Fanatisme Inconvénients

chose à l'État et aux individus. Le fanatisme religieux oui, lui, est source de régression car il signifie non-reconnaissance de l'autre. La religion devient alors source d'aliénation de l'individu. Imposer sa religion même à son enfant est un non-sens, car il ne sera jamais ni un bon musulman ni un bon chrétien. La religion est une affaire de foi, d'adhésion libre et sincère. La foi ne se commande pas. En cette matière la liberté est fondamentale. Le fanatisme est négation de la personne humaine

dégénère en dispute générale, chacun tentant d’imposer sa religion. C’est alors que Zadig intervient pour calmer les esprit et exposer sa conception de la religion. Problématique: Quelle leçon doit-on tirer de cet épisode? I) La satire du fanatisme religieux a) Voltaire reproche à la religion d’être à l’origine de violence et d’intolérance. *lexique péjoratif et insultes utilisés par le grec * verbes qui renvoient à l’agressivité des paroles et à la colère * violence extrême liée à

vanité) ; or, brièveté de la vie terrestre : "vie (...) passagère" (l. 7), l'homme ne vit qu'un "instant" (l. 25)
2° IA : Oppression morale et religieuse :
 "tyrannie exercée sur les âmes" (l. 20)
3° IA : Oppression économique et politique :
 Le fanatisme religieux est assimilé au "brigandage" : le terme de comparaison "comme" (l. 21) met sur le même plan de l'"horreur" et de l'"exécration" la "tyrannie" et le "brigandage". 3° § Mais c'est surtout l'intolérance religieuse catholique qui est visée

n’est pas une simple accumulation des connaissances : Il s’agit d’un inventaire « raisonné » qui fait apologie (Discours ou écrit visant à défendre et justifier quelque chose ou quelqu’un) des progrès du genre humain en dénonçant la superstition, le fanatisme ou la tyrannie, entraves à la liberté et au bonheur. III- Les principes des lumières A Exercer l’esprit critique : Les lumières revendiquent un état d’esprit et une démarche scientifique, le rationalisme, fondé sur l’expérience, l’analyse

novembre 1694 à Paris et y meurt le 30 mai 1778 a 83 ans, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre «l’infâme», nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Exilé en Angleterre. En 1749, mort d'Émilie du Châtelet avec laquelle il a entretenu une liaison de quinze ans. Etudes de droits, de philosophie et de rhétorique chez les Jésuites. Œuvres : Théâtre

groupe qui se passent dans nos communautes. Un groupe d’individus avec des programmes personnels differents peuvent travailler ensemble pour atteindre un objectif commun. Contexte de la Diversite • Ethnicite/Tribalisme • Segregation raciale • Fanatisme religieux • Philosophie politique • Doctrine partisane • Disparite Economique Le probleme de la diversite • Des notre naissance, nous developpons des prejuges et des tendances qui s’enracinnent fortement en nous. • Nous sommes influences par

critiquant la société européenne, et en faisant la satire des mœurs et des institutions. En effet, à travers un récit a priori anodin, il dresse un véritable réquisitoire contre l’Eglise, s’attaquant au nom de la raison au fanatisme religieux, qui entraîne l’intolérance. Le fanatisme religieux ne respecte pas les idéaux de Dieu, qui encourage la tolérance et la raison, mais n’est qu’un détournement de la religion, afin d’obtenir ce que l’on souhaite. Voltaire effectue sa dénonciation dans le chapitre

- Vers 1714 : L'abbé de Châteauneuf, son parrain, l'introduit dans les milieux mondains et libertins parisiens. - 1718 : parution de sa première tragédie Œdipe. - 1731 : critique la guerre dans L'Histoire de Charles XII. - 1733 : critique le fanatisme religieux dans Epîtres à Uranie ; mais croit en un Dieu créateur et non révélé. - 1733 : critique la monarchie absolue française et fait l’éloge de la monarchie parlementaire anglaise dans Letters Concerning the English Nation ( rédigées en anglais

On entend aujourd’hui par fanatisme une folie religieuse, sombre et cruelle. C’est une maladie de l’esprit qui se gagne comme la petite vérole. Les livres la communiquent beaucoup moins que les assemblées et les discours. On s’échauffe rarement en lisant: car alors on peut avoir le sens rassis. Mais quand un homme ardent et d’une imagination forte parle à des imaginations faibles, ses yeux sont en feu, et ce feu se communique; ses tons, ses gestes, ébranlent tous les nerfs des auditeurs. Il crie:

place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la France des Lumières[->11], chef de file du parti philosophique[->12], son nom reste attaché à son combat contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Déiste[->13] en dehors des religions constituées, son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Intellectuel engagé au service de la