Fascination Du Pire

Horrifique à plusieurs égards : d'une part les barbares dont Guy Barthèlémy parlait tout à l'heure, les barbares ont pris le pouvoir de la ville, et ils se sont comportés donc en barbares. Dans la famille des barbares, il y a les femmes, et rien n'est pire dans l'imaginaire français qu'une femme lorsqu'elle devient révolutionnaire. Pourquoi ? parce que c'est une pétroleuse, c'est une coupeuse de têtes, ou d'autre chose. La femme est encore plus dénaturée que l'homme lorsqu'elle se livre à des violences

violence ces êtres ont été utilisés par ce peuple, pour êtres ensuite condamnés et rejetés. Comme nous l’explique Aldo dans cet extrait et comme l’avait déjà affirmé Vanessa : « La fascination qu’elles exercent tient au soupçon qui nous vient que la communication privilégiée – fût-ce pour le pire – qui leur a été consentie les a haussés, pour quelques secondes qu’il valait la peine d’être, à une instance suprême de la vie ». En effet en répondant à l’appel de l’ailleurs, de l’inconnu

peut pas être à lui seul un critère d’évaluation d’une société car la technique ne vise que l’efficacité, mais l’efficacité ne vise en soi aucune fin et ne comporte aucune valeur, elle n’est qu’une série de moyens qui parfois peuvent mis au service du pire. On pourrait en effet imaginer, comme le fait souvent la science-fiction, des univers technologiques extrêmement développés mais profondément inhumains. Il suffit de reprendre l’exemple Du meilleur des mondes d’Aldous Huxley (écrit en 1931) pour comprendre

créés par l’égoïsme de l’homme. Pour lui, la vie en sté nous éloigne de la nature de l’homme. Il vit éloigné de toute tentation. La technique (tch) permet à l’homme d’élever son pvr sur la nature. Elle lui donne un pvr qui peut ê source de fascination. Mais en même tps, c’est un O neutre, son pvr est tjs ambigu. De plus, la tch n’est pas tjs utilisée en bien par l’homme. Rousseau, « Discours sur les sciences & les arts ». Il critique la tch et le progrès de le tch. Il souligne 3 csq négatives

douloureuse et rend l’auteur nostalgique. De plus, l’auteur met en évidence les méfaits du temps sur notre corps qui dépérit et sur notre esprit. L’auteur y est sensible car il n’est plus aussi inspiré que durant sa jeunesse. L’ennui Il s’agit du pire des vices pour Baudelaire car il est doté de discrétion : C’est un défaut silencieux et furtif. En effet, on ne le voit pas arriver par de grands cris ni de grands gestes mais ce n’est pas sans volonté de destruction ou de cruauté, qui est un rêve

mal », 1857. Il fait aussi l'éloge de la femme, de sa beauté mais ici l'auteur prend la place de la femme, il parle a la première personne. Beaudelaire nous présente d’abord la beauté sous un visage ambigu et contradictoire. Il montre ensuite la fascination qu’elle exerce sur lui, ce qui donne lieu à un véritable hymne à la beauté. Notre étude continuera avec « Les yeux d'Elsa » de Louis Aragon, extrait de « Les yeux d'Elsa », 1942. Comme dans le poème d'Eluard, nous avons un poème blason sur les

Nous pourrions également parler du poème « l’Horloge » de Baudelaire également. Dans celui-ci, le poète à reprit le thème pessimiste de la présence obsédante de la fuite du temps. Le temps qui est à la fois le bien le plus précieux de l’homme et son pire ennemi car il lui donne une vie mais lui annonce la fin en le détruisant à la fois : « Le Temps mange la vie/Et l’obscur Ennemi qui nous ronge le cœur/Du sang que nous perdons croit et se fortifie ! ». Baudelaire faisait partie

ne sera plus oublié. Ainsi, le monde entier est intrigué par la construction des pyramides en Egypte. Aujourd'hui, le mystère des techniques utilisées par les égyptiens dans la construction de ces merveilles reste entier: qui n'éprouve pas de fascination face à de tels monuments ? De leur temps, les pyramides reflétaient la puissance des pharaons pour lesquels elles furent bâties. Déjà, les autres civilisations se trouvaient dépassées techniquement, d'où une certaine convoitise, mais la discrimination

mouvement : strophes 1 et 2 ; l’homme est un pécheur 2ème mouvement : strophes 3 et 4 : l’homme est mu par le Diable 3ème mouvement : strophes 5, 6 et 7 : la débauche grouille en nous 4ème mouvement : strophes 8, 9 et 10 : parmi tous nos monstres, le pire est l’Ennui Répartir l’analyse : travaux de groupesLecture linéaire1er mouvement strophes 1 et 2, l’homme est un pécheurcitationanalyseinterprétationLa sottise, l'erreur, le péché, la lésine[footnoteRef:0], [0: Avarice]

première est la branche légitime (les Rougon), l'autre est la branche bâtarde (les Macquart). On se demande s'il n' y aurait pas en Zola lui-même du Rougon, avec ce qui les caractérise — de l'ambition, de la ténacité, une forme d'arrivisme, une fascination de la volonté et un fantasme de toute-puissance — mais aussi du Macquart — le souvenir de la misère noire, une sorte d'ouvriérisme littéraire, une obsession de la dégradation, la conscience aiguë des conditionnements sociaux, la tentation de l'anarchisme…