Fantôme

marcher »(un fantôme ne marche pas), et son importance dans l’oeuvre est marquée par le fait qu’il énonce la dernière réplique : énumération qui fait le bilan de la pièce, et donne la morale. 2) Dom Juan, un indéfectible rationaliste -il garde son arrogance et ses certitudes : « Qui ose tenir ces paroles ? ». « rien ne peut m’imprimer de la terreur » Il est encore provocateur. -Son courage de gentilhomme (qualité) toujours présent, il reste rationnel et cherche à comprendre : « Spectre, fantôme ou diable

La trajectoire de Revel : Personnage / héros / fantôme. La figure romanesque de J. Revel est particulièrement riche, foisonnante: le jeune étranger en position d'apprentissage, l'explorateur en terre étrangère (avec un Vendredi rebelle dans la figure de Horace Buck), l'homme en proie à la nausée du réel qui l'entoure, le touriste, l'amoureux transi, l'apprenti écrivain confronté aux affres de l'écriture, l'amoureux éconduit, l'homme blessé, le fantôme. De toutes ces images, on en retiendra trois :

sens créent l'angoisse » Les émotions réprimées, sujets tabous, mutisme des adultes sur les épisodes douloureux créent un jour une souffrance psychique. Les épreuves doivent être mises en mots. La souffrance prend sa source dans le secret tel un fantôme qui crie vengeance ou demande à être reconnu et pleuré. Kauffman (p66) différencie traumatisme s'applique à l'événement extérieur qui frappe la personne trauma est l'effet produit par l'événement chez la personne surtout dans le psychique == l'événement

la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu. J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allègrement sur le cadran solaire de ta vie.

endroit où on fait le feu mais pas de lumières, ni de chaleur, que des cendrescontrairement au feu : lumière + chaleurf) la présence de la mort. Ronsard évoque sa mort sans citer le mot précis "mort" - Sa mort, v.9-10 : "Je serai sous la terre, et fantôme sans os"/ "Par les ombres myrteux je prendrai mon repos" - "repos" : plus douce = euphémisme - remarque : respect de la logique de la différence d'âge - évocation des Enfers de l'Antiquité gréco-latine= pays d'eau et bois dont "myrtes" - mort

jusqu’à ce qu’il soit un adolescent d’environ 15 ans. C’est un grand garçon aux yeux bleus avec les cheveux d’une couleur « souris ». Il est surnommé « Bod ». Il est déclaré citoyen libre du cimetière où il peut faire les même actions que les vrais fantômes. 8. Les amis et la famille du personnage principal Monsieur et Madame Owens sont les parents adoptifs de Bod. Silas, est le tuteur, de bod .Il est mi-vivant, mi-mort. Au chapitre 4, Bod rencontre une sorcière nommée Lisa Hempstock, qui a été

la connaissance de Berlioz et découvre son traité d'orchestration. Il vit dans la misère et vend même le sujet du Vaisseau Fantôme (emprunté au poète allemand Heinrich Heine) à l'opéra de Paris pour 500 F. En 1840 "Rienzi", grand opéra historique est accepté par le théâtre royal de Dresde. Il compose alors "der Fliegende Holländer" ("Le Hollandais Volant" = Le Vaisseau Fantôme) et lit les légendes de Tannhäuser et Lohengrin. En 1842 Rienzi remporte un immense succès à Dresde malgré la longueur de

En ce 13 février 2011 , les fantômes de Jean Racine et de Jean de la Fontaine, morts depuis presque 350 ans et amis depuis cette date , flottent en bons fantômes qu’ils sont au dessus d’une salle de première travaillant sur une œuvre de monsieur La Fontaine . Le grand dramaturge qu’est La Fontaine est en train de flotter au fond de la salle et se morfond , apparaît monsieur Jean Racine qui demande à son ami : «- Pour quelles raisons êtes vous dans cet état ? En trois cents cinquante à vous

opère un découpage synecdochique: Sylvie est évoquée seulement à travers sa "figure fatiguée" (l.11), "son oeil noir" (l.12), "ses cheveux dénoués" (l.16), "son corsage" (l.17), "sa main" (l.16-18). Ainsi, le narrateur semble arriver dans un monde fantôme où tout commence à se dégrader, où le vivant commence à mourir: "la flûte ne luttait plus si vivement" (l.4), "tout le monde était pâle" (l.5), les groupes étaient "dégarnis" (l.5), la figure de Sylvie "était fatiguée" (l.11). C'est encore plus flagrant

de si belles années : subordonnée relative, épithète de l'antécédent village 6) Devine un peu : principale - où j'ai retrouvé mes chaussures : subordonnée interrogative, COD de devine 7) Je sens : principale - s'abattre sur mes épaules comme un fantôme : subordonnée infinitive, COD de sens 8) Quelquefois le vent semblait courir à pas légers : indépendante (l'infinitif n'a pas de sujet propre) - quelquefois il laissait : principale - échapper des plaintes : subordonnée infinitive, COD de laissait