Fantastique La Peste

mers »-1870) ; le roman fantastique ou de science-fiction bouleverse les lois de notre réalité quotidienne (Shelley, « Frankenstein ou le Prométhée moderne », 1817, Maupassant « le Horla » en 1887) ; le roman noir évoque la violence et l’immoralité ; le roman policier se fonde sur une énigme à résoudre ( Conan Doyle, « les aventures de Sherlock Holmes », 1891-1927) ; le roman philosophique évoque quant à lui un problème universel en suscitant la réflexion du lecteur ( Camus, la peste, 1947). IV Le personnage

mystère et la rêverie, à découvrir des correspondances secrètes entre la nature et l'homme. Il s'agit de créer un art pur, exigeant, où le symbole permet le passage du monde matériel au monde des idées. Avec le symbolisme, le rêve, la suggestion, le fantastique l'emporte. Le roman Contes cruels d'Auguste de Villiers de l'Isle Adam Le théâtre Pélléas et Mélisande de Maurice Maeterlinck. Ubu Roi d'Alfred Jarry La poésie Une Saison en enfer, les Illuminations d'Arthur Rimbaud Le surréalisme

Au fil des anecdotes et des signes cliniques, nous découvrons l’éclatement progressif de la personnalité du malheureux Bluet. Il mourra en 1606 dans des circonstances obscures, apparemment suite à des privations visant à conjurer une épidémie de peste. D’une certaine façon, il a réussi à passer pour un écrivain : ses contemporains le considéraient comme l’exemple proverbial du scribouillard. La raison peut-elle comprendre la folie Nerval /Aurélia Toutefois, les crises coïncident avec d’intense

La Bruyère dans ses Caractères souligne les travers de la Cour. Molière veut « attaquer par des peintures ridicules les vices de ce siècle », La Fontaine, dans ses Fables, ridiculise les défauts de son époque ainsi que « Les Animaux malades de la peste »]. Montesquieu dénonce la vanité et les folies guerrières du roi, et, au-delà la monarchie absolue. La littérature devient alors une arme de lutte contre les abus et incite le lecteur à rejoindre ces combats qui font la dignité de l’homme. Instruire

immédiate et violent, poussée à bout, à l’extrême fondée sur un spectacle total. Le langage théâtral ne se confond pas avec les mots. L’acteur doit aller dans un état de transe, certes contrôlée mais qui est une leçon de spiritualité. Pour Artaud, la peste est l’allégorie de la création théâtrale. Le jeu théâtral est un délire communicatif, c’est une sorte d’exorcisme total. A partir de tous ces novateurs, le théâtre est devenu un instrument pour transgresser l’unité du langage, un instrument de subversion

scène regroupant 10 anges L’image est toujours séparée en plusieurs scènes distinctes Scène avec le Christ et figures importantes, plus disciples L’auréole dorée qui montre l’importance des personnages Anges (irréaliste) on reste dans le fantastique, symboles de pureté Code des gestes : les mains sur la joue, symbole de douleur UN arbre, symbole de la nature Code des couleurs : Cape bleue, symbole de royauté, puissance noble 4) Perspective partiellement acquise Ligne de dynamisme

de véritables maximes : « Tous les frères flouent plus ou moins leurs soeurs », « Il faut vous manger les uns les autres comme des araignées dans un pot », « Il faut entrer dans cette masse d’homme comme un boulet de canon, ou s’y glisser comme une peste », « L’honnêteté ne sert à rien », « La corruption est en force, le talent est rare ». Cherchant à faire sortir Rastignac de son aveuglement et de ses illusions, il joue le rôle d’un initiateur. Plus encore, Vautrin apparaît doué du pouvoir de percer

dans ses Caractères souligne les travers de la Cour. Molière veut « attaquer par des peintures ridicules les vices de [son] siècle », La Fontaine, dans ses Fables, ridiculise les défauts de son époque[Exemple personnel +« Les Animaux malades de la peste »]. Montesquieu dénonce la vanité et les folies guerrières du roi, et, au-delà la monarchie absolue. La littérature devient alors une arme de lutte contre les abus et incite le lecteur à rejoindre ces combats qui font la dignité de l’homme. Combat

paysanne qui affectera en 1358 la région parisienne située principalement à l’Île-de-France, en Beauvaisis et en Brie, mais bien de la guerre de Cent Ans. Elle reflète l’histoire de son présent troublé par les nombreuses guerres et maladies telles que la peste, une épidémie qui fut transmise par les rats et les puces. Son récit nous amène dans le passé, dans un autre monde qui n’est pas si loin que de ça. Nous vivons dans la modernité d’aujourd’hui, nous fermons les yeux sur notre passé et notre esprit.

d'origine juive, convertie au catholicisme. Il est lui-même baptisé dans la religion catholique le 28 septembre 1890 sous le prénom Fritz[2]. Il manifeste des dons pour la peinture et le dessin, et une grande passion pour les récits d'aventures, fables fantastiques, exotiques et policières. Karl Kraus[3], Jules Verne et Karl May sont parmi ses auteurs favoris[4]. Tout cela se retrouvera quelques années plus tard, dans ses films. Cédant à la pression paternelle, il suit des cours d'architecture à Vienne. Mais