Fantastique Univers Réel

Les Fleurs du Mal – Charles BaudelairePlan :1. Des thèmes récurrents2. Le spleen3. L’image de la femme4. L’écriture poétique5. Typiquement baudelairien6. La structure de l’œuvre 1. Des thèmes récurrents · Le spleen · les sources de dégoût et la tristesse · Le vin · La fuite dans l’ivresse · La fuite du temps · Les saisons

Le conte et le merveilleux Depuis 1850 le roman se situe dans le réel. En effet, le réalisme entendait peindre la réalité de la manière la plus précise possible, y compris dans ses aspects immoraux ou vulgaires. Le Naturalisme poursuit cette idée, mais en ajoutant un contexte physiologique et en montrant que le milieu où vit le protagoniste est l'une des raisons principales de son comportement. Le naturalisme est le reflet de la réalité : il s'intéresse autant à la bourgeoisie qu’aux individus

l’expression directe de la pensée, sans contraintes, sans limites, sans normes ni obstacle. Prévert exprime ainsi ses sentiments vis-à-vis de l’art et engage le lecteur à une réflexion sur la peinture non-figurative, en réinventant la poésie et en menant un réel travail d’écriture sur une œuvre où l’on retrouve la fantaisie dès le premier regard. A la première lecture, le poème Promenade de Picasso apparaît sous une forme très excentrique. En effet, ce poème en vers libre dégage une forte irrégularité

peut tomber sur ces synonymes : « dramatique, élevé, emphatique, extraordinaire, fabuleux, fantastique, grandiloquent, héroïque, homérique, inimaginable, invraisemblable, pompeux, rare ». Pour aller un peu plus loin, on peut rechercher la définition du « genre épique », et on obtient ceci : « il provoque l'admiration et l'effroi des lecteurs en narrant les exploits guerriers de héros formidables dans un univers hanté parfois de forces surnaturelles. » Le genre épique, c’est aussi un principe de schématisation

les employés des télécoms et les secrétaires. Philip Pullman écrivit la trilogie de La Croisée des mondes pour faire croire aux gens que d’autres mondes existent en parallèle au nôtre et qu’il est encore possible de voyager à dos d’ours dans des univers magiques. Certains auteurs dénoncent même la race humaine en inventant d’autres civilisations plus sages et plus intelligentes comme dans la trilogie de Tolkien, Le Seigneur des anneaux, où les hommes sont avides de pouvoirs mais où les elfes sont

(notamment en octosyllabes à rimes suivies), puis en prose, contant les aventures fabuleuses, galantes ou grotesques de héros mythiques, idéalisés ou caricaturés. D’où la définition actuelle : œuvre littéraire en prose d'une certaine longueur, mêlant le réel et l'imaginaire, et qui, dans sa forme la plus traditionnelle, cherche à susciter l'intérêt, le plaisir du lecteur en racontant le destin d'un héros principal, une intrigue entre plusieurs personnages, présentés dans leur psychologie, leurs passions

et la rêverie compensent la réalité trop contraignante. Or chez l’enfant, la frontière entre l’imaginaire et le réel reste floue, d’autant que, jusqu’à un âge difficile à déterminer, l’enfant donne vie à tout ce qu’il touche (animaux, plantes, objets) : c’est l’animisme enfantin. Dans le conte pour enfant, il y a toujours un personnage central, le héros, qui vit des aventures fantastiques, et que l’auteur érige en modèle. Le conte a un but éducatif évident : les comportements jugés « bon » par la

retranscrire voire même dénoncer des réalités. Puisqu’il n’a pas la prétention de vouloir tracés le portrait d’une personnalité réel il peut donc entreprendre de créer un personnage auquel il peut arriver n’importe quoi pour mieux critiquer ou se moquer. Le personnage peut être tout a fait extravagant mais placée dans un certains contexte il peut avoir un dimension tout à fait réelle et peut être perçus comme un satyre de la société. Par exemple dans Gargantua et dans Pantagruel de Rabelais propose un changement

science-fiction, lecture actuelle des romans courtois ou de chevalerie. Ainsi que dans Yvain, Le chevalier au lion, de Chretien de Troyes, devoilant un ideal chevaleresque, ainsi que les epopees arthuriennes, et de sorte pousse le lecteur a s’imaginer un univers medieval. B. Des émotions nouvelles Situations nouvelles, appréhension de sentiments encore non éprouvés. Du plaisir de la peur  Plongée dans un monde intérieur, oubli de soi dans quelqu’un d’autre : l’identification comme moteur de nouvelles

|8 | |Le roman réaliste et naturaliste, populaire, satirique |8 - 9 | |LE ROMAN COMME UNIVERS | | |Le roman psychologique