avec l'esprit des autres. S’il y a de l'amour entre ces esprits, le foyer devient aussi beau qu'un jardin fleuri. Mais si ces esprits ne sont pas en harmonie les uns avec les autres, c'est comme si une tempête ravageait le jardin. » Buddha. C’est à partir de cette citation que je vais baser la première partie de ma dissertation. Une famille n’est pas qu’une histoire génétique, la famille est bien

Français Compte-rendu de lecture Vipère au poing d’Hervé Bazin Biographie de l’auteur : Hervé Bazin est né à Angers le 17 avril 1911 dans une famille bourgeoise, traditionaliste et profondément catholique. Durant son adolescence, il se révoltera contre sa famille et tout particulièrement contre sa mère. L’éducation qu’il aura reçue ne pourra que l’y pousser. Après de vagues études de droit et avoir été inscrit de force à Saint-Cyr, il fera une fugue vers Paris avec la voiture familiale

[Le temps d’un automne] Je hais ta façon de me parler, Et la couleur de tes cheveux, Je hais ta façon de conduire, Et de me regarder dans les yeux, Je hais tes stupides bottes d’armée, Et ce que tu devines en moi, Je te hais au point d’en crever, Et même de te tuer parfois, Je hais ta façon d’avoir raison, Tes histoires inventées, Je te hais quand tu me fais rire, D’avantage quand tu me fais pleurer, Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où, Mais je hais surtout de ne pas te haïr

(à 84 ans), était un écrivain et poète français. Hervé Bazin est né au sein d'une famille aisée. Il passe son enfance à Marans, dans la propriété du Patis, où il s'oppose à sa mère qui était une femme autoritaire et sèche. Il fugue plusieurs fois pendant son adolescence et refuse de passer les examens à la faculté catholique de droit d'Angers qu'on lui a imposée et, l'année de ses vingt ans, il rompt avec sa famille, et part étudier à la faculté de lettres de la Sorbonne. Malgré les souvenirs douloureux

LXXII LE MORT JOYEUX Dans une terre grasse et pleine d’escargots Je veux creuser moi-même une fosse profonde, Où je puisse à loisir étaler mes vieux os Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde. Je hais les testaments et je hais les tombeaux ; Plutôt que d’implorer une larme du monde, Vivant, j’aimerais mieux inviter les corbeaux À saigner tous les bouts de ma carcasse immonde. Ô vers ! noirs compagnon sans oreille et sans yeux, Voyez venir à vous un mort libre et joyeux

A. GIDE ET LA NOTION DE FAMILLE : "Famille je vous hais" La phrase d'André Gide « Familles, je vous hais » était le sujet de Sciences Po Bordeaux en 2013. Intitulé exact du sujet : "Famille je vous hais", André Gide, Les nourritures terrestres, 1897 Plusieurs mots-clés : famille : sans doute le plus important, bien définir toutes les acceptations : famille large, famille restreinte - nucléaire -, famille traditionnelle, famille de coeur, famille biologique vous hais : défini comme un sentiment

veulent figurer sur le carton d'invitation. Catherine adore sa belle-mère qui l'a quasiment élevée, elle la veut sur le carton, elle la veut, la belle-mère n'envisage pas, et c'est normal, la mère est morte, de ne pas figurer à côté du père, moi je hais la mienne, il est hors de question que ma belle-mère figure sur ce carton, mon père ne veut pas y être si elle n'y est pas, à moins que la belle-mère de Catherine n'y soit pas non plus, ce qui est rigoureusement impossible, j'ai suggéré qu'aucun parent

pas pu avoir aux lignes 35 et 36. La métaphore ligne 36 « laisse-moi imaginer de quel bonheur ces murs aurais pu être l’écluse » suggère une imagination permanente du bonheur d’Oreste. Il finit cette tirade par un rappel des noms de familles « que de noms de famille […] noms de bonheur ! » l.37-38, des choses heureuses.Nous avons vu que Électre poursuis une quête du bonheur impossible. Nous allons maintenant nous interroger au sujet de la haine d’Électre.Cette haine d’Électre et sa tentative de définition

dans une autre pièce du palais royal. L'intendant, seul Les répliques qui suivent doivent être dites à voix haute, de manière colérique mais confuse. Quel imbécile ! Quel idiot ! Quel ingrat ! Quel manipulateur ! Quel arrogant ! Je le hais ! Je le hais, quel moment horrible, je suis humilié ! Mais, j'ai peur, très peur, il me fait peur, cet assassin... Ce n'est pas possible ! Son plan ? Génial ? Son plan n'est que stupidité, est-il aveuglé par la haine ? Est-il devenu fou ? oui, c'est cela

J'ai voulu t'éloigner de ça, je voulais que tu me haïsses même plus que tu me vomisses. C'est pour cette raison que j'ai préparé ce plan. Je voulais te sembler sale. Une femme sans états d'âme. Je ne voulais pas succomber ! Ce fut ma priorité. Je ne voulais pas souffrir. Tu es apparu brusquement sans crier gare du jour au lendemain, tu m'as fait l'effet d'une gifle. Tu m'as complètement bouleversée. Le détachement était la seule solution pour éviter de vivre à nouveau cette situation. J'errerai bientôt