Famille Je Vous Hais

dégoutants[footnoteRef:2]» et les clientes, « des simplettes[footnoteRef:3]» qui font leurs emplettes à l’épicerie. La famille Lesur vit ainsi exposée « en bas, dans le bistrot et dans la boutique[footnoteRef:4]». Cette situation pour le moins étrange prive la petite fille de toute forme d’intimité et caractérise une absence de frontières entre le monde extérieur et la vie de famille. De fait, l’espace intérieur et extérieur ont opéré une sorte de fusion au sein du foyer Lesur, donnant lieu à un espace

pierre, Et mon sein, où chacun s’est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l’azur comme un sphinx incompris ; J’unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes ; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j’ai l’air d’emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d’austères études ; Car j’ai, pour fasciner

tout soit a sa place, je suis maniaque de moi même, je remet tjs mon écharpe bien mes cheveux, enfin voilà.* 21) -Avec qui aimerais-tu être en ce moment : *Une fille, qui ne sais pas a quelle point j'aimerais être avec elle* 22) -Personne que tu hais le plus : *Un gars de mon école quand j'étais petit, Pierre il s'appelle, c'est une sorte d' « ennemi » de toujours.* 23) -copain/copine/mari/femme/celibataire? : *Célibataire* 24) -Aimes-tu quelqu'un : *Je pense, c'est encore trop tôt pour savoir*

sujet vous est remis, assurez-vous qu’il est complet et que toutes les pages sont imprimées. Si le sujet est incomplet, demandez-en immédiatement un nouvel exemplaire aux surveillants. Ce sujet comporte 7 pages 10EC2SME1 Page 1/7 «- Je hais l’espoir » « Ces trois mots terribles sont ceux de Gwenn Rosière, alors allocataire du RMI, en révolte contre les promesses non tenues, les engagements trahis, les formations sans débouché, les contrats aidés sans avenir, les recours au travail sans

d’amende. Cette fois, le comique comparaissait pour diffamation, injure et provocation à la haine et à la discrimination raciale pour ses propos publics. Ce fait médiatique nous fait penser à 2 philosophes aux avis tranchés à ce sujet. Voltaire dit : « Je hais vos idées mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez les exprimer » tandis que Marat exprime : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Faut-il être pour la liberté d’expression totale comme Voltaire ou contre cette dernière

(reflète la vie de Baudelaire). - D’une quête créatrice de l’artiste. L’AUTEUR Baudelaire : Importance du divorce —> Importance du procès —> Baudelaire éprouve un immense sentiment d’injustice. Sa vie —> Baudelaire est marginalisé par sa famille, il vit une vie de Dandy. Son beau père l’envoie sur l’île Bourbon pour l’éloigner de la vie dissolue qu’il mène mais il ne change pas pour autant. Les thèmes de ses poèmes sont inspirés de sa vie. L’auteur rejette la vie bourgeoise pour une vie

nous vous lirons des passages de l’œuvre que nous avons appréciés. Enfin, nous terminerons cet exposé en vous parlant de l’intérêt de cet ouvrage. I. Introduction Présentation de l’auteur : 1606 - 1684. Pierre Corneille naît à Rouen dans une famille de la petite bourgeoisie. Excellent élève, il se passionnera pour les stoïciens (philosophes grecs). A 22 ans, il devient avocat. Avocat, il débute au théâtre par des comédies et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque

père, qui est mon intime et ancien ami ; mais ce fut à condition que vous vous plairiez à tous deux, et que vous auriez entière liberté de vous expliquer là-dessus » La pièce commence à l’annonce de la visite de Dorante à sa future belle-famille. Silvia demande à son père une faveur : celle de prendre l’habit de Lisette, sa soubrette, pour observer son prétendant ; ce qu’elle ne sait pas et que nous apprend son père informé par une lettre du père de Dorante, c’est que Dorante a demandé la

 en  décasyllabes , précédés d'un huitain et séparés par 50 « emblèmes ». Chaque emblème donne son thème au dizain qui le suit. « Moins je la vois… » Moins je la vois, certes plus je la hais : Plus je la hais, et moins elle me fâche. Plus je l'estime, et moins compte j'en fais : Plus je la fuis, plus veux qu'elle me sache. En un moment deux divers traits me lâche

L’inégalité n’a donc pas de fondement naturel puisque l’homme naturel se suffit à lui-même et que s’il lui arrive de compatir, il ne se compare jamais. Mais l’invention d’abris permanents finit par engendrer des commodités et des besoins nouveaux : la famille, l’amour, la société aux liens larges. Phase tribale dont Rousseau fait l’éloge comme de la véritable jeunesse du monde : « Tant que les hommes se contentèrent de leur cabane rustique, tant qu’ils se bornèrent à coudre leurs habits de peaux avec des