Faust

(intérieures). o Albrecht DURER, Melencholia (1514) : l’Ange tombe à cause du poids des connaissances. o Gérard de NERVAL, Aurélia (1855) : le tableau de DURER est associé à quelque chose de négatif, le savoir qui plombe quelque chose de céleste. o GOETHE, Faust (1802) :  Le savoir non partagé n’a plus de sens, il devient insignifiant.  Distinction entre passion, attachement, souffrance ≠ savoir. - L’état du sujet : o Démesure et gestion du savoir. o Rosso FIORENTINO, L’ignorance chassée :  L’allégorie

Luxembourg » Gérard de Nerval Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie (1808-1855). Passe son enfance dans le Valois (Aisne), chez son grand oncle, (sa mère meurt quand il a 2 ans), qui l’inspira pour des œuvres. Durant le Faust de Goethe et s’introduit dans les rangs de la jeunesse romantique. Ses idées républicaines l’a conduit en prison. En 1836, il s’éprend de Jenny Colon, qui en épousera un autre. Son esprit commence à défaillir, il est sujet à des hallucinations et

place éternelle. Cette conception va s'étendre à la vision que Nerval a des êtres, vision qui nous est donnée dans la circularité d'un ballet. Ballet des différentes identités, tout d'abord. Nerval s'est représenté successivement sous les traits de Faust, de Prométhée, d'Orphée, il a surtout décelé en Jenny Colon, la femme qu'il aima, Octavie, Isis, Pandora, Aurélia, la Reine de Saba... Au centre du tourbillon, la figure de la femme. Elle hante le poète qui n'ignore pas que le cercle, le cadran solaire

du mot « roman » qui désignait, au Moyen Âge, des oeuvres littéraires (en vers) racontant des oeuvres fictives en langue romane. 1/• Le romantisme français du 19e siècle (1800-1850) est influencé par la littérature allemande (Goethe auteur de « Faust », Schiller, Novalis, Hölderlin...), anglaise (le dramaturge Shakespeare, le poète Lord Byron, le romancier Walter Scott qui est l’auteur du roman bien connu « Ivanhoé ») et suisse (Jean-Jacques Rousseau est un précurseur du romantisme ; Madame de

poésie d'amour traditionnelle -titre : langue savante -forme : sonnet classique (sauf « ! »), construit sur 2 phrases : quatrains → louange, tercets → maléfique, 3 rimes présentes, rime ♀&♂, hémistiches. -références : gréco-latines, littéraire « Faust », éléments du blason . B) Éléments traités de manière novatrice → intensité du désir -libertés de construction permettant d'évoquer la puissance du désir : S1 : pas de verbe + structure répétitive → vers 1,2,3 : 6 groupes de mots, même rythme

caractérisée par la fréquence des images oxymoroniques et le mythe profond. Le culte de cet intimisme, jadis désigné par le mysticisme, est régi par l’incarnation de symboles et de mythes ; ces derniers dont les plus répandus sont ceux de Prométhée, de Faust et de Don Juan. Aussi, convient-il de noter que l’emboîtement gullivérisant d’antagonismes s’ajoute à la redondance, à la viscosité des représentatifs et à la sensorialité, pour constituer l’une des marques du régime nocturne dans la conscience romantique

allemands). On peut distinguer: * L´Angleterre et L´Allemagne auront une influence sur la littérature française. Celle-ci est peu connue en France au début du XIX siècle, ainsi d´ailleurs que la langue allemande (Nerval, traducteur des deux Faust de Goethe, fait, à cet égard, figure d´exception). Les textes seront essentiellement connus par traduction, surtout à partir de 1830 date à laquelle des revues publient des œuvres de Jean-Paul Richter, Novalis, Kleist…(C´est donc dans la seconde moitié

: Zeus et sa toute puissance, Adam le premier homme... c'est pour mieux dénoncer mon enfant ! La toute puissance de cet homme apparait dès les premières pages lorsqu'il propose à Tazio Adam un pacte dans lequel on retrouve tout le mythe de Faust. On pourrait aussi y voir pygmalion, admiratif devant sa création qui prend vie. Les références mythyques ne manquent pas, commen autant de mises en garde. Et le public dans tout ça ? Utilisé, manipulé par l'artiste, est-il réellement objectif

...)
-nécessité de nourrir notre imaginaire dans un monde où le rationnel semble dominer et nous éviter de nous interroger sur nous-mêmes: mythe de l'amour impossible ou contrarié: Amour ét Psyché , La Belle et La Bête, Quasimodo (Hugo), mythe de Faust,repris par Goethe (jeune homme qui vend son âme au diable pour devenir riche)
-Ces images archétypales fortes et fascinantes nous amènent à nous questionner sur des questions philosophiques fondamentales: l'origine du monde(la Genèse, le Déluge),la

«Les Femmes souliotes » (1827) avant de trouver sa propre voie. Le style de Scheffer a été qualifié de « classicisme froid ». Il se tourna vers Byron et Goethe, choisissant dans Faust une longue série des sujets qui jouissaient d’une vogue extraordinaire. Parmi eux, nous pouvons mentionner « Marguerite au Rouet »; « Faust tourmenté par le Doute »; « Marguerite au Sabbat »; « Marguerite à l’église »; « La Promenade au Jardin »; et finalement, peut-être le plus populaire de tous, « Marguerite au Puits »