Faust

« L’enlèvement des Sabines ». Certains sont plus novateurs, le baron Gros, qui se soucie de la couleur locale, avec son œuvre « Napoléon Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa » en 1804). Le romantisme trouve son influence : Allemagne (Goethe, Faust traduit par Gérard de Nerval) et du côté britannique (Shelley Marie, Frankenstein ; Mac Pherson, Ossian). Plusieurs principes romantiques : * Le refus des règles établis : ont se dégage de la règle des trois unités au théâtre, on se dégage du cadre

l’erreur est la racine de la vérité. Et si l’on suit son argumentation, toute erreur est belle. Une citation de Goethe donne de sécurité et raison à la thèse d’Alain : tout homme qui marche peut s’égarer, « es irrt der Mensch solange er strebt » (Faust. Eine Tragödie. 1808)

XXVI - Sed non satiata Bizarre déité, brune comme les nuits, A Au parfum mélangé de musc et de havane, B Œuvre de quelque obi, le Faust de la savane, B Sorcière au flanc d'ébène, enfant des noirs minuits, A Je préfère au constance, à l'opium, au nuits, C L'élixir de ta bouche où l'amour se pavane; D Quand vers toi mes désirs partent en caravane, D Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. C Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme, E O démon sans

poésie du XVI° siècle, romans de cape et d'épée (Dumas, Les trois Mousquetaires; Hugo, ND de Paris) ; - Légende de Napoléon, figure douloureuse d'un grand destin brisé : nostalgie tragique de l'histoire immédiate. - Les grands mythes (Prométhée, Faust) fournissent une allégorie des aspirations de l'homme moderne. (Hugo, La Légende des siècles). b) Fuite, exotisme dans l'espace. - Intérêt pour les littératures et civilisations étrangères : les littératures du Nord, l'Italie, l'Espagne, l'Orient

consacre un long poème à la gloire de ce héros de la sincérité dans un monde d’hypocrisie. Don juan est associé à l’autre grand mythe moderne de la transgression, de la soif d’absolu et de connaissance, Faust, immortalisé par Goethe. L’allemand Grabble les associe, à Roma dans son Dom juan et Faust, en 1829. Leur rivalité est symbolique de l’affrontement des cultures européennes. Les auteurs romantiques français s’approprient alors cette nouvelle version du mythe : Théophile Gautier dans la Comédie

1838 En Peinture : -Girodet, "Les Funérailles d'Atala" peint en 1808 -Delacroix, "La Liberté guidant le peuple" peint en 1831 En musique: - Chopin, "Nocturnes" composé en 1833 -Vedi, "Nabucco" composé en 1842 -Berlioz, "La Damnation des Faust" composé en 1841

chez Folio par exemple), ou de confronter la traduction de P-J Jouve au texte anglais, ou encore de voir une adaptation cinématographique avant de revenir vers la traduction prescrite. LIRE Une autre œuvre de Giono : Un Roi sans divertissement et Faust au village (nouvelles). La problématique du mal est également au centre de ces œuvres. Une autre œuvre de Shakespeare : Othello (œuvre portée au cinéma par Welles), Hamlet, Richard III (pour réfléchir sur les rapports entre mal et pouvoir). VISITER

à la fois Romantique et classique. Il remet en lumière l’art Gothique. Son œuvre principale est Urfaust, qui prône un homme qui fait un pacte avec le diable, ainsi Faust verra ses veux réaliser mais sera damnée. Faust séduit marguerite à l’aide de Méphistophélès. Cependant, Marguerite doit être exécuté, mais finalement sauvé, et Faust renonce au pacte  : « Instant arrête toi, tu es si beau ». « J’appelle classique ce qui est vain, romantique ce qui est malade. « Ose être heureux ». * Le

par l’âge [le visage […] singulièrement flétri par les fatigues de l’âge […] un corps fluet et débile ». ? Mais, plus surprenant, ces champs lexicaux de l’étrange et de la vieillesse sont également mêlés au lexique du diable (ou de la figure de Faust, si prisé des Romantiques) : « quelque chose de diabolique […] une barbe […] taillée en pointe […] des yeux vert de mer […] des regards magnétiques au fort de la colère ou de l’enthousiasme […] les yeux n’avaient plus de cils ». De plus, la disproportion

aussi une imitation qui ne peut l’égaler. D’où la connotation péjorative qu’on retrouve dans certaines expressions (ex : il n’est pas naturel = pas sincère Dangers de la technique Qu’on retrouve ds les mythes et les légendes : Prométhée, Icare ? Faust, Frankenstein… Fil rouge de ces fictions : la conviction, chez l’homme, que les tentatives de comprendre et d’imiter les lois naturelles sont des expériences dangereuses aux répercussions catastrophiques. Aujourd’hui : on retrouve cette crainte lorsqu’on