Faut Il Augmenter Les Impôts

(S) doit être égale à la somme des investissements (I) et au déficit public (G-T : Dépenses publiques moins les Impôts et Taxes), d’où le nom de modèle IS. En effet, ce constat mathématique renvoie au fait que lorsque tous les biens sont identiques, le choix entre consommer ou pas « le » bien est tout simplement identique au choix d’épargner ou non son revenu. Pour construire IS, il faut observer qu’une augmentation de la production (Y) entraîne une augmentation de la Demande (Z) : ZZ est alors croissante

globale. Pour atteindre cet objectif, la politique budgétaire jongle entre les dépenses de l’État (une des injections du circuit économique) et les impôts et les taxes (une des fuites). La politique monétaire s’exprime, quant à elle, par le choix de l’offre de monnaie ou du taux d’intérêt. Une diminution du taux d’intérêt encourage les investissements et augmente ainsi la demande globale. Les deux sections de ce chapitre examinent tour à tour la politique budgétaire et monétaire en détaillant leurs effets

ont un caractère obligatoire du fait de la loi (impôt, assurance,…) ou découlent de la signature d'un contrat (loyer, abonnement téléphonique, factures d'eau, services financiers...). Ce sont donc des dépenses qui sont « obligatoires » tout les mois, ce qui peut jouer sur le niveau de vie et le mode de vie des ménages, d’une certaine manière. En effet, si le niveau de vie d’une population augmente, les dépenses contraintes vont elles aussi augmenter. Prenons l’exemple de l’immobilier ; une société

fordisme. Nouvelle forme d’organisation de la production : 1. Division du travail pour augmenter la productivité 2. Apparition taylorisme : science de la production : parcellisation des tâches et systématisation des gestes. Dès 1913, plusieurs problèmes :  De l’écoulement de la production  L’aggravation des conditions de travail Ainsi Ford double le salaire : stratégie des 5$ / jour. Il faut contraindre la main d’œuvre à la nouvelle discipline : cela marque le début de la production

du PIB d’ici 2013. L’Italie et l’Espagne ont rejoints la Grèce et le Portugal dans le groupe de pays ayant opté pour un plan de rigueur. D’ici 2013, le gouvernement italien espère récupérer environ 45 milliards d’euros notamment en augmentant les impôts et en réduisant les dépenses publiques. La Grèce a été un des acteurs majeurs de la crise de la dette. En effet, la dette grecque s’élève à près de 105 milliards de Dollars. La crise grecque a révélé toutes les faiblesses de la construction européenne

l’entreprise. Au préalable, il faut bien comprendre l’entreprise :      Quel type d’entreprise (commerciale, industrielle, financière …) ? Quelle activité (en terme de métiers, de clients, de produits …) ? Quelle taille (petite, moyenne, grande, individuelle, société, groupe, holding…) ? Quelle phase (démarrage, croissance, maturité, déclin…) ? Lien capitalistique existant ou non (filiale de groupe) ? Lecture rapide du bilan Avant tout calcul il faut apprécier :     

| |2. Les instruments de la redistribution des revenus | |2.1 En quoi la fiscalité peut-elle être |Distinguer les impôts selon leurs effets redistributifs. | |redistributive ? | | |2.2 En quoi les services publics

opérations intermédiaires. a. Les salaires s et les revenus versés au ménages sont de 720 milliards b. Les impôts indirecte et cotisations social collecté par les entreprises et versé au administration sont de 480 milliards c. Les salaire versée par les administrations au ménages qu’elles emplois et les prestations social qu’elle verse au ménage sont de 390 milliards d ; Les impots directes versés par les ménages au administration sont de 720 Milliards VOIR SHEMA Remarque : On regrouper

LES SOCIETES  L'impôt sur les sociétés est un des impôts dont le poids marginal pèse le plus sur l'activité économique : une hausse de l'IS de l'équivalent de 1 % du PIB génèrerait la perte d’emplois la plus élevée : 172 000 emplois. En France, il représente environ 10% des recettes fiscales de l’Etat. (17,9% en 2008). Les sociétés sont soumises soit à l’Impôt sur les sociétés (IS), soit à l’impôt sur le revenu (IR) Pour payer l’IS, il faut que la société soit une entité juridique indépendante

les partenaires cherchent à augmenter leur profit leur bien-être. Ce raisonnement peut expliquer les échanges entre les pays (théorie de l'avantage comparatif). Les premiers échanges se sont faits sous la forme du troc (échange d'une quantité d'un bien contre une quantité d'un autre bien). Petit à petit s'est instauré dans les échanges un équivalent général (la monnaie) qui permet de se procurer des biens de toutes sortes. Mais pour obtenir quelque chose, il faut renoncer à autre chose : un