Faucille et marteau

qui spéculent avec l’argent. Le fouet renvoie à la notion de l’esclavage. Selon les nazis, l’objectif des juifs est de dominer le monde, de réduire en esclavage le peuple allemand. A côté de lui, il y a une carte de l’URSS marquée de la Faucille et du Marteau pour montrer que le juif est communiste. Dans cette affiche il y a trois couleurs dominantes : Le jaune, le noir, le rouge. La couleur noire (manteau du juif) vise à accentuer le mauvais côté du personnage. Le jaune (fond de l’affiche)

allemande d'un point de vue politique mais aussi symbolique. La question symbolique est, effectivement, très forte avec une grande implication de la part de la population : les drapeaux noir, rouge et or, au centre desquels on a arraché la faucille, le marteau et la couronne d'épis, anciens symboles de la RDA, sont brandis et la foule commence à chanter les paroles de l'hymne national. Les mesures mises en place en cette fin d'année sont donc une grande avancée pour le processus d'unification de

soviétiques. L’homme, Joseph Staline, tient en laisse l’oiseau par sa ceinture et attend au détour d’une rue avec une pancarte « Paix » afin de frapper les gens qui passent devant lui de son arme moyenâgeuse, prolongement du bras gauche orné de la faucille et du marteau. L’affiche confère une forte image de barbarie au Dictateur Soviétique. A l’origine, « la Bible relate cet épisode où, après le Déluge, Noé envoie une colombe pour savoir si le cataclysme a pris fin. Revenant avec un rameau d’olivier, elle

d’Octobre : « Tout le pouvoir aux Soviets ». Lénine montre la voie à suivre : la Révolution mondiale et faire triompher le communisme symbolisés par le drapeau de l’URSS (rouge : symbolise le sang versé par le défenseurs de la Révolution. La faucille du paysan et le marteau de l’ouvrier dominent un globe qui rappelle que la Révolution communiste se veut universelle. Le globe est éclairé par un soleil levant, symbole de naissance et entouré de gerbes de blé, signe de richesse. Le tout est dominé par l’étoile

d’insistance (hyperbole) ou d’opposition (antithèse : symétrie entre deux éléments contraires). • Elle peut aussi effectuer une substitution :  la métonymie désigne un objet par un autre en vertu d’une relation de proximité ou de causalité (la faucille et le marteau pour la paysannerie et la classe ouvrière) ;  la synecdoque, fondée sur un rapport d’inclusion, désigne le tout par la partie, ou inversement (une vue de la tour Eiffel pour Paris)  l’image ironique est à lire au second degré (notamment

eux-aussi, une sorte d’internationale. - Le pavillon allemand, conçu par Albert Speer, néo-classique, était surmonté de l’aigle du Reich, de même, le pavillon bolchévik néo-classique était surmonté de l’ouvrier et de la kolkhozienne portant la faucille et le marteau. L’architecture est au service de l’idéologie. - Les principaux bâtiments de Moscou construits entre à cette époque sont tout particulièrement d’inspiration classique, le Mokhovaya de Zholtovsky (1931-1934), l'hôtel Moskva d'Alekseï Chtchoussev

présente une foule radieuse et cosmopolite (l’URSS est un Etat multiethnique), où hommes et femmes, égaux et confiants en un avenir radieux marchent d’un pas décidé sous les symboles communistes : drapeaux et étoiles rouges, globe frappé du marteau et de la faucille ( l’URSS est la patrie des ouvriers et des paysans). Pourtant cette situation ne correspond que partiellement à la réalité puisque l’URSS impose sa langue et sa culture aux minorités qu’elle domine. L’Etat en URSS assure le logement, l’éducation

1960 aux années 1980. Ces transformations ont, aux yeux de l’auteur, tant bouleversé la structure sociale qu’il les compare à une « Seconde Révolution française ». La question des conflits apparaît surtout dans le chapitre 4 intitulé « la faucille et le marteau » et le chapitre 12 « une révolution morale ? », mais demeure inséparable de la réflexion que mène H.Mendras sur l’ensemble de la société française. Nous présenterons donc ces deux évolutions en parallèle. Remise en cause de la structure

front) et aux Hécatonchires (monstres possédant 50 têtes et 100 bras). Ouranos obligeait Gaïa à garder leurs enfants en son ventre, sinon il les jetait dans le Tartare. Le dernier des Titans (Cronos), finit par émasculer son père à l'aide d'une faucille d'airain que lui a fournie sa mère. Le sang d'Ouranos féconde alors Gaïa, laquelle enfante les erinyes, les Géants et les Méliades. Fécondée ensuite par son fils Pontos, elle engendre les divinités marines primordiales : Nérée puis Thaumas, Phorcys

accélérée. Bvt complet des cadres éco trad. Mise en place d’une planification (plans quinquennaux ac des objectifs de produc° à atteindre, impossible à réaliser, dc = justification de nvx ennemis et nvelles arrestations), 2 axes (symbolique faucille et marteau) : Agricole : Dès Lénine, sovkhozes (fermes d’Etat, paysans fnnaires), kolkhozes (coop), dc collectivisation forcée (d’où famine de 32-33) mise en place à partir de 1929 par Staline, déportation des koulaks (vol affichée d’égaliser la sté,