Fang

plus noir du gouffre, et va chercher L’ombre, et la baise au front sous l’eau sombre et hagarde. Tout est doux, calme, heureux, apaisé ; Dieu regarde. Marine-Terrace, juillet 1855. – 401 – XI. Oh ! par nos vils plaisirs, nos appétits, nos fanges, Que de fois nous devons vous attrister, archanges ! C’est vraiment une chose amère de songer Qu’en ce monde où l’esprit n’est qu’un morne étranger, Où la volupté rit, jeune, et si décrépite ! Où dans les lits profonds l’aile d’en bas palpite, Quand

force nécessaire à son retrait permet d'évaluer la force correspondant à la rupture des liaisons établies. Cette méthode assez récente a été notamment utilisée pour étudier le comportement de bactéries et de spores de macro-algues (CALLOW et al. 2000a, FANG et al. 2000, DUFRENE et al. 2001, VADILLO-RODRIGUEZ et al. 2004, VADILLO-RODRIGUEZ et al. 2005). Cependant, ces expériences sont assez sensibles et nécessitent de disposer d'un microscope à force atomique, très coûteux. 40 Figure 5. Formation

MA CY, YEH CC, HO CC, LU HF, WOOD WG, CHUNG JG. Aloe-emodin induces cell death through S-phase arrest and caspase-dependent pathways in human tongue squamous cancer SCC-4 cells. Anticancer Res, 2009, 29, 4503-4511. [203] CHEN SH, LIN KY, CHANG CC, FANG CL, LIN CP. Aloe-emodin-induced apoptosis in human gastric carcinoma cells. Food Chem Toxicol, 2007; 45: 2296-2303. [204] KIM I, KWON H. Induction of apoptosis by Aloe vera extract in human hepatocellular carcinoma HepG2 cells. J Toxicol Publ Health

canonique. Dans la représentation du corps, pas une once de sentimentalité. Massif et monumental, le corps, prenant appui sur la jambe droite, développe un mouvement de rotation dans le plan du tableau. En opposition, le visage, inspiré des masques fang, semble figé et plat. Des cernes noirs en simplifient les traits ainsi que les lignes du corps, comme dans les Demoiselles d’Avignon. Statisme et mouvement cherchent leur équilibre dans le plan du tableau. Braque et Picasso vont alors travailler

observateurs qui ne peuvent pas ne point être des misanthropes. C’est fatal. Aussi l’était-il. Seulement il avait eu le temps, pendant qu’il faisait boire la boue des mauvais chemins au ventre sanglé de son cheval, de se 157 blaser sur les autres fanges de la vie. Ce n’était nullement un misanthrope à l’Alceste. Il ne s’indignait pas vertueusement. Il ne s’encolérait pas. Non ! il méprisait l’homme aussi tranquillement qu’il prenait sa prise de tabac, et même il avait autant de plaisir à le mépriser

impitoyables observateurs qui ne peuvent pas ne point être des misanthropes. C’est fatal. Aussi l’était-il. Seulement il avait eu le temps, pendant qu’il faisait boire la boue des mauvais chemins au ventre sanglé de son cheval, de se blaser sur les autres fanges de la vie. Ce n’était nullement un misanthrope à l’Alceste. Il ne s’indignait pas vertueusement. Il ne s’encolérait pas. Non ! il méprisait l’homme aussi tranquillement qu’il prenait sa prise de tabac, et même il avait autant de plaisir à le mépriser

toute discipline convenente, par le commandement de son pere et celluy temps passa comme les petits enfans du pays : c'est assavoir à boyre, manger et dormir; à manger, dormir et boyre; à dormir, boyre et manger.   Tousjours se vaultroit par les fanges, se mascaroyt le nez, se chauffourroit le visaige, aculoyte ses souliers, baisloit souvent au mousches, et couroit voulentiers après les parpaillons, desquelz son pere tenoit l'empire. Il pissoit sus ses souliers, il chyoit en sa chemise, il se mouschoyt

signification de la mémoire? Dans C’est le soleil qui m’a brûlée, la dissonance d’avec l’armature généalogique, familiale, culturelle, historique, se trouve déjà inscrite dans l’onomastique, sinon dans le patronyme de l’actant principal : Ateba, dans la langue Fang du Cameroun, signifie « refuser ». De là, la tentation de dire que le personnage Ateba est celui-là qui refuse tout ce que lui propose l’entourage, la famille, la culture jusqu’à récuser son propre nom. Ateba n’existe que dans et par la déréalisation

du ciel. (XLIV, Lb., III, 333 11). Les constellations sont sublimes dans l'ombre, Elles reluisent, fleurs de l'éternel été. L'Année Des astres, fleurs terrible, 357 (Juillet, du gouffre, éclosent dans La Fin de Satan, 269 (Satan dans les fanges. la nuit, Un archange plus grand et plus éblouissant Et plus beau que celui qui Ayant des le parle à 1). m). présent, fleurs soleils, des astres étincelles, Et tous les diamants du gouffre sur ses ailes. Dieu, 225 1. La tiare de Dieu

fait « envie à la plus belle blanche »[38]. Dans le poème, il prévient la belle Indienne qu’un sort fâcheux l’attendrait en France. Elle y serait obligée de vendre ses appâts et de se prostituer : « [...] Il te fallait glaner ton souper dans nos fanges / Et vendre le parfum de tes charmes étranges / L’oeil pensif et suivant, dans nos sales brouillards, / Des cocotiers absents les fantômes épars ! »[39] En prédisant sa chute et sa misère, il lui fait connaître ce qu’elle aurait d’extraordinaire