Fantastique Et Réel

théorie déjà classique de Roger Caillois, le fantastique est une anomalie qui se manifeste au sein du réel canonique, une intrusion inattendue qui surprend, déroute, inquiète. Il signifie la fissure, la contradiction par lesquelles l’anormalité s’infiltre subrepticement ou brusquement dans le déroulement tranquille de la banalité quotidienne. L’apparition inexplicable des rhinocéros dans ce monde s’inscrit parfaitement dans le schéma structurel du fantastique. L’inexplicable a besoin d’une explication

un lien entre le mouvement du romantisme et la vision déformée du réel dont il fit en son temps la promotion. Ligne 7 : » plaire au lecteur, l'émouvoir ou l'attendrir ». Toucher le lecteur, jouer avec sa sensibilité à travers les registre lyrique / pathétique /élégiaque. Ligne 28 : «  le Romancier d'hier choisissait et racontait les crises de la vie , les états aigus de l'âme et du cœur ». D'après Maupassant, le rapport au réel permet de séparer littérairement mais aussi historiquement «  le Romancier

Donc, malgré sa popularité, il ne peut être pris comme référent d'un genre en évolution constante, et constamment branché sur la réalité. En effet - et ce n'est pas le moindre de ses paradoxes - la science-fiction est avant tout une littérature du réel, du présent, dont le propos, camouflé en " voyez ce qui nous attend " est généralement de dire " voyez dans quel monde nous vivons ". Et la finalité de l'écrivain de SF, qui se définit volontiers comme "explorateur du futur", est de traquer les germes

demander de quelle façon apollinaire joue de l’imaginaire et du réel.Dans le premier quatrain nous verrons un poète happé dans l’atmosphère fantastique des légendes du RhinDans le second quatrain nous aurons un appel à une réalité quotidienne et rassurantePour dans un troisième quatrain parler de la victoire de la magie et du fantastiqueEt enfin remarquer le retour au réel sur une image humoristique, structure circulaire du verre au versLe thème de l’ivresse est présent dès le départ et rappelle une nouvelle

la narration. L’une, la statue, paraît si réelle, si vivante. Cette Vénus là, malgré le fait que ce soit une statue, provoque la peur et l’incompréhension. D’un côté, on est ébloui par la douceur de son regard et la finesse de ses traits. Cependant, de l’autre côté, elle est remplie de mystère, de peur. Les paysans superstitieux racontent des histoires à couper le souffle sur cette statue. C’est là ou intervient l’irréel, le surnaturel, le fantastique de la nouvelle. Son côté humain est effrayant

LE CONTE LITTÉRAIRE Le conte est une narration, généralement courte, ayant pour sujet des aventures imaginaires ou fantastiques. Le conte littéraire dérive directement du conte populaire, mais à la différence de ce dernier qui appartient à la littérature orale et reste le plus souvent anonyme, il est le fruit d'une véritable création littéraire et peut donc être facilement rattaché à un auteur, à une époque ou encore à mouvement. Parce qu'il entretient des liens étroits avec la littérature orale

Plan de commentaire : La peau de Chagrin. I) Un monde fantastique en constante opposition 1) Un monde fantastique * Champ lexical du fantastique « sabbat » l.42 : référence à Faust sur le Brocken, scène de sorcières « comme par magie » l.55 « merveilles » l.25 et leurs description, mise en scène (utilisation du passé simple l.33 « s’illuminèrent » l.35 « s’agitèrent ») * Personnification des « merveilles » « les paupières des personnages représentés » l.37 « frémir » l.39

Fiche de lecture d’une nouvelle Le chevalier double Nouvelle fantastique Auteur : Théophile Gautier Genre : Classique Collection : Grands classiques n°17 Editée par : EDDL 1E édition dans cette collection : 1996 Toujours édité 125 pages Travail proposé par : Melle Chahat Nora Sommaire Introduction I)-Le résumé de la nouvelle II)-Le nouvelliste III)-les personnages principaux de la nouvelle IV)-Le schéma narratif : V-L e schéma actanciel VI - Lecture méthodique Commentaire

Réel/Irréel 1. Moment d'ivresse _perception réel/hallucination _effet de surprise dans la structure => semble mimer l'expérience du buveur//verre => refus de l'ivresse _image du tremblement (v.1/v.10) => ébriété/effroi => l'ivresse se communique (v.9) • assonance en « i » + allitération « t » • rythme (v.9) 2/4/6 cadence majeur réel => fantastique 2. Mythologie germanique _le personnage du batelier + figures fantastiques des « ondines » au nombre magique de 7. //_la sirène maléfique

de l’écrivain dans un trait très balsacien : « vous eussiez dit » C. Le personnage reste pourtant dur à percevoir Le narrateur fait aussi des suppositions : « devaient parfois » et aboutit à une « image imparfaite » Il essaie de se rapprocher du réel pour que l’image soit plus claire : comparaison avec Socrate (dont le génie est reconnu) et Rabelais Métaphore centrale du tableau cherche aussi à le caractériser II. Le portrait devient pictural A. Nombreux éléments picturaux La